Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Le Figaro
par La rédaction
(...) un drame à la fois intime et social, affectif et philosophique, d'une puissance exceptionnelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Murielle Joudet
"Cas de conscience" a cependant les défauts de ses qualités : la virtuosité du scénario se referme comme un piège sur les spectateurs. Quant à la mise en scène, aride et dépouillée, à l’image de la vision pessimiste et tragique du cinéaste, elle semble condamner d’avance les personnages. Pour autant, le film parvient lentement à ses fins : par une forme d’intransigeance et d’âpreté qui ne laissent pas indemne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Marcos Uzal
(...) c’est très noir, mais aussi captivant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Olivier De Bruyn
Avec sa mise en scène inspirée et son regard implacable sur la lâcheté, le déterminisme et l'aveuglement de la machine judiciaire (entre autres), le cinéaste signe une oeuvre puissante et singulière.
Première
par Christophe Narbonne
Mise en scène d’une angoisse existentielle bourgeoise vs peinture d’une terrible misère sociale. Vahid Jalilvand excelle sur les deux tableaux.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Une réflexion subtile sur le sens de la responsabilité individuelle au cœur d’un société instable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Empreint de pathos, "Cas de conscience" n’est jamais complaisant et s’il traite d’un sujet mélodramatique par excellence, c’est toujours avec une distance et un ton qui sonnent justes.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par François Forestier
C'est un peu verbeux, parfois émouvant, mais inégal. En revanche, l'interprétation de Navid Mohammadzadeh, le père de l'enfant mort, est formidable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par La rédaction
Dans ce film glaçant un médecin légiste de Téhéran doit faire face à sa responsabilité dans la mort d’un enfant de 8 ans malgré un rapport d’autopsie qui l’innocente. Un second long-métrage pour Vahid Jalilvand, qui confirme la capacité du cinéma iranien à filmer les tourments intimes de la société.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par E.M.
Primé à Venise, Vahid Jalilvand signe un drame social sobre et d’une grande maîtrise sur la responsabilité individuelle, dans une société iranienne où les femmes se révèlent plus courageuses que les hommes.
Télérama
par Frédéric Strauss
Trop chargé d’intentions, le film finit par manquer de vie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Benoît Smith
Les responsabilités multiples, (...), la contagion de la faute, le film semble moins les observer qu'il ne les entretient lui-même à l'occasion, et par des moyens plutôt grossiers.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
par Mathis Badin
Cas de conscience se protège derrière son sujet fort, sans s’attarder sur les questions qu’il soulève, et ne fait que noyer le poisson. Le film tombe même dans l’indécence lorsque, pour un dernier effet de sidération, il vient se cacher derrière les atours d’une fin ouverte.
Le Figaro
(...) un drame à la fois intime et social, affectif et philosophique, d'une puissance exceptionnelle.
Le Monde
"Cas de conscience" a cependant les défauts de ses qualités : la virtuosité du scénario se referme comme un piège sur les spectateurs. Quant à la mise en scène, aride et dépouillée, à l’image de la vision pessimiste et tragique du cinéaste, elle semble condamner d’avance les personnages. Pour autant, le film parvient lentement à ses fins : par une forme d’intransigeance et d’âpreté qui ne laissent pas indemne.
Libération
(...) c’est très noir, mais aussi captivant.
Positif
Avec sa mise en scène inspirée et son regard implacable sur la lâcheté, le déterminisme et l'aveuglement de la machine judiciaire (entre autres), le cinéaste signe une oeuvre puissante et singulière.
Première
Mise en scène d’une angoisse existentielle bourgeoise vs peinture d’une terrible misère sociale. Vahid Jalilvand excelle sur les deux tableaux.
aVoir-aLire.com
Une réflexion subtile sur le sens de la responsabilité individuelle au cœur d’un société instable.
Culturopoing.com
Empreint de pathos, "Cas de conscience" n’est jamais complaisant et s’il traite d’un sujet mélodramatique par excellence, c’est toujours avec une distance et un ton qui sonnent justes.
L'Obs
C'est un peu verbeux, parfois émouvant, mais inégal. En revanche, l'interprétation de Navid Mohammadzadeh, le père de l'enfant mort, est formidable.
La Croix
Dans ce film glaçant un médecin légiste de Téhéran doit faire face à sa responsabilité dans la mort d’un enfant de 8 ans malgré un rapport d’autopsie qui l’innocente. Un second long-métrage pour Vahid Jalilvand, qui confirme la capacité du cinéma iranien à filmer les tourments intimes de la société.
Le Journal du Dimanche
Primé à Venise, Vahid Jalilvand signe un drame social sobre et d’une grande maîtrise sur la responsabilité individuelle, dans une société iranienne où les femmes se révèlent plus courageuses que les hommes.
Télérama
Trop chargé d’intentions, le film finit par manquer de vie.
Critikat.com
Les responsabilités multiples, (...), la contagion de la faute, le film semble moins les observer qu'il ne les entretient lui-même à l'occasion, et par des moyens plutôt grossiers.
Cahiers du Cinéma
Cas de conscience se protège derrière son sujet fort, sans s’attarder sur les questions qu’il soulève, et ne fait que noyer le poisson. Le film tombe même dans l’indécence lorsque, pour un dernier effet de sidération, il vient se cacher derrière les atours d’une fin ouverte.