Hunger Games: la Ballade du serpent et de l'oiseau chanteur : Critique presse
Hunger Games: la Ballade du serpent et de l'oiseau chanteur
Note moyenne
3,1
22 titres de presse
Ouest France
Public
20 Minutes
Le Parisien
Le Point
Closer
Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Obs
La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
Paris Match
Première
aVoir-aLire.com
CNews
Le Journal du Geek
Le Monde
Libération
Télé 7 Jours
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Ouest France
par Elias Zabalia
Lucy, la nouvelle héroïne incarnée par Rachel Zegler, pourrait bien remplacer Katniss dans le cœur du public.
Public
par Sarah Lévy-Laithier
On reste bouche bée devant les effets spéciaux, le rythme insufflé par la musique, le scénario à rebondissements.
20 Minutes
par Caroline Vié
Rachel Zegler révèle un charisme digne de celui de Jennifer Lawrence à ses débuts.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Parisien
par La Rédaction
Mais, au-delà de ces similitudes et transmissions du flambeau, ce nouvel opus réussit son pari, nous accrocher avec une nouvelle histoire tout en décrivant l’inéluctable passage du « côté obscur de la force » d’un personnage marqué par le destin.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par David Mikanowski
Mais si ce volet est contre toute attente une assez bonne surprise, c'est avant tout grâce à son casting : dans le rôle du jeune Coriolanus, le quasi-inconnu Tom Blyth est une vraie découverte. Il incarne avec une grande sobriété un personnage extrêmement complexe et exprime avec subtilité son ambivalence.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Closer
par J.-P G.
Mais le talent des comédiens, Tom Blyth et Viola Davis en tête, ajoutée à la violence de certaines scènes, donne au récit une épaisseur inattendue. Celle d'un blockbuster d'action austère qui s'autorise un rai de lumière à travers idylle (maudite) de ses personnages principaux.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Basé sur le roman de Suzanne Collins, scénarisé par Michael Lesslie et Michael Arndt, habilement maîtrisé par le réalisateur Francis Lawrence, La Ballade du serpent et de l’oiseau chanteur mêle action, romance et numéros musicaux, sur un air classique de Roméo et de Juliette.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Certes, l’esthétique rétro-futuriste est plus inspirée que la mise en scène, sans personnalité. Mais la dystopie est d’une telle violence qu’on pardonne le formatage un peu kitsch.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Démonstration pas toujours convaincante mais spectacle néanmoins solide.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Basé sur le roman de Suzanne Collins, scénarisé par Michael Lesslie et Michael Arndt, habilement maîtrisé par le réalisateur Francis Lawrence, La Ballade du serpent et de l’oiseau chanteur mêle action, romance et numéros musicaux, sur un air classique de Roméo et de Juliette.
Le Figaro
par C.J.
Francis Lawrence tisse ici une dystopie prenante. Mais ce suspense est un peu gâché par une fin connue d'avance.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le long métrage résolument nihiliste assume sa dimension sociale et politique en dénonçant le fossé entre riches et pauvres, la montée du fascisme, et en s’interrogeant sur nos instincts primaires.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Jérémie Oro
Ce préquel fera surtout vibrer les fans, mais est assez bien raconté pour embarquer les moins initié·es. Décors, lumières, costumes, agencement des espaces : esthétiquement, “La Ballade du Serpent et de l’Oiseau Chanteur” est peut-être le volet le plus abouti de la franchise.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Fabrice Leclerc
La saga dystopique qui passionne les ados revient sur ses origines… comme tant d’autres. Résultat : un épisode inégal.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Elias Zabalia
Mais malgré des frustrations quant à des détails que l’on aimerait voir approfondi, Hunger Games : la ballade du serpent et de l’oiseau chanteur reste un spectacle exécuté avec précision.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Robin Berthelot
La saga Hunger Games revient pour un préquel tout à fait honorable, aventure menée tambour battant autant qu’analyse des vicissitudes du pouvoir.
CNews
par La rédaction
Le long-métrage souffre cependant d’une durée beaucoup trop longue (2h38), et cela malgré des événements ou des aspects de l’histoire qui auraient mérité que l’on s’y attarde davantage. L’histoire d’amour cousue de fil blanc et mièvre entre Coriolanus Snow et Lucy Gray Baird peine à convaincre.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Le Journal du Geek
par Arthur Nicolle
Plutôt que d’espérer offrir une adaptation correcte d’un excellent roman, ce long-métrage semble répondre au mauvais cahier des charges. Les grandes têtes d’Hollywood chercheraient-elles simplement à garantir des entrées grâce au succès passé de la franchise ? Corio et Lucy Gray méritaient mieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Monde
par M. Jo.
Cet énième volet semble n’être là que pour entretenir la connivence avec le public, s’assurer qu’il est encore là et renflouer les caisses.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Jérémy Piette
Préquel de la saga qui fit un nom à Jennifer Lawrence, cousu de fil blanc, le film ne transcende pas sa fonction de tremplin pour l’ascension de son actrice Rachel Zegler.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
La fabrique d’un monstre, voilà ce que nous raconte ce prologue trop long, bavard, dénué de rythme et d’invention, de la saga "Hunger Games".
Télérama
par Cécile Mury
Le Britannique Tom Blyth reprend avec panache le rôle interprété par Donald Sutherland dans les films précédents. Son charisme, au sein d’une troupe prestigieuse, compense un temps les incohérences du personnage, qui s’agite comme une boussole mal réglée entre le bien et le mal, dans un récit trop long, moins captivant que ses décors monumentaux inspirés des années 1930.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
Lucy, la nouvelle héroïne incarnée par Rachel Zegler, pourrait bien remplacer Katniss dans le cœur du public.
Public
On reste bouche bée devant les effets spéciaux, le rythme insufflé par la musique, le scénario à rebondissements.
20 Minutes
Rachel Zegler révèle un charisme digne de celui de Jennifer Lawrence à ses débuts.
Le Parisien
Mais, au-delà de ces similitudes et transmissions du flambeau, ce nouvel opus réussit son pari, nous accrocher avec une nouvelle histoire tout en décrivant l’inéluctable passage du « côté obscur de la force » d’un personnage marqué par le destin.
Le Point
Mais si ce volet est contre toute attente une assez bonne surprise, c'est avant tout grâce à son casting : dans le rôle du jeune Coriolanus, le quasi-inconnu Tom Blyth est une vraie découverte. Il incarne avec une grande sobriété un personnage extrêmement complexe et exprime avec subtilité son ambivalence.
Closer
Mais le talent des comédiens, Tom Blyth et Viola Davis en tête, ajoutée à la violence de certaines scènes, donne au récit une épaisseur inattendue. Celle d'un blockbuster d'action austère qui s'autorise un rai de lumière à travers idylle (maudite) de ses personnages principaux.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Basé sur le roman de Suzanne Collins, scénarisé par Michael Lesslie et Michael Arndt, habilement maîtrisé par le réalisateur Francis Lawrence, La Ballade du serpent et de l’oiseau chanteur mêle action, romance et numéros musicaux, sur un air classique de Roméo et de Juliette.
L'Obs
Certes, l’esthétique rétro-futuriste est plus inspirée que la mise en scène, sans personnalité. Mais la dystopie est d’une telle violence qu’on pardonne le formatage un peu kitsch.
La Voix du Nord
Démonstration pas toujours convaincante mais spectacle néanmoins solide.
Le Dauphiné Libéré
Basé sur le roman de Suzanne Collins, scénarisé par Michael Lesslie et Michael Arndt, habilement maîtrisé par le réalisateur Francis Lawrence, La Ballade du serpent et de l’oiseau chanteur mêle action, romance et numéros musicaux, sur un air classique de Roméo et de Juliette.
Le Figaro
Francis Lawrence tisse ici une dystopie prenante. Mais ce suspense est un peu gâché par une fin connue d'avance.
Le Journal du Dimanche
Le long métrage résolument nihiliste assume sa dimension sociale et politique en dénonçant le fossé entre riches et pauvres, la montée du fascisme, et en s’interrogeant sur nos instincts primaires.
Les Inrockuptibles
Ce préquel fera surtout vibrer les fans, mais est assez bien raconté pour embarquer les moins initié·es. Décors, lumières, costumes, agencement des espaces : esthétiquement, “La Ballade du Serpent et de l’Oiseau Chanteur” est peut-être le volet le plus abouti de la franchise.
Paris Match
La saga dystopique qui passionne les ados revient sur ses origines… comme tant d’autres. Résultat : un épisode inégal.
Première
Mais malgré des frustrations quant à des détails que l’on aimerait voir approfondi, Hunger Games : la ballade du serpent et de l’oiseau chanteur reste un spectacle exécuté avec précision.
aVoir-aLire.com
La saga Hunger Games revient pour un préquel tout à fait honorable, aventure menée tambour battant autant qu’analyse des vicissitudes du pouvoir.
CNews
Le long-métrage souffre cependant d’une durée beaucoup trop longue (2h38), et cela malgré des événements ou des aspects de l’histoire qui auraient mérité que l’on s’y attarde davantage. L’histoire d’amour cousue de fil blanc et mièvre entre Coriolanus Snow et Lucy Gray Baird peine à convaincre.
Le Journal du Geek
Plutôt que d’espérer offrir une adaptation correcte d’un excellent roman, ce long-métrage semble répondre au mauvais cahier des charges. Les grandes têtes d’Hollywood chercheraient-elles simplement à garantir des entrées grâce au succès passé de la franchise ? Corio et Lucy Gray méritaient mieux.
Le Monde
Cet énième volet semble n’être là que pour entretenir la connivence avec le public, s’assurer qu’il est encore là et renflouer les caisses.
Libération
Préquel de la saga qui fit un nom à Jennifer Lawrence, cousu de fil blanc, le film ne transcende pas sa fonction de tremplin pour l’ascension de son actrice Rachel Zegler.
Télé 7 Jours
La fabrique d’un monstre, voilà ce que nous raconte ce prologue trop long, bavard, dénué de rythme et d’invention, de la saga "Hunger Games".
Télérama
Le Britannique Tom Blyth reprend avec panache le rôle interprété par Donald Sutherland dans les films précédents. Son charisme, au sein d’une troupe prestigieuse, compense un temps les incohérences du personnage, qui s’agite comme une boussole mal réglée entre le bien et le mal, dans un récit trop long, moins captivant que ses décors monumentaux inspirés des années 1930.