Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une analyse minutieuse, sans jugement ni manichéisme, de la stratégie d’emprise sur les cerveaux, les cœurs et les corps qu’exerce toute secte, par une réalisatrice qui en fut elle-même victime dans son enfance.
Le Figaro
par La Rédaction
Ce premier film frappe par sa force tranquille et son absence de manichéisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Marianne
par Olivier de Bruyn
Ce film bouleversant est aussi d’utilité publique.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un film brillant.
BIBA
par Lili Yubari
Dans le rôle de la mère de famille catho psychologiquement fragile qui livre ses enfants en pâture en toute inconscience, Camille Cottin endosse un contre-emploi saisissant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Sarah Suco montre parfaitement les rouages de ce sectarisme à la violence induite, qui annihile tout esprit de critique et toute conscience.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un premier film au climat oppressant.
L'Obs
par François Forestier
Servie par des acteurs dirigés de main de maître (notamment Camille Cottin, transportée), la cinéaste suscite des émotions puissantes chez le spectateur : haine, compassion, dégoût, horreur, révolte. Cinéma de combat, mais aussi des passions humaines.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Le film puise incontestablement son efficacité dans son casting. Mention spéciale à la jeune Céleste Brunnquell, vraiment… éblouissante dans sa capacité à s'approprier toute une palette complexe de réactions et d'émotions.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Olivier De Bruyn
Scénarisé et mis en scène avec sobriété, interprété avec finesse par l’ensemble des acteurs [...], "Les Éblouis" s’impose comme l’une des plus belles surprises de la fin d’année du côté du cinéma français.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Prenant de bout en bout, le film révèle aussi le talent de la jeune Céleste Brunnquell.
Télérama
par Guillemette Odicino
Un premier film d’inspiration autobiographique, profond et lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
En mère de famille psychologiquement instable, Camille Cottin révèle une nouvelle facette de son talent.
aVoir-aLire.com
par Benjamin Oppert
Un drame saisissant porté par un casting lumineux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Céline Rouden
Un film sensible et juste qui convainc par la qualité de ses interprètes, de Camille Cottin, surprenante dans ce rôle de mère à la dérive à Éric Caravaca en père aimant et naïf, en passant par Jean-Pierre Darroussin dans le rôle faussement bienveillant du Berger.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Premier film de la comédienne Sarah Suco et récit autobiographique poignant : ou comment une ado tente de sauver sa famille qui s’isole dans une communauté chrismatique aux relents sectaires.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Édifiant et émouvant.
Le Monde
par Clarisse Fabre
L’autre réussite réside dans le jeu tout en finesse des comédiens, qui évite aux Eblouis de sombrer dans le glauque ou la caricature.
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
D’inspiration autobiographique, "Les Éblouis" explore les dérives sectaires d’une communauté charismatique mais, de même qu’il délaisse certains personnages, il se détourne de ses réflexions les plus prometteuses en s’égarant dans des péripéties impromptues.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
[...] cette immersion n'échappe pas à une mise en scène classique et un déroulé un peu programmé. Malgré tout, la justesse du propos et la force de son interprétation nous poussent à rester les yeux grands ouverts.
Première
par Thierry Chèze
Un film tout en nuances sur le phénomène des dérives sectaires. L’actrice Sarah Suco réussit des débuts de réalisatrice plus que convaincants.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Touchant, [le] film aborde avec distance et pudeur les effets dévastateurs de l'emprise psychologique.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Malgré les qualités d’un récit qui fait en sorte d’avancer dans la nuance, la trame s’effiloche, perd en tension au fil d’enjeux complexes qui brassent à la fois l’adolescence, les sectes, la dislocation de l’enfance et l’aveuglement des adultes.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Le Dauphiné Libéré
Une analyse minutieuse, sans jugement ni manichéisme, de la stratégie d’emprise sur les cerveaux, les cœurs et les corps qu’exerce toute secte, par une réalisatrice qui en fut elle-même victime dans son enfance.
Le Figaro
Ce premier film frappe par sa force tranquille et son absence de manichéisme.
Marianne
Ce film bouleversant est aussi d’utilité publique.
Ouest France
Un film brillant.
BIBA
Dans le rôle de la mère de famille catho psychologiquement fragile qui livre ses enfants en pâture en toute inconscience, Camille Cottin endosse un contre-emploi saisissant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Sarah Suco montre parfaitement les rouages de ce sectarisme à la violence induite, qui annihile tout esprit de critique et toute conscience.
Femme Actuelle
Un premier film au climat oppressant.
L'Obs
Servie par des acteurs dirigés de main de maître (notamment Camille Cottin, transportée), la cinéaste suscite des émotions puissantes chez le spectateur : haine, compassion, dégoût, horreur, révolte. Cinéma de combat, mais aussi des passions humaines.
Le Parisien
Le film puise incontestablement son efficacité dans son casting. Mention spéciale à la jeune Céleste Brunnquell, vraiment… éblouissante dans sa capacité à s'approprier toute une palette complexe de réactions et d'émotions.
Positif
Scénarisé et mis en scène avec sobriété, interprété avec finesse par l’ensemble des acteurs [...], "Les Éblouis" s’impose comme l’une des plus belles surprises de la fin d’année du côté du cinéma français.
Télé 7 Jours
Prenant de bout en bout, le film révèle aussi le talent de la jeune Céleste Brunnquell.
Télérama
Un premier film d’inspiration autobiographique, profond et lumineux.
Voici
En mère de famille psychologiquement instable, Camille Cottin révèle une nouvelle facette de son talent.
aVoir-aLire.com
Un drame saisissant porté par un casting lumineux.
La Croix
Un film sensible et juste qui convainc par la qualité de ses interprètes, de Camille Cottin, surprenante dans ce rôle de mère à la dérive à Éric Caravaca en père aimant et naïf, en passant par Jean-Pierre Darroussin dans le rôle faussement bienveillant du Berger.
La Voix du Nord
Premier film de la comédienne Sarah Suco et récit autobiographique poignant : ou comment une ado tente de sauver sa famille qui s’isole dans une communauté chrismatique aux relents sectaires.
Le Journal du Dimanche
Édifiant et émouvant.
Le Monde
L’autre réussite réside dans le jeu tout en finesse des comédiens, qui évite aux Eblouis de sombrer dans le glauque ou la caricature.
Les Fiches du Cinéma
D’inspiration autobiographique, "Les Éblouis" explore les dérives sectaires d’une communauté charismatique mais, de même qu’il délaisse certains personnages, il se détourne de ses réflexions les plus prometteuses en s’égarant dans des péripéties impromptues.
Marie Claire
[...] cette immersion n'échappe pas à une mise en scène classique et un déroulé un peu programmé. Malgré tout, la justesse du propos et la force de son interprétation nous poussent à rester les yeux grands ouverts.
Première
Un film tout en nuances sur le phénomène des dérives sectaires. L’actrice Sarah Suco réussit des débuts de réalisatrice plus que convaincants.
Télé Loisirs
Touchant, [le] film aborde avec distance et pudeur les effets dévastateurs de l'emprise psychologique.
Sud Ouest
Malgré les qualités d’un récit qui fait en sorte d’avancer dans la nuance, la trame s’effiloche, perd en tension au fil d’enjeux complexes qui brassent à la fois l’adolescence, les sectes, la dislocation de l’enfance et l’aveuglement des adultes.