Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Voici
par Lola Sciamma
Une déclaration d'amour bouleversante d'un môme à son père qui lui manque.
BIBA
par La rédaction
Ce conte japonais silencieux enfoui sous la neige est un voyage au bout de la nuit somnanbulique tourné à hauteur d'enfant et doublé d'un poème déchirant sur l'absence d'un père.
Critikat.com
par Benoît Smith
Sans se substituer au point de vue de l'enfant, la mise en scène place le regard à sa hauteur pour en capter le rapport au monde apparemment innocent et banal, mais dont de petites touches signalent qu'une intimité moins innocente s'y dissimule.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Sophie Joubert
Un beau conte sans paroles.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
On pense à Albert Lamorisse ("le Ballon rouge") pour la manière d'évoquer poétiquement les audaces, les craintes et les déterminations de l'enfance face à un monde qu'elle tente d'appréhender.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Claire Micallef
D’une grâce déliée, d’une fantaisie et d’un humour tendre mâtinés d’une tristesse diffuse.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Le cinéma de Manivel est a priori si limpide, il épouse à ce point la logique du conte, qu’il en devient indéchiffrable, en ce sens que son appréhension, sans manquer, est à la discrétion de ses spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Marcos Uzal
Ainsi, l’art minimaliste de Manivel et Igarashi confine ici à la miniature, détaillant patiemment, plan par plan, un Japon à hauteur d’enfant, discrètement hanté par les films d’Ozu, le plus grand des cinéastes miniaturistes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Ne manquez pas notre coup de coeur de la semaine, une bulle poétique imaginée par le Français Damien Manivel et le Japonais Kohei Igarashi.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Bernard Génin
Du cinéma minuscule, peut-être, mais touché par la grâce.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Ainsi, Takara peut s’appréhender comme une parenthèse de liberté (...) Comme pour nous rappeler, non sans une certaine amertume, que la liberté absolue ne va pas sans une certaine expérience de la solitude. Ainsi va Takara.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Eric Vernay
C'est très minimaliste : absence de dialogue, plans fixes, intrigue épurée au maximum. Le temps se dilate, parait parfois un peu long. Mais, pour peu qu’on accepte ce rythme, s’offre alors à nous une micro-odyssée stimulante, sensitive, truffée d’astuces de mise en scène, à la fois cocasse et mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Léocadie Handke
Muet, le film donne toute son importance aux lieux de la province d’Aomori, filmés magnifiquement, et aux gestes du garçon, proches d’un comique clownesque et de mime.
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le périple à travers la neige, de la campagne à la ville en passant par le train, occupe ensuite la majeure partie du film, mais sa simplicité s’abîme dans une durée trop flottante, étirée.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Limité aux humeurs de l’enfant, agrémenté de quelques gags et rencontres bien trop furtifs, ce dispositif ouvertement zen reste mince, si agile et charmant soit-il.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Voici
Une déclaration d'amour bouleversante d'un môme à son père qui lui manque.
BIBA
Ce conte japonais silencieux enfoui sous la neige est un voyage au bout de la nuit somnanbulique tourné à hauteur d'enfant et doublé d'un poème déchirant sur l'absence d'un père.
Critikat.com
Sans se substituer au point de vue de l'enfant, la mise en scène place le regard à sa hauteur pour en capter le rapport au monde apparemment innocent et banal, mais dont de petites touches signalent qu'une intimité moins innocente s'y dissimule.
L'Humanité
Un beau conte sans paroles.
L'Obs
On pense à Albert Lamorisse ("le Ballon rouge") pour la manière d'évoquer poétiquement les audaces, les craintes et les déterminations de l'enfance face à un monde qu'elle tente d'appréhender.
La Septième Obsession
D’une grâce déliée, d’une fantaisie et d’un humour tendre mâtinés d’une tristesse diffuse.
Les Fiches du Cinéma
Le cinéma de Manivel est a priori si limpide, il épouse à ce point la logique du conte, qu’il en devient indéchiffrable, en ce sens que son appréhension, sans manquer, est à la discrétion de ses spectateurs.
Libération
Ainsi, l’art minimaliste de Manivel et Igarashi confine ici à la miniature, détaillant patiemment, plan par plan, un Japon à hauteur d’enfant, discrètement hanté par les films d’Ozu, le plus grand des cinéastes miniaturistes.
Paris Match
Ne manquez pas notre coup de coeur de la semaine, une bulle poétique imaginée par le Français Damien Manivel et le Japonais Kohei Igarashi.
Positif
Du cinéma minuscule, peut-être, mais touché par la grâce.
Le Monde
Ainsi, Takara peut s’appréhender comme une parenthèse de liberté (...) Comme pour nous rappeler, non sans une certaine amertume, que la liberté absolue ne va pas sans une certaine expérience de la solitude. Ainsi va Takara.
Première
C'est très minimaliste : absence de dialogue, plans fixes, intrigue épurée au maximum. Le temps se dilate, parait parfois un peu long. Mais, pour peu qu’on accepte ce rythme, s’offre alors à nous une micro-odyssée stimulante, sensitive, truffée d’astuces de mise en scène, à la fois cocasse et mélancolique.
Transfuge
Muet, le film donne toute son importance aux lieux de la province d’Aomori, filmés magnifiquement, et aux gestes du garçon, proches d’un comique clownesque et de mime.
Cahiers du Cinéma
Le périple à travers la neige, de la campagne à la ville en passant par le train, occupe ensuite la majeure partie du film, mais sa simplicité s’abîme dans une durée trop flottante, étirée.
Le Journal du Dimanche
Limité aux humeurs de l’enfant, agrémenté de quelques gags et rencontres bien trop furtifs, ce dispositif ouvertement zen reste mince, si agile et charmant soit-il.