Les Éternels (Ash is purest white) : Critique presse
Les Éternels (Ash is purest white)
Note moyenne
4,0
27 titres de presse
Bande à part
Libération
Marie Claire
Positif
Transfuge
Télérama
20 Minutes
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
Franceinfo Culture
L'Humanité
L'Obs
La Septième Obsession
Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
Le Monde
Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Première
Sud Ouest
aVoir-aLire.com
L'Express
Le Journal du Dimanche
Paris Match
CinemaTeaser
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
Dans ce sublime polar noir traversé de mélo, trône en majesté la très grande Zhao Tao.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Libération
par Olivier Lamm
C’est toute la manière unique de Jia Zhang-ke de procéder au cinéma, sa rigueur d’écriture et sa souplesse expérimentale, qui permettent à ce récit de la marge, des provinces sacrifiées d’un pays où il est passé en une décennie de cinéaste interdit à emblématique, d’atteindre à la grandeur d’un roman national revisité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Un puissant polar qui se déploie sur vingt ans autour d'une figure de femme et de son indestructible amour.
Positif
par Baptiste Roux
Avec une parfaite maîtrise de la narration, ce long métrage montre que le cinéaste ne se contente pas de construire un regard mais se préoccupe aussi de trouver une forme qui donne à l'oeuvre sa fluidité, sa force et sa beauté.
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Avec "Les Éternels", Jia Zhang-ke s'affirme plus que jamais comme l'un des grands conteurs du cinéma contemporain.
Télérama
par Louis Guichard
Dans une Chine en proie à de violentes mutations, la métamorphose d’une femme qui s’est sacrifiée pour son amant. Une fresque noire, implacable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Le cinéaste Jia Zang-Ke offre un rôle sublime à son épouse et sa muse, l’actrice Zhao Tao.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Jia Zhang-ke est certes coutumier de ces sauts d’échelles, mais on est toujours étonné par la façon dont ces strates se mélangent et se font écho avec fluidité, sans jamais alourdir un récit par ailleurs d’une grande limpidité.
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
À travers les revers et regains de fortune du couple déchu, Jia Zhang-ke étudie la mobilité sociale provoquée par l'arrivée du capitalisme dans la Chine d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un film somptueux, à l’arrière-plan politique.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un film de pègre, une romance à caractère social où l'on retrouve tous les sujets de prédilection du grand cinéaste chinois. Une évidence : son art du récit et sa mise en scène font encore mouche.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Emile Breton
Pas de discours ici : une mise en scène qui s’attache avec le même souci de précision aux rapports d’un homme et d’une femme et aux questions de société.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Dans " Au-delà des montagnes ", son précédent film, le réalisateur chroniquait l'évolution de son pays sur vingt-cinq ans par le biais d'un mélodrame à trois personnages. "Les Eternels", dont l'histoire s'étend de 2001 à 2018, s'inscrit dans cette lignée, en plus réussi (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Étienne Marchand
L’ambition est là : faire d’un couple le récit d’un pays entier - et vice versa -, les mutations de l’un entraînant celles de l’autre.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une histoire d’amour et de Chine, entre fidélité et trahison.
Le Figaro
par La Rédaction
Un beau polar romantique ou mélo mafieux qui met en scène la fin d'un amour.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Tel un coup de sonde lancé dans un passé proche, Les Eternels explore une question qui résonne tout autant sur le plan historique que sur le plan intime : estil un affect capable de résister aux outrages du temps ou de se maintenir intact dans l’instabilité du siècle ?
Le Parisien
par Renaud Baronian
Ce magnifique récit d’une passion contrariée doit aussi beaucoup à son actrice principale, Zhao Tao, qui incarne Qiao avec une rare justesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Plus que jamais en prise avec son temps, Jia Zhang-ke signe une (nouvelle) fresque grandiose où le romanesque a rarement aussi bien épousé le réel.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Jia Zhang-ke n’est désormais jamais aussi beau que dans ce territoire de fatigue et de mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Gaël Golhen
Les Éternels est une lettre d’amour en morceaux, une déclaration envoyée depuis trois époques différentes qui fait renaître ces films sous un nouveau jour. Et c’est bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Il y a toujours d’infinis mystères dans les films de Jia Zhang-ke, cinéaste du temps et des métamorphoses de la Chine. "Les éternels" relève à la fois du portrait et du relevé topographique, l’un et l’autre s’entremêlant pour saisir la vérité d’un territoire immense.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
A ceux qui avaient reproché à ses précédents films de privilégier le formalisme tape-à-l’œil à l’émotion, Jia Zhangke offre là une belle réponse. Sa muse Zhao Tao livre une prestation impressionnante, véritable bouée de sauvetage au cœur d’une violence masculine oppressante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Eric Libiot
Convenu et bordélique. Finalement agaçant.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Cette fresque ambitieuse, qui parle de passion, de sacrifice, de résilience, captive par sa description d’une Chine contemporaine tourmentée.
Paris Match
par Yannick Vely
Le réalisateur chinois Jia Zhang-Ke signe une nouvelle fresque sur la Chine contemporaine, sublime formellement, mais moins aboutie que ses précédentes oeuvres.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
« Les Éternels » serait-il un best-of Jia Zhangke ? Sans aucun doute. Le souffle de la vie et l’ampleur en moins.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Bande à part
Dans ce sublime polar noir traversé de mélo, trône en majesté la très grande Zhao Tao.
Libération
C’est toute la manière unique de Jia Zhang-ke de procéder au cinéma, sa rigueur d’écriture et sa souplesse expérimentale, qui permettent à ce récit de la marge, des provinces sacrifiées d’un pays où il est passé en une décennie de cinéaste interdit à emblématique, d’atteindre à la grandeur d’un roman national revisité.
Marie Claire
Un puissant polar qui se déploie sur vingt ans autour d'une figure de femme et de son indestructible amour.
Positif
Avec une parfaite maîtrise de la narration, ce long métrage montre que le cinéaste ne se contente pas de construire un regard mais se préoccupe aussi de trouver une forme qui donne à l'oeuvre sa fluidité, sa force et sa beauté.
Transfuge
Avec "Les Éternels", Jia Zhang-ke s'affirme plus que jamais comme l'un des grands conteurs du cinéma contemporain.
Télérama
Dans une Chine en proie à de violentes mutations, la métamorphose d’une femme qui s’est sacrifiée pour son amant. Une fresque noire, implacable.
20 Minutes
Le cinéaste Jia Zang-Ke offre un rôle sublime à son épouse et sa muse, l’actrice Zhao Tao.
Cahiers du Cinéma
Jia Zhang-ke est certes coutumier de ces sauts d’échelles, mais on est toujours étonné par la façon dont ces strates se mélangent et se font écho avec fluidité, sans jamais alourdir un récit par ailleurs d’une grande limpidité.
Critikat.com
À travers les revers et regains de fortune du couple déchu, Jia Zhang-ke étudie la mobilité sociale provoquée par l'arrivée du capitalisme dans la Chine d’aujourd’hui.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un film somptueux, à l’arrière-plan politique.
Franceinfo Culture
Un film de pègre, une romance à caractère social où l'on retrouve tous les sujets de prédilection du grand cinéaste chinois. Une évidence : son art du récit et sa mise en scène font encore mouche.
L'Humanité
Pas de discours ici : une mise en scène qui s’attache avec le même souci de précision aux rapports d’un homme et d’une femme et aux questions de société.
L'Obs
Dans " Au-delà des montagnes ", son précédent film, le réalisateur chroniquait l'évolution de son pays sur vingt-cinq ans par le biais d'un mélodrame à trois personnages. "Les Eternels", dont l'histoire s'étend de 2001 à 2018, s'inscrit dans cette lignée, en plus réussi (...).
La Septième Obsession
L’ambition est là : faire d’un couple le récit d’un pays entier - et vice versa -, les mutations de l’un entraînant celles de l’autre.
Le Dauphiné Libéré
Une histoire d’amour et de Chine, entre fidélité et trahison.
Le Figaro
Un beau polar romantique ou mélo mafieux qui met en scène la fin d'un amour.
Le Monde
Tel un coup de sonde lancé dans un passé proche, Les Eternels explore une question qui résonne tout autant sur le plan historique que sur le plan intime : estil un affect capable de résister aux outrages du temps ou de se maintenir intact dans l’instabilité du siècle ?
Le Parisien
Ce magnifique récit d’une passion contrariée doit aussi beaucoup à son actrice principale, Zhao Tao, qui incarne Qiao avec une rare justesse.
Les Fiches du Cinéma
Plus que jamais en prise avec son temps, Jia Zhang-ke signe une (nouvelle) fresque grandiose où le romanesque a rarement aussi bien épousé le réel.
Les Inrockuptibles
Jia Zhang-ke n’est désormais jamais aussi beau que dans ce territoire de fatigue et de mélancolie.
Première
Les Éternels est une lettre d’amour en morceaux, une déclaration envoyée depuis trois époques différentes qui fait renaître ces films sous un nouveau jour. Et c’est bouleversant.
Sud Ouest
Il y a toujours d’infinis mystères dans les films de Jia Zhang-ke, cinéaste du temps et des métamorphoses de la Chine. "Les éternels" relève à la fois du portrait et du relevé topographique, l’un et l’autre s’entremêlant pour saisir la vérité d’un territoire immense.
aVoir-aLire.com
A ceux qui avaient reproché à ses précédents films de privilégier le formalisme tape-à-l’œil à l’émotion, Jia Zhangke offre là une belle réponse. Sa muse Zhao Tao livre une prestation impressionnante, véritable bouée de sauvetage au cœur d’une violence masculine oppressante.
L'Express
Convenu et bordélique. Finalement agaçant.
Le Journal du Dimanche
Cette fresque ambitieuse, qui parle de passion, de sacrifice, de résilience, captive par sa description d’une Chine contemporaine tourmentée.
Paris Match
Le réalisateur chinois Jia Zhang-Ke signe une nouvelle fresque sur la Chine contemporaine, sublime formellement, mais moins aboutie que ses précédentes oeuvres.
CinemaTeaser
« Les Éternels » serait-il un best-of Jia Zhangke ? Sans aucun doute. Le souffle de la vie et l’ampleur en moins.