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Gregory S
26 abonnés
581 critiques
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3,5
Publiée le 26 septembre 2019
D'après moi Woody un peu surnoté, c'est un film mineur. Bien joué mais les dialogues sont loin des meilleurs Allen. En revanche la direction d'acteurs est toujours aussi bonne. Un petit bonbon mais sans plus.
Bon petit film, distrayant , quelques scenes tirent parfois sur la longueur ce qui ramolli un peu le rythme et peut le rendre un peu ennyeux mais globalement, les acteurs sont excellent, l'histoire reste tout de même captivante et la morale de l'histoire est toujours bien présente . dommage que ce soit toujours dans les milieux bobos et riches de NY, du WA quoi ! A voir
Woody Allen ne réalise pas son meilleur film mais un Woody de plus dans sa meilleure tradition avec une construction scénaristique toujours identique, des acteurs assez savoureux et pétillants pour les 2 rôles principaux ainsi qu'un New York éclairé toujours par les lumières rasantes qu'il affectionne tant. Un bon Woody mais faut être fan donc dispensable.
Un film à la Woody Allen, parfait pour les fans ! Personnellement j'ai du mal avec la fin, mais c'est toujours un grand plaisir de retrouver ses codes.
n peu vain ( ou vague ? ) le discours de Woody Allen de retour dans ses fantasmes cinématographiques qu’il confie cette fois à une apprentie journaliste en charge d’un reportage sur Roland Pollard , un célèbre réalisateur . Celui-ci par une suite de contrariétés personnelles lui ouvre les portes du septième art, délaissant ainsi son petit copain avec qui elle devait poursuivre sa fin de semaine dans des quartiers de New-York. Deux vies en parallèles bien distinctes se dressent ainsi dans l’univers allenien toujours aussi léger, subtil et agréable, même si cette fois la réalisation ne force jamais le talent reconnu. Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
Petite déception avec ce dernier film du Maître. Plus dans la veine de L'homme Irrationnel (2015) que de Café Society (2016), qui nous avait ébloui, pour ne parler que de ses derniers films. On retrouve ici la finesse de l'humour allénien bien sûr, le décor de New York toujours aussi splendidement filmé - sous la pluie, isn't it romantic? - et des dialogues très écrits mais plein d'intelligence. Ce qui pêche ici, c'est le recul pris par WA dans le siège du réalisateur. Un peu "Regardez-moi filmer". Le ton des dialogues, l'élocution appliquée et le comportement très "provincial" du personnage joué par Elle Fanning, le twist final (à propos de Madame-mère) nous empêchent d’adhérer à cette histoire de weekend en amoureux entre deux jeunes tourtereaux que tout devrait opposer. Les mésaventures de la tourterelle embringuée dans un tourbillon salace ressortissent davantage du conte que du réalisme (on est habitué avec WA, certes). Le petit milieu de Park Avenue ou de la 5ème Avenue est représenté de façon tellement caricaturale que la satire tombe à plat. Bref, on craint que le Maître ait perdu la pêche, et on espère que les soubresauts de sa vie personnelle - que nous n'excusons en rien - n'auront pas d'influence sur la qualité de son oeuvre future.
Qu'est ce qu'il ressemble plus à un Woody Allen qu'un autre Woody Allen? C'est la question que je me suis posé tout au long du film car j'ai l'impression d'avoir mille fois ce film de Woody Allen. Toujours le même genre d'histoire amoureuse dont seulement quelques petites détails changent. Même les actrices jouent de la même manière : Elle Fanning joue comme Emma Stone... Alors que d'ordinaire non ! Même Timothée Chalamet n'est pas extraordinaire. La seule chose à retenir c'est l'humour car on rit beaucoup mais un trop aux détriments de la stupidité d'un personnage et des situations cocasses. On est loin de ses chefs d'oeuvres ...
Allen tente de refaire les films de son âge d'or et ne parvient qu'à livrer une oeuvre pathétique et rance. Une amourette niaiseuse et triste, insupportablement machiste, terriblement vieillie, ou tout le monde semble faire semblant de rêver d'un âge d'or qui n'existe plus. Il est plus que temps d'arrêter !
Tourné en septembre 2017, il aura donc fallu deux ans à Un jour de pluie à New York pour enfin être distribué dans les salles françaises. Ce long délai trouve sa source dans le rejet du film par son principal producteur Amazon Studios. Ce ne sont pas les qualités du film qui sont ici mises en cause mais le passé de son auteur, Woody Allen pourtant innocenté devant la justice. Un jour de pluie à New York remémore donc le passé et reconduit un « système » déclinant... des lieux et des situations maintes fois visités. Déjà vu ? Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com/2019/10/07/un-jour-de-pluie-a-new-york/
Après le catastrophique Wonder Wheel qui était surtout en roue libre, Woody Allen compose une comédie tranche de vie à la Lauzier (pour ceux qui connaissent encore cet auteur de BD caustique des années 70) qui met en situation un jeune couple et les tourments de leur âge.
On est loin des grands films du passé. Le réalisateur New-yorkais a retrouvé une certaine fraîcheur sans réelle nouvelle inspiration. Les dialogues et les situations ne sont pas particulièrement incisifs, on est pas loin du bavardage, et on rit rarement.
L'esprit allenien transpire tout de même et le conteur a eu l'intelligence de jouer petit braquet en resserrant la caméra sur la thématique du couple.
Le film sent aussi le petit budget avec des scènes extérieures jouées en studio. New York a la texture du carton pâte.
Quatre-vingt sept films à 83 ans. Voilà ce qu'a tourné l'immense cinéaste. Il a droit à des baisses de régime. Et je préfère une nouvelle oeuvre qu'une retraite définitive.
Si vous aimez les clichés, l’humour lourd et les logorrhées, courez voir ce film ! Trop de dialogues, tuent les dialogues. Derrière une apparente jovialité, Allen nous fait part de son désenchantement sur les rapports hommes/femmes, en montrant le « sexe faible » prêt à sacrifier tout amour pour les paillettes, la gloire ou l’argent. Allen se projette dans le personnage joué par Thimothée Chalamet, jeune amoureux transis au cœur pur, à la culture éclectique et aux parfaites manières, vite remplacé dans le cœur de sa dulcinée par le premier acteur ou metteur en scène qui passe… Les voix off sont toujours constantes, comme dans tous ses films et s’ajoutent aux dialogues déjà incessants. A la fin, on se dit quand même…« tout ça pour ça ! »
Un nouveau Woody Allen très classique, très conforme à ce qu’il sait faire, toujours porté par d’excellents dialogues ... même si c’est souvent pour souligner la bêtise/l’ignorance du personnage principal féminin mais qui reste un Woody Allen mineur dans la filmographie du réalisateur. C’est dommage car cette comédie romantique a de nombreuses qualités. Malheureusement, certains rebondissements s’avèrent peu crédibles et il y a quelques baisses de rythme préjudiciables.
Du Woody Allen assez classique dans le genre. Boring pour moi... le scénario est intéressant même si les situations sont trop improbable pour être embarqué dans la magie...
On reconnaît la patte Woody Allen : entre couleur et pluie, romantisme et trahison, lyrisme et mélancolie. Après Barcelone (Vicky Cristina Barcelona), Paris (Minuit à Paris) et Rome (To Rome with Love), cette fois c'est New-York qui est mis à l'honneur et a droit à une superbe photographie et à son lot de destins croisés. Le fond n'est malheureusement pas à la hauteur de cette forme enchanteresse : cela manque d'enjeux et de sentiments. C'est plat et l'on ne ressent rien.
Écrire un commentaireWoody Allen fait du Woody Allen comme personne d'autre que Woody Allen. On peut aimer son style de voix off exprimant des pseudos états d'âmes dès les premières images, ses rebondissements aussi théâtraux que poussifs et clichés (ex : le cliché de la femme qui arrive qd le mari s'apprête à la tromper) et le happy end mi-comique mi-moralisateur. Ou s'ennuyer fortement et être soulagé d'arriver à la fin.