ce que je trouve dingue et stupide comme beaucoup de monde, c'est les tentatives de reboot DEBILE et totalement inutile ne servant qu'à détruire les chef d'oeuvre originaux. plus de 6 mois avant sa sortie, je peux déjà clamer haut et fort que ça va être un énorme navet. l'autre truc rendant ce reboot pas crédible une seul seconde, c'est que dans l'œuvre originale, les gent se sont massivement rebellé contre les jeux hunger game en compagnie de la légendaire héroïne et elle a fait exprès de tuer celle qui aurait dû succéder au tyran afin d'éviter que cela se reproduise. donc qui après toutes ces rébellion, aurait l'idée de relancer les jeux ? Aucun sens Le film n'est pas un reboot mais une histoire qui ce passe trois ans avant le premier film, les acteurs sont tous très mauvais, le scénario n'a absolument aucun sens, ça part de tout les côtés et ont ne comprend absolument rien, la mise en scène est nule, il n'y a pas le moindre véritable jeux hunger game malgré le titre, des personnes ce font pendre sans la moindre explication (ont dit vaguement que ce sont des traitres sans dire pourquoi), l'histoire bascule sur un soldat sans qu'on sache pourquoi...... des passages qui se déroulent dans les débris du hunger game la révolte (au moment où la ""j'aime au coeur"" tire une flèche au centre de l'arène) Alors que c'est censé ce dérouler trois ans plus tôt (recylage de décors baclé au point que la timeline ne correspond pas). un film baclé, sans âme, ennuyeux, pas d'histoire, pas de personnage principal.
un plaisir de revoir cette saga woaw ! très bon casting ! on retrouve rapidement l'ambiance de la saga , on est vite attrapé par l'histoire, un bon climax, 2h40 de film qui passent très vite =) et Rachel Zegler qui chante tellement bien !
J’ai vu le film en VO. Que c’était nul! Les acteurs sont fades et le scénario est d’un vide sidéral. Il faut arrêter de jeter l’argent comme ça et stopper la fabrication de spin off aka remix de bon films (ou sont les idées innovantes des années 2000?) Un vrai bon Nanar américain 🇺🇸
7 ans après, Francis Lawrence revient sur la "saga" Hunger Games pour un préquel pour le moins étonnant. Divisé en trois partie, le film met en place les "mentors" lors de la 10eme année des HG, on voit et l'on vit la cérémonie à travers l'un d'eux (brillamment interprété) , assez intéressantes, mais manquant d'action et d'intensité.. c'est la troisième partie qui m'a surpris et qui va d'autant plus diviser.. on change clairement de registre, le film prend une autre tournure inattendue que je ne vais pas spoil mais que j'ai beaucoup apprécié.
Le film a ses qualités mais aussi ses défauts.. Il n'arrive pas à la cheville des premiers du nom, manque d'ambition? De profondeur? En tout cas les 2h30 se font tout de même ressentir, il y a plus de chansons que d'action .. mais le tout reste un plutôt bon film que j'ai pris plaisir à regarder, avec une dernière partie aussi entraînante que surprenante.
Très décue. Film assez mièvre, sans le charisme de Jennifer Lawrence. Cela ressemble un peu à une comédie musicale avec une voix douceureuse utilisée trop fréquemment. Quelque fois il faut s'abstenir de faire des suites sans intérêt.
Retournement de situation qui retourne le cerveau, Snow est un personnage vicieux à souhait. La balade du serpent et de l’oiseau chanteur n’est pas un énième Hunger Games qui gâche une bonne première quadrilogie, mais au contraire une bonne surprise dans cet univers menaçant. Seul bémol : la VF ne retransmet pas les émotions de la VO.
Ce film est d une longueur sans fin . Si le titre n'était pas celui de la trilogie , il n'aurait aucun public . C est d une fadaise !!! Tout ça pour ça ! Pas de rythme , pas de scenario . On s entretue dans la plus grande indifférence . A oublier !
"C'est ce qu'on aime le plus qui vous détruit", phrase qui est martelée dans ce film, et qui à elle seule est un atout du film (on a forcément envie de savoir pourquoi).
Film qui a de multiples atouts. Beauté des images, les catastrophiques comme les bucoliques. Beauté des chansons, un vrai plaisir avec la voix sensuelle et envoûtante de l'héroïne Rachel Zegler.
Comprendre aussi comment le president Snow (des épisodes précédents) a démarré dans la hiérarchie de cette dictature post-apocalyptique (ce film est en effet un prequel). Snow était bon (mais l'était-il vraiment ?) ; Snow devient mauvais... Rapport plus que vraisemblable avec la vie réelle.
J'ai vu le film en V.O. car je redoutais plus que tout la voix de crécelle de la narratrice en V.F. dans les opus précédents. Il y a eu un plus d'ailleurs, car les dialogues sont parfaits, dans un anglais superbe, surtout Viola Davis (Dr Gaul) et Peter Dinklage (Highbottom).
Alors, pourquoi un petit ennui s'installe-t-il dès le début ? Faut-il être un fan de la saga ? Faut-il lire le dernier livre ? Choix de l'acteur principal ? Mystère. En tout cas, la longueur du film n'arrange rien.
Tout un film à la gloire du jeune Coriolanus Snow, mentor à l'occasion du 10è Hunger Games. C'est le même personnage qui deviendra quelques décennies plus tard, dans d'autres films, le redoutable président Snow joué par Donald Sutherland. Je n'ai pas grand-chose à dire à propos de ce film car il ne révolutionne rien. Le style est peut-être plus mature, plus grave et plus posé. Le rythme est assez lent pour un film qui parait trop long. L'histoire m'est apparue trop conventionnelle quand on a déjà vu les autres films. Très peu de rebondissements. Le scénario tiré d’un livre n'est pas très passionnant transposé au cinéma. En fait, cela parle tout le temps pour expliquer les enjeux et les envies des uns et des autres. Essentiellement des discussions et les chants de Lucy Gray Baird bien trop présents (j'ai presque cru qu'ils allaient tous danser en mode comédie musicale) . La photographie est heureusement bonne pour relever le niveau avec de beaux plans esthétiquement soignés. Mais c'est quand même une déception me concernant.
Plus de 3/4 d'heure de bla bla inutile en mode présentation du jeu, des sélectionnés, des nouvelles règles et bla bla, quasiment aucun acteur n'est connue ou donne envie de connaître, a part violet Davis. Pas très intéressant cette suite
Agréablement surpris par ce prequel dirigé par Francis Lawrence qui revient aux origines du jeune Coriolanus Snow, figure centrale brillamment interprétée ici par Tom Blyth (belle découverte). Ce basculement vers le côté sombre n’est pas sans rappeler celui d’un certain Anakin Skywalker en mieux mais résumer les 600 pages du roman de Suzanne Collins, même en un peu plus de 2h30, laisse des vides. Ça patine parfois mais ça tient positivement la route tant la thématique chargée en matière de dictature et de politique est captivante et servie par des personnages complexes et plus ou moins fascinants. Parmi ceux de ce « Hunger Games, la Ballade du Serpent et de l’Oiseau Chanteur » figure en bonne place celui de Lucy Gray Baird, tribu du District 12, 64 ans avant Katniss Everdeen, parfaitement joué (et chanté) par Rachel Zegler.
Hunger Games: La Ballade du serpent et de l'oiseau chanteur est une adaptation du roman du même nom (que je n'ai pas lu) qui raconte l'histoire de Coriolanus Snow, le futur président tyrannique de Panem, alors qu'il est encore un jeune homme ambitieux. C'est le préquel de la précédente saga Hunger Games. L'histoire est captivante et elle permet de mieux comprendre les motivations de Coriolanus Snow et de voir comment il est devenu le monstre qu'on connaît. Seule la partie des Hunger Games est plutôt décevante par rapport à ce qu'on a connu avec la précédente saga. Ensuite, les performances des acteurs sont excellentes. Tom Blyth est convaincant dans le rôle de Coriolanus Snow, et Rachel Zegler est lumineuse dans le rôle de Lucy Gray Baird. Cette dernière chante beaucoup et on a le droit à de belles chansons ! Le film mêle parfaitement action, romance et parties musicales. Le tout pour du grand spectacle.
Un scénario incroyable rempli de rebondissements, on oscille du début à la fin de surprises en surprises . L'actrice est incroyable et attachante , l'action un peu moins présente que les autres films mais largement compensés par les dialogues et les surprises narratives . Bon moment cinématographique