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Angelique Jvrt
20 critiques
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4,0
Publiée le 29 janvier 2021
Une petite pépite ! J’ai adoré ! Je ne m’y attendais pas du tout ! Le film nous plonge dans une atmosphère bien flippante. Un bon jeu d’acteur, une histoire assez glauque... Bref, un très bon film pour ma part. À voir absolument, mais, plutôt le soir pour être vraiment dans l’ambiance.
Vu The Lodge (2019) c'est long c'est lent et chiant à la fois on attend a s'qui se passe un truc mais sa n'arrivera jamais le film prend son temps peut-être trop pour au final pas grand chose dommage ⭐
The Lodge est ce genre de films où l'on se dit après l'avoir visionné que l'on est peut-être passé à coté d'un chef d'œuvre. La frustration est de mise surtout pour ce film de genre, un huis clos où la jeune nouvelle belle-mère doit garder les enfants de son nouveau compagnon dans un chalet isolé. Les enfants réticents à la vue de sa belle-mère légèrement déboussolée, arrivée comme un poil sur la soupe quelques temps après le suicide de leur mère. Alors l'ambiance tendue du film jusqu'au dénouement particulièrement oppressant et soudain s'ajoute la performance de Riley Keough, excellente, qui au fil du récit doit absolument prendre ses médicaments sous peine d'être prise de frappadinguerie!!!Mais le film s'étiole sur le milieu dans une sorte de prêchi-prêcha mystico-mystique sur le passé de la jeune Riley. Dommage....
Après une introduction intéressante, ce film d'horreur psychologique suit un spoiler: arc narratif jusqu'au départ du père du chalet isolé, qui laisse derrière lui ses enfants avec leur aspirante belle-mère qu'ils rencontrent pour la première fois .
Puis “The Lodge” se perd dans spoiler: le blizzard et les bondieuseries .
En fin de compte, il ne parvient pas à réellement spoiler: dénoncer le danger de l’endoctrinement religieux de manière claire et efficace .
Que c’est beau une famille recomposée qui se met au vert (ou plutôt au blanc) en montagne pour les fêtes de fin d’année ! Sauf quand les gosses ne digèrent pas le suicide de leur mère, qu’ils mettent sur le compte de la nouvelle liaison de leur père..et que la jeune femme en question a elle-même un gros passif psychologique consécutif à son enfance dans une secte. Les entends-tu résonner à l’horizon, les gros ressorts à psychoter de ‘The lodge’ ? Pourtant, le travail effectué par les deux réalisateurs autrichiens pour une commande de la Hammer vaut quand même mieux que ce qu’on pourrait attendre d’un synopsis aussi banal : quand le père s’absente quelques jours, une perfide guerre des nerfs se met en place dans le chalet isolé, entre la belle-mère désireuse de se faire apprécier des deux ados, et ceux-ci bien décidés à lui faire payer son arrivée au sein de la famille. Alors que le jeu commence à aller trop loin, les souvenirs et les réflexes d’auto-persuasion venus du passé resurgissent. Tout en usant de mise en abîme, avec cette maison de poupée qui livre des indices sur le vécu ou les projets des enfants, en refusant le jump-scare facile et se livrant à une critique des dérives sectaires, ‘The lodge’ joue aussi sur l’isolement anxiogène en milieu hostile et sur la perte progressives des repères temporels, ce qui lui permet de s’inscrire dans la lignée des films de malaise latent dont Ari Aster est devenu le nouveau chef de file. Il n’en possède toutefois pas tout à fait l’audace et la folie, même si le résultat est infiniment supérieur au commun des productions horrifiques américaines, qui n’a jamais semblé aussi bas que depuis quelques années. A peu de choses près, ‘The lodge’ retourne plus ou moins l’idée de ‘Goodnight mommy’, dont il pourrait constituer une variante plus efficace et moins auteurisante...mais cette simple inversion des rapports de force rend également la conclusion moins radicale et glaçante qu’elle ne l’était dans le premier film de Franz & Fiala..
Excellent thriller à l'ambiance particulièrement stressante. Mise en scène de qualité et interprétation remarquable. Je suis resté scotché du début à la fin
Adepte de film de secte et de cannibalisme comme "Heredité", "Midsommar", "1BR: The Apartment" et "Grave", "The Lodge" n'est pas passé inaperçu auprès de moi. Le côté "Heredité" se fait rapidement sentir sur la petite idée du drame familial et la maison de poupée et d'autres petits detaille bien croustillants pouvant même partir sur des thèmes de type "Ari Aster" au sens large le film commence vide et bien, il est rapide , au début du moins, car sans aller dans la lenteur le film prend son temps pour mettre l'atmosphère voulu. Les plans me font un effet bizarre mais je n'arrive pas à savoir pourquoi. Le jeu d'acteur de Lia McHugh ( Mia) n'est pas mauvais du tout. Le jeu assez malsain avec les insectes est amusant et réfléchi. L'empathie envers Grace est assez vite ressenti, mais n'est pas non plus intensément forte, car la souffrance de Grace est palpable . Les 30 premières minutes commencent plus ou moins banalement. L'atmosphère est glaçant. Et puis une question m'est venu juste après la quarantième minutes : "Qu'est-ce qui peut mal tourner ?" et c'est pour ça que Veronika Franz et Severin Fiala font du bon taff. Le doublage est plutôt bon, même si il défaille un tout petit peu. Les réactions des personnages sont bon mais n'ont pas non plus de mérite quelconque. Tient-il la route, je ne suis pas assez expérimenté cinématographiquement pour le dire mais si je devrais réellement donner mon avis, je dirai qu'il tangue. Et puis la 75ème minutes fait froid dans le dos avec une Grace maladive. Une fin glaçante et prenante et imprévisible au possible.
Dès le début, j'ai ressenti comme un plagiat d'hérédité et c'est dommage de comparer un film à un autre. Il a beaucoup de points communs avec hérédité et encore une fois, c'est dommage car j'ai passé la plupart du film à relever ces détails. Sinon beaucoup plus lent et beaucoup trop lent.. La fin est trop grosse pour être saisissante, on sait d'avance ce qui va se produire. On arrive pas à suivre la logique du film et on fini vite par s'ennuyer. Je n'ai pas adhéré.
Un film impressionnant d'intelligence scénaristique! Un long qui ne tombe pas dans le cliché de ses pairs, et parvient à se renouveler en surprenant le spectateur. Les plus aguerris, qui se laisseront toutefois berner un instant, finiront par entrevoir l'intrigue. Cependant, difficile d'en ressortir indemne. Le rythme lent permet d'instaurer un climax suffisamment anxiogène, aidé en cela par une photographie à la sobriété pesante. Un réel plaisir de cinéma !
Film sans intérêt, scénario téléphoné et "débile", des longueurs et des longueurs , il existe une pseudo intrique et le jeu d'acteur à la limite , quoi que ?
Un film intéressant sans être original dans la première partie mais qui dégringole rapidement en nous offrant un final sans queue ni tête, que seul un scénariste au bout du rouleau pouvait pondre.