Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Une excitante chanson de geste.
Le Journal du Dimanche
par P.K.
Ce documentaire, filmé dos à la pelouse, ne raconte pas le rugby mais explore la possibilité du dépassement de soi par le psychotrope de l’adrénaline de groupe.
Positif
par Denitza Bantcheva
Delphine Gleize s’attache à montrer les coulisses de la vie de l’équipe, et ce qui relève du quotidien, davantage que les matchs – lors desquels nous ne verrons pratiquement rien de ce qui se passe sur le terrain, seulement les réactions des remplaçants et du coach. Ce parti pris s’avère très judicieux, instillant une tension prenante même pour un spectateur qui ne s’intéresse aucunement au rugby.
Sud Ouest
par La Rédaction
Un cinéma fragile de l'émotion furtive, des corps qui se préparent au combat et reviennent cabossés.
Télérama
par Guillemette Odicino
Un remarquable film au féminin singulier sur le masculin pluriel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Antoine Le Fur
Emouvant et singulier [...].
L'Obs
par François Forestier
Même si on ne s’intéresse pas au rugby, le doc est d’une rare puissance humaine, et aurait pu s’intituler « l’Ame des guerriers ».
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Si vous avez en somme aimé Le Grand Bain (2018), de Gilles Lellouche, vous ne pourrez qu’apprécier Beau joueur, qui en est comme la réplique en documentaire.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Delphine Gleize ne s’intéresse pas au rugby d’un point de vue sportif ; son regard est pleinement absorbé par les gladiateurs, pas par leur combat. Du coup, qu’importe le résultat : à la fin, une image demeure, par-delà les défaites et les victoires, une image ni héroïque ni tragique, simplement humaine.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
On peut même se demander s’il y avait là assez de matière pour un film de presque deux heures. Reste que cette subjectivité assumée nous touche souvent par son attention désirante, son obstination quasi amoureuse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Le film reste à la surface des choses et ne capte jamais les véritables enjeux du sport.
Première
par Christophe Narbonne
Un doc qui botte en touche.
La critique complète est disponible sur le site Première
La Croix
Une excitante chanson de geste.
Le Journal du Dimanche
Ce documentaire, filmé dos à la pelouse, ne raconte pas le rugby mais explore la possibilité du dépassement de soi par le psychotrope de l’adrénaline de groupe.
Positif
Delphine Gleize s’attache à montrer les coulisses de la vie de l’équipe, et ce qui relève du quotidien, davantage que les matchs – lors desquels nous ne verrons pratiquement rien de ce qui se passe sur le terrain, seulement les réactions des remplaçants et du coach. Ce parti pris s’avère très judicieux, instillant une tension prenante même pour un spectateur qui ne s’intéresse aucunement au rugby.
Sud Ouest
Un cinéma fragile de l'émotion furtive, des corps qui se préparent au combat et reviennent cabossés.
Télérama
Un remarquable film au féminin singulier sur le masculin pluriel.
L'Express
Emouvant et singulier [...].
L'Obs
Même si on ne s’intéresse pas au rugby, le doc est d’une rare puissance humaine, et aurait pu s’intituler « l’Ame des guerriers ».
Le Monde
Si vous avez en somme aimé Le Grand Bain (2018), de Gilles Lellouche, vous ne pourrez qu’apprécier Beau joueur, qui en est comme la réplique en documentaire.
Les Inrockuptibles
Delphine Gleize ne s’intéresse pas au rugby d’un point de vue sportif ; son regard est pleinement absorbé par les gladiateurs, pas par leur combat. Du coup, qu’importe le résultat : à la fin, une image demeure, par-delà les défaites et les victoires, une image ni héroïque ni tragique, simplement humaine.
Libération
On peut même se demander s’il y avait là assez de matière pour un film de presque deux heures. Reste que cette subjectivité assumée nous touche souvent par son attention désirante, son obstination quasi amoureuse.
Ouest France
Le film reste à la surface des choses et ne capte jamais les véritables enjeux du sport.
Première
Un doc qui botte en touche.