Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
La Septième Obsession
par Morgan Pokée
Si "Caniba" plonge alors son spectateur dans la folie cannibale de son protagoniste, on reste médusé par cette manière d’appréhender ce qui, chez d’autres, aurait immédiatement suscité la répulsion. Trouble tendresse, disions-nous.
aVoir-aLire.com
par Franck Lalieux
Œuvre documentaire autant qu’essai, Caniba dessine les contours d’un spectre pour tenter d’approcher l’homme derrière le monstre. Il délivre ainsi une réflexion dérangeante mais passionnante sur la nature profonde de l’homme et ses pulsions enfouies.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Jo Fishley
Pourquoi un homme mange un autre homme? On ne le saura pas. Mais on aura vu le visage de la folie et comment le cinéma essaie d'en cadrer l'image. Entre sang froid et effroi.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Perturbant, dérangeant, ce documentaire – à ne pas mettre devant tous les yeux – n'édulcore rien et nous confronte à nos propres zones obscures et à notre fascination morbide.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Si on regrette l'utilisation abusive du flou (par pudeur ?), on est captivé par le regard, vide et glaçant, du meurtrier.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le mystère demeure, et c’est peut-être normal. Le cannibalisme n’a pas d’explication ; il est peut-être en tout homme, bien refoulé, et il n’est pas totalement idiot de penser que la “folie” d’Issei Sagawa est d’avoir permis à ces fantasmes archaïques de se réaliser.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
[...] le film tente de suspendre tout jugement pour ne s’en tenir qu’à l’expérience sensorielle, où le dégoût n’exclut pas l’empathie (et inversement), où le rejet côtoie la fascination. En cela, "Caniba" n’est que la trace d’un film impossible.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Jamais complaisant, impressionnant formellement avec un éprouvant travail sur le son, "Caniba" est une exploration dans les ténèbres de l’âme humaine - et dit aussi des choses extrêmement violentes sur la société japonaise.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Transfuge
par Jean-Noël Orengo
"Caniba" est un documentaire pictural, débutant comme une toile de Lucian Freud.
20 Minutes
par Caroline Vié
Un documentaire dérangeant et parfois ennuyeux.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Humanité
par Vincent Ostria
La bizarrerie du sujet est accentuée par des gros plans flous sur l’ogre rachitique et son frère, Jun. Ces chichis formels attisent l’horreur mais sont moins parlants que les films de famille de Sagawa ou les images de sa BD malade où il narre son massacre. Trop de manières.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Murielle Joudet
L’expérience est éprouvante, car il est difficile de voir un sujet pénible filmé de manière aussi pénible.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Comment raconter Issei Sagawa, le cannibale de la Sorbonne ? Paravel et Castaing- Taylor ont choisi la voie la plus tristement attendue, celle du choc frontal avec l’Horreur. Le chemin est un peu facile, complaisant discursivement et manque clairement de texture.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Le problème n’est pas vraiment la brutalité obtuse du dispositif (…) mais, on ne cesse de subir dans Caniba l’incapacité des cinéastes à structurer leur magma numérique.
Positif
par Bernard Génin
Provoquant, asphyxiant, un peu douteux, ce pénible document n'apprend rien, n'éclaire en rien [...].
La Septième Obsession
Si "Caniba" plonge alors son spectateur dans la folie cannibale de son protagoniste, on reste médusé par cette manière d’appréhender ce qui, chez d’autres, aurait immédiatement suscité la répulsion. Trouble tendresse, disions-nous.
aVoir-aLire.com
Œuvre documentaire autant qu’essai, Caniba dessine les contours d’un spectre pour tenter d’approcher l’homme derrière le monstre. Il délivre ainsi une réflexion dérangeante mais passionnante sur la nature profonde de l’homme et ses pulsions enfouies.
Bande à part
Pourquoi un homme mange un autre homme? On ne le saura pas. Mais on aura vu le visage de la folie et comment le cinéma essaie d'en cadrer l'image. Entre sang froid et effroi.
L'Obs
Perturbant, dérangeant, ce documentaire – à ne pas mettre devant tous les yeux – n'édulcore rien et nous confronte à nos propres zones obscures et à notre fascination morbide.
Le Journal du Dimanche
Si on regrette l'utilisation abusive du flou (par pudeur ?), on est captivé par le regard, vide et glaçant, du meurtrier.
Les Inrockuptibles
Le mystère demeure, et c’est peut-être normal. Le cannibalisme n’a pas d’explication ; il est peut-être en tout homme, bien refoulé, et il n’est pas totalement idiot de penser que la “folie” d’Issei Sagawa est d’avoir permis à ces fantasmes archaïques de se réaliser.
Libération
[...] le film tente de suspendre tout jugement pour ne s’en tenir qu’à l’expérience sensorielle, où le dégoût n’exclut pas l’empathie (et inversement), où le rejet côtoie la fascination. En cela, "Caniba" n’est que la trace d’un film impossible.
Paris Match
Jamais complaisant, impressionnant formellement avec un éprouvant travail sur le son, "Caniba" est une exploration dans les ténèbres de l’âme humaine - et dit aussi des choses extrêmement violentes sur la société japonaise.
Transfuge
"Caniba" est un documentaire pictural, débutant comme une toile de Lucian Freud.
20 Minutes
Un documentaire dérangeant et parfois ennuyeux.
L'Humanité
La bizarrerie du sujet est accentuée par des gros plans flous sur l’ogre rachitique et son frère, Jun. Ces chichis formels attisent l’horreur mais sont moins parlants que les films de famille de Sagawa ou les images de sa BD malade où il narre son massacre. Trop de manières.
Le Monde
L’expérience est éprouvante, car il est difficile de voir un sujet pénible filmé de manière aussi pénible.
Les Fiches du Cinéma
Comment raconter Issei Sagawa, le cannibale de la Sorbonne ? Paravel et Castaing- Taylor ont choisi la voie la plus tristement attendue, celle du choc frontal avec l’Horreur. Le chemin est un peu facile, complaisant discursivement et manque clairement de texture.
Cahiers du Cinéma
Le problème n’est pas vraiment la brutalité obtuse du dispositif (…) mais, on ne cesse de subir dans Caniba l’incapacité des cinéastes à structurer leur magma numérique.
Positif
Provoquant, asphyxiant, un peu douteux, ce pénible document n'apprend rien, n'éclaire en rien [...].