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    Caniba
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    Dex et le cinéma
    Dex et le cinéma

    685 abonnés 186 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 juillet 2018
    Par ce qu'il raconte, ce qu'il montre, par la démarche et le point de vue employé, Caniba se pose comme une expérience totale, une plongée ultra-contemplative dans la psyché humaine, où la sensation primera toujours sur l'information. Difficile de donner un avis le concernant, tant le travail cinématographique dépasse la notion même d'opinion catégorisante du spectateur. Impossible de le recommander en réalité, tant la démarche radicale sera débattue, provoquant tour à tour admiration ou rejet. Il faut le voir pour le croire. Il faut le vivre, et ainsi contempler l'inimité du mal avec un voyeurisme exceptionnel... Caniba immortalise le Jamais Vu avec une terrifiante objectivité. Alors, au-delà de tous ces reproches compréhensibles qui viendront tuer la réputation du film auprès du grand public (lenteur, primauté de la sensation sur l'information, démarche filmique frustrante, violence...), saluer un tel travail me semble plus que nécessaire.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 23 août 2018
    Documentaire difficile à saisir dans son esthétique et ses intentions. Le film adopte un parti pris qui consiste à filmer les visages flous et en gros plans avec des plans séquences interminables, audace que n'aurait pas reniée un étudiant enthousiaste de première année aux Beaux-arts. Est-ce une manière maladroite d'éviter l'écueil de la complaisance avec un personnage dérangeant, une manière d'éviter de faire des choix clairs de mise en scène pour éviter la pesanteur du didactisme ou simplement une manière de feindre l'objectivité en ne disant rien sur le sujet ? Difficile à dire. Le film n'apporte aucune réponse, ne fait aucun choix, feint de déranger en montrant des images d'un frère masochiste sans aucun recul et entretient tout le long de terribles malentendus sur les intentions des réalisateurs.
    Eviter la fascination morbide, la caricature et le voyeurisme en filmant en gros plan la bouche d'une personne ayant commis un crime cannibale, on a pu faire plus pertinent comme méthode dans l'histoire du documentaire pour décrire l'horreur et l'interroger. On pense aux excellents documentaires de Joshua Oppenheimer que les réalisateurs dans leur spectaculaire modestie incluent dans le générique des remerciements...

    Travail au mieux dilettante, au pire paresseux qui en dit plus sur les cinéastes que sur un sujet dont ils n'auront pas su se saisir.
    Yves G.
    Yves G.

    1 501 abonnés 3 518 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 août 2018
    En juin 1981, Issei Sagawa attire dans sa chambre d'étudiant à Paris une camarade néerlandaise, la tue d'un coup de fusil à bout portant puis découpe et cuisine sa chair morte. Trois jours plus tard, il sera arrêté après avoir maladroitement tenté de se débarrasser de ses restes humains dans deux lourdes valises au bois de Boulogne.
    Expertisé par un collège de psychiatres, il est déclaré pénalement irresponsable. La justice prononce un non-lieu. Il est d'abord interné à l'Unité pour malades difficiles de Villejuif puis transféré au Japon et rendu à la vie civile en 1984.
    Dans l'impossibilité de cacher à ses employeurs son lourd passé, il décide d'en faire le commerce. Il publie des mangas qui décrivent avec complaisance son crime et les fantasmes de cannibalisme qui continuent à l'habiter ; il tourne dans des films pornographiques ; il passe régulièrement à la télévision pour commenter des affaires criminelles ou faire la publicité d'une chaîne de restaurant de viande.

    Il y a deux façons d'aborder "Caniba". La première est d'avoir lu ce qui précède, d'être informé de l'affaire du "cannibale japonais" et d'espérer comprendre les ressorts de son comportement monstrueux. La seconde est de n'en rien savoir, d'arriver vierge de tout préjugé et de toute information dans la salle, et de découvrir, un peu éberlué, filmé en très gros plan, en de longues séquences immobiles, le visage glabre d'un vieillard grabataire, qui ne survit guère que par les bons soins d'un frère, au moins aussi psychotique que lui, et d'une infirmière en cosplay.

    Dans un cas comme dans l'autre, on sera déçu voire furieux. Certes, le travail tout en finesse de Verena Paravel et Lucien Castaing-Taylor, dont on avait déjà admiré l'étonnant "Leviathan", tourné dans un chalutier de haute mer, sans un dialogue, est d'une autre facture qu'un vulgaire épisode de "Faites entrer l'accusé". Ici, pas de flashbacks à l'emporte-pièces, pas de coups de théâtre faussement dramatiques. Mais d'interminables plans fixes filmés au plus près du visage de Sagawa - et de sa bouche qui s'ouvre pour manger un morceau de chocolat. Pourquoi ce parti pris ? pour nous faire ressentir l'humanité d'un monstre qui n'en est pas moins homme ? ou la monstruosité d'un homme emporté dans ses délires psychotiques, qui a commis l'acte le plus tabou qui soit et qui, loin de s'en excuser, le revendique ?

    "Caniba" déçoit car il n'explique rien. Il ne nous dit rien des causes de ce comportement - que les médecins ont attribué à l'encéphalite dont Sagawa fut atteint dans sa prime enfance, de sa constitution chétive et de sa mère qui le forçait à manger de la viande pour se ragaillardir.
    Mais, pire, "Caniba" choque par la complaisance avec laquelle les documentaristes filment Sagawa. Ils s'en défendent dans un carton que l'on ne lira qu'à condition de rester jusqu'à la fin du générique. "Caniba ne justifie ni ne légitime les actes de Issei Sagawa". La phrase sonne comme un aveu caché : quand bien même les réalisateurs n'avaient nullement le projet de cautionner Sagawa, leur maladresse donne parfois cette impression dérangeante.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 364 abonnés 7 544 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 mars 2023
    Celui que l’on surnomme le "japonais cannibale" à 32ans lorsqu’il abat froidement une jeune étudiante de 24ans. Après avoir violé sa dépouille, il la consommera (pendant 3 jours) en prélevant plusieurs parties de son corps (nez, langue, épaule, organes génitaux, anus, cuisse, soit près de 7kg de chair). Issei Sagawa, tristement célèbre pour voir tué et mangé (en partie) Renée Hartevelt, une étudiante néerlandaise à Paris en 1981 sera jugé pénalement irresponsable suite à une expertise psychiatrique. Il sera interné en France puis extradé au Japon avant d’être libéré en 1985.

    « Je sais que je suis fou. »

    Lucien Castaing-Taylor & Verena Paravel (De humani corporis fabrica - 2023) dressent un étonnant et (très) déroutant portrait de ce cannibale. Un individu au destin inimaginable et pour cause, pendant toutes ces années (jusqu’aux débuts des années 2000), il aura réussi à subvenir à ses besoins « grâce » à son crime. Devenu tristement célèbre après ses exactions, il sera consultant pour la police, tournera dans des publicités et écrira bon nombre d’ouvrages dont un manga où il relatera son terrible méfait parisien (on en voit d’ailleurs plusieurs extraits dans le film, où il se met en scène, spoiler: en train de se repaître de la jeune femme, nu et en érection
    ), on hallucine en comprenant que cet ouvrage a bel et bien été édité et vendu dans le commerce.

    « Le cannibalisme est nourri d'un désir fétichiste. »

    Diminué par la maladie (qui serait dû à une encéphalite japonaise), Issei Sagawa donne l’impression d’être sous Tranxène®, il débite ses phrases difficilement, comme si le cerveau n’était plus irrigué (un mot toutes les 30 secondes). Mais cela ne l’empêche nullement d’être parfaitement lucide sur ses actes et sur ce qu’il souhaiterait (se faire manger par un confrère cannibale), tout en s'exprimant principalement en japonais et à de rares fois en français. Le film alterne aussi avec quelques images d’archives et notamment des extraits pornographiques où Issei s’adonne à quelques séances d’urophilie spoiler: (il se fait uriner dans la bouche tout en se masturbant).


    « Je voulais manger ses fesses plus que tout au monde. »

    Mais le plus troublant dans cette sordide histoire, c’est sans nul doute la relation qu’il noue avec son frère. Pendant toute la première partie du film, Jun Sagawa était resté en retrait, mais petit à petit, les réalisateurs (et anthropologues) nous dressent le portrait d’un homme tout aussi inquiétant que son frère. Jun se livre face caméra et nous raconte que cela fait 60ans qu’il se livre à toutes sortes de penchants sado-maso, en s’automutilant (avec des barbelés, des lames de couteaux, du feu, …).

    « J'essaie pleins de choses pour trouver la douleur parfaite. »

    En découvrant à la fois ces témoignages et ces images, on comprend mieux comment ce documentaire s’est retrouvé être interdit aux moins de 18ans. Caniba (2018) s’avère être un étrange exercice de style assez particulier où tout au long du film, les réalisateurs vont tenter de mettre en lumière la folie et la déviance à travers d’innombrables cadrages flous et autres gros plans. Des scènes parfois dénuées du moindre dialogue (comme ce plan de 4 min fixé sur le visage d’Issei. On ne l’imagine pas, mais 4 min en gros plan sur son visage en train de mastiquer, sans dialogue, c'est long, très long). Le film est tellement lent que malgré ses 90min, le temps ressenti avoisine les 2h30... dire que l'on trouve le film long s'avère être ici un euphémisme.

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    Arnaud R
    Arnaud R

    91 abonnés 826 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 septembre 2017
    Un documentaire qui nous sort de notre confort bien pendant de manière drastique en s'intéressant à un homme aux fantasmes cannibales. Assez ennuyeux par un traitement très intimiste et fait d'interviews.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 390 abonnés 4 224 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 décembre 2018
    « Caniba » n’est pas un film d’horreur mais un documentaire. Pourtant ce qui est traité vaut bien son interdiction aux moins de 18 ans. Le film brosse un portrait très intime d’Issei Sagawa, dit le Japonais cannibale. C’est lors de ses études à la Sorbonne à Paris en 1981, qu’il fût au cœur d’un fait divers horrible. Après avoir tué l’une de ses camarades, il l’a littéralement dévoré pendant trois jours. Il fût ensuite interné dans un hôpital psychiatrique. « Caniba » fascine autant qu’il trouble. Filmé de très très près, l’homme nous dégoûte autant qu’il nous intrigue. C’est un film qui sonde celui qu’on n’aimerait jamais rencontrer. C’est un film qui fait peur par sa réalité et qui nous laisse clairement dans le malaise.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Neila Driss
    Neila Driss

    83 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 décembre 2022
    Suite à l'annonce du décès du cannibale japonais Issei Sagawa, j'ai appris qu'un doc lui avait été consacré et que ce film avait été sélectionné dans plusieurs festivals de cinéma, y compris ceux de Venise et Toronto!!!!

    J'ai donc vu ce doc aujourd'hui même, croyant qu'il allait enfin expliquer le geste de ce fou. Ce crime m'avait touchée lorsque j'étais jeune, et je ne l'avais jamais oublié.

    Il s'agit donc de ce film "Caniba", réalisé par Verena Paravel et Lucien Castaing-Taylor.

    Personnellement je n'ai pas aimé ce film. Les premières minutes sont très longues, des gros plans sur la visage d'un vieux grabataire, qui raconte lentement, tellement lentement. Il reconnait son crime et dit qu'il est fou. Oui, c'est bien ce que la justice française avait déclaré à l'issu de son procès dans lequel il avait bénéficié d'un non lieu parce que reconnu irresponsable.

    Le film donc n'explique pas, et d'ailleurs les réalisateurs n'interviennent à aucun moment, ils ne font que filmer. Il est vrai que j'ai sauté certaines scènes parce que regarder ce doc pendant 1h30 relève un peu du masochisme et je ne suis pas masochiste!

    Ce criminel n'a pas été en prison et grâce aux relations de sa famille, il a même été libéré de l'hôpital psychiatrique au bout de 4 ans. Apparemment, il aurait du y rester toute sa vie. Aucun remord, à aucun moment, il n'a parlé de remord, il ne fait qu'expliquer qu'il a réalisé son fantasme. Oui, il avait juste réalisé un fantasme et apparemment il y avait pris grand plaisir!
    Ce fou a dessiné un manga pour raconter son crime. Dans les moindres détails et il le feuilletait avec plaisir. Il montrait ses dessins où on le voyait tuer et manger son amie, tout en bandant et en se masturbant. Il a violé son cadavre, découpé son corps, s'est fait un collier de ses intestins... tout a bandant et en brandissant son sexe de jouissance!

    Comment est-ce qu'on peut laisser des gens pareils en liberté, je ne comprends pas! Et comment devient-on un monstre pareil? On a vu des vidéos d'enfance, avec son frère, ils étaient mignons, ils jouaient, ils venaient d'une famille aisée, ils ne manquaient de rien.

    Alors pourquoi? Il raconte que ses fantasmes ont commencé lorsqu'il avait vu Grace Kelly dans un film et c'est là qu'il avait commencé à s'intéresser aux femmes "blanches". Et peut-être beaucoup plus grandes que lui, ce qu'on remarque dans ses dessins, dans lesquels on le voit petit par rapport au grand cadavre de la jeune allemande, très blanche.
    Par ailleurs son frère qui s'occupe de lui est aussi fou apparemment, son plaisir et hobby est de se planter des couteux dans le bras!!!

    Je ne comprends pas non plus la démarche des réalisateurs. Pourquoi ce film? j'ai lu des critiques bonnes et mauvaises, certains parlent d'Art.... Bon, c'est un art auquel apparemment je ne suis pas sensible!

    Ou peut-être que je suis trop "impliquée' pour comprendre. J'avoue m'être mise à la place des parents de cette jeune fille tuée, violée et mangée. Qu'ont-ils ressenti en apprenant que ce criminel n'a jamais été puni et qu'en plus, il n'a jamais eu de remords et qu'il a poussé la perversion jusqu'à dessiner son crime et s'en vanter quelque part? Qu'ont-ils aussi ressenti en voyant de film? Et aujourd'hui que cette crapule est décédée?
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    272 abonnés 1 649 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 février 2019
    Un documentaire OVNI signé par un tandem de réalisateurs, auteurs d'un très bon Léviathan en 2013. Ce Caniba est une approche hyper subjective du Japonais Issei Sagawa, connu pour avoir commis un acte de cannibalisme à Paris dans les années 1980. L'histoire de cet homme est incroyable (jugé irresponsable de son acte en France, renvoyé dans son pays où il a pu reprendre une vie normale, devenir spécialiste de littérature, écrire des mangas...). Mais ce n'est pas cette histoire que nous racontent ici les auteurs. Ils ont fait le choix d'une immersion actuelle dans le petit appartement de Sagawa et de filmer au quotidien cet homme, devenu infirme, et son frère, qui le soigne. Pourquoi pas. Mais le résultat est une épreuve pour le spectateur. Longs plans rapprochés, souvent flous, à l'écoute du silence ou des divagations de Sagawa. Scène atroce sur les pratiques saignantes du frère. On navigue entre ennui, puissant malaise, horreur. Et au final, difficile de dégager quelque chose de cette approche (en termes d'histoire perso ou de fantasme cannibale), si ce n'est la fascination dérangeante des auteurs et leur choix d'une production visuelle inregardable.
    Gfa Cro
    Gfa Cro

    55 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 septembre 2018
    Vu et avis le 30180911

    Il y a quelques séquences intéressantes, bien trop rares. Je pense que 90% du film est une intention de provoquer du malaise, au détriment d un message, du fond etc.

    Nous étions 4 dans la salle. J ai beaucoup hésité à partir lorsque le film a embrayé sur le masochisme du frère du cannibale. L un des 4 est partit.

    Je n ai pas du tout apprécié la réalisation du film. Je comprend l idée que dans un documentaire, en particulier à prétention ethnologique, il faut une distance du réalisateur, une non intervention, une « absence » de montage pour laisser la « vérité » transparaître. Je n en crois rien. On sait depuis longtemps que la réalité peut largement dépasser la fiction, que la fiction est parfois plus vraie que la réalité (elle permet par exemple de l isoler de facteurs parasite qui pourraient fausser l interprétation), ... C est quand même la mode ces dernières années de considérer qu un documentaire doit se suffire, qu il ne faut pas ajouter de sous-titre, d explication. Mais si les images ne se suffisent pas, je pense qu il le faut.

    Et lâ, les images, ... le film m a semblé long, mal montée, surtout très mal filmé. La caméra qui bouge dans tous les sens pour montrer qu il y a un réalisateur derrière qui tient la caméra, c est contre productif.

    **************

    Reprise le 20180812 :
    Je suspecte même les réalisateurs d avoir pensé qu un peu d’inconfort visuel renforcerais l inconfort des propos tenus, d être confronté aux protagonistes. Il me semble possible qu ils en aient rajouté exprès. Cela se voit tout particulièrement au moment de la bd, ou ils font exprès de zoomer pour ne pas voir la page en entier et se promener dans la page.

    De mon point de vue, le gros défaut du film est la façon de filmer. Trop de mouvements, filmé de trop près (quoi que les réalisateurs en disent, j ai l impression qu il y a quelques rares images de moins près, par exemple lorsqu ils se lèvent de table).
    C est tout particulièrement visible je crois avec la bd ou la plupart du temps on n a janais de vue d ensemble de la bd cadre sur les deux pages ) alors qu il y a des vues de juin en train de regarder la bd.
    l
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 août 2018
    c'est film lent avec quelques séquences qui peuvent déranger. mais à la fin on ne peut qu'être touché par cette histoire d'amour entre 2 frères.
    bruh
    bruh

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 avril 2023
    C'est la première fois que j'écris une critique, et je

    comprend pas pourquoi j'en écrit une sur ce film, mais il y a quelque chose dans la mise en scène qui est très étrange et dérangeant que je trouve très intéressante pour ce documentaire "Interdit aux moins de 18 ans" (ce qui plutôt une interdication rare a avoir) qui propose un face un face entre deux frère, un qui est tueur, un autre qui est masochiste, le film se consacre dans la première moitié du film au tueur, la seconde: la famille, ce qui un peu documenté, et la troisième : Ce qui deviennent maintenant.

    Le film peut parfois être long sur certaines discussions,et la beaucoup de moment silencieux mais vaut le coup d'oeil.

    Mais il faut savoir que même si c'est un documentaire sur un tueur, il ne faut pas oublier que il n'y pas que lui mais aussi une pauvre femme qui a été tué et mangé par cette vieille personne répugnante, c'est pour cela que les réalisateur du film a la fin du documentaire nous écrit "Le film ne cherche pas a justifier ou a légitimité le crime".

    C'est pour cela que le documentaire est réservé a un public averti.
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