Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Positif
par Eithne O'Neill
Sans affabulation, ce film a la vitalité d'une fable. La réalité engendre la poésie ; les mythes se concrétisent. Entre documentaire et fiction, l'équilibre des genres est atteint. "Une année polaire" exprime un amour survolant l'étendue sauvage ; mélancolique et blanche.
20 Minutes
par Caroline Vié
Un film fascinant, entre documentaire et fiction.
BIBA
par Lili Yubari
Un film mi-fiction mi-docu transcendé par la beauté des grands espaces blancs et des aurores boréales.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Si scénaristiquement c’est élémentaire, sur le plan documentaire c’est superbe, tant pour les lieux filmés, majestueux, que pour les situations authentiques – en particulier une épique chasse au phoque. Pas un grand film, mais un film vrai. C’est déjà beaucoup.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Entre documentaire et fiction, le long-métrage de Samuel Collardey allie merveilleusement le sens de la pédagogie et celui de l'aventure.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Une chronique pleine de chaleur humaine dans l’immensité blanche et polaire, mettant en scène le choc de deux cultures qui tentent d’entrer en contact et de se comprendre, loin des clichés.
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Cette chronique naturaliste et modeste nous immerge dans une culture dont il faut garder précieusement les traces.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Samuel Douhaire
Le réalisateur filme cette transmission d’une culture traditionnelle menacée par la modernité avec beaucoup de tendresse et de complicité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
De cette aventure en territoire inexploré, il reste un voyage lumineux qui, en dit plus long qu’il n’y paraît sur la manière dont notre héritage culturel et familial façonne notre rapport aux autres.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Mathis Badin
Une année polaire séduit par la voie inattendue qu’il emprunte, et qui consiste à se détacher peu à peu de son personnage.
Critikat.com
par Benoît Smith
Il faut attendre que soit épuisée cette question de conflit culturel - (...) vers la moitié du film - pour que celui-ci semble décoller, et la matière documentaire travaillée par Collardey lui inspirer quelque chose de l'intuition dont il est capable.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Samuel Collardey opte pour une fable par trop idyllique, où la solitude et l’adversité se muent en adoubement quand le héros consent à se fondre dans cette société, à l’accepter telle qu’elle est. Cette Année polaire ressemble à un joli conte initiatique de Noël, enluminé de belles images.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Primé au festival de Valenciennes, ce joli film suit l’adaptation d’un instituteur danois dans un hameau perdu du Groenland. Le réalisateur s’éloigne avec bonheur de l’approche purement documentaire pour bâtir un récit à la fois intime et homérique.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le film redevient passionnant dès qu’il s’adonne à sa veine anthropologique, plongeant dans le quotidien des Inuits, s’arrêtant sur leurs visages et leurs gestes, détaillant leurs pratiques, comme la pêche au phoque, les courses en traîneau, la fabrication d’un harnais, la procession d’un enterrement.
Le Parisien
par La Rédaction
Le film abandonne malheureusement trop vite son intrigue au profit du documentaire, laissant le spectateur un peu sur sa faim. Mais il brosse un portrait passionnant de la société groenlandaise, sur fond de paysages fascinants.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Si ce film reste d’une simplicité biblique, il ne sent jamais l’artifice et il brosse, à sa manière brute, un tableau assez ample et nuancé d’une réalité donnée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Jérémy Piette
Peut-être le film manque-t-il d’une certaine brutalité, quelque chose de vif qui s’attrape, branlant, à la volée entre deux plans malheureusement trop bien léchés, et quelques ours blancs si apprêtés qu’ils en feront couiner d’attendrissement plus d’un.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonne
Un film hybride, entre docu et fiction.
L'Obs
par François Forestier
C'est noble, cet échange de valeurs civilisatrices. C'est intéressant, le conflit intérieur d'Anders. Mais a-t-on vraiment envie d'aller au cinéma pour assister à la tempête sous un crâne d'un Danois à Tiniteqilaaq ? Pas sûr.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
Sans affabulation, ce film a la vitalité d'une fable. La réalité engendre la poésie ; les mythes se concrétisent. Entre documentaire et fiction, l'équilibre des genres est atteint. "Une année polaire" exprime un amour survolant l'étendue sauvage ; mélancolique et blanche.
20 Minutes
Un film fascinant, entre documentaire et fiction.
BIBA
Un film mi-fiction mi-docu transcendé par la beauté des grands espaces blancs et des aurores boréales.
L'Humanité
Si scénaristiquement c’est élémentaire, sur le plan documentaire c’est superbe, tant pour les lieux filmés, majestueux, que pour les situations authentiques – en particulier une épique chasse au phoque. Pas un grand film, mais un film vrai. C’est déjà beaucoup.
Le Figaro
Entre documentaire et fiction, le long-métrage de Samuel Collardey allie merveilleusement le sens de la pédagogie et celui de l'aventure.
Le Journal du Dimanche
Une chronique pleine de chaleur humaine dans l’immensité blanche et polaire, mettant en scène le choc de deux cultures qui tentent d’entrer en contact et de se comprendre, loin des clichés.
Les Fiches du Cinéma
Cette chronique naturaliste et modeste nous immerge dans une culture dont il faut garder précieusement les traces.
Télérama
Le réalisateur filme cette transmission d’une culture traditionnelle menacée par la modernité avec beaucoup de tendresse et de complicité.
aVoir-aLire.com
De cette aventure en territoire inexploré, il reste un voyage lumineux qui, en dit plus long qu’il n’y paraît sur la manière dont notre héritage culturel et familial façonne notre rapport aux autres.
Cahiers du Cinéma
Une année polaire séduit par la voie inattendue qu’il emprunte, et qui consiste à se détacher peu à peu de son personnage.
Critikat.com
Il faut attendre que soit épuisée cette question de conflit culturel - (...) vers la moitié du film - pour que celui-ci semble décoller, et la matière documentaire travaillée par Collardey lui inspirer quelque chose de l'intuition dont il est capable.
La Croix
Samuel Collardey opte pour une fable par trop idyllique, où la solitude et l’adversité se muent en adoubement quand le héros consent à se fondre dans cette société, à l’accepter telle qu’elle est. Cette Année polaire ressemble à un joli conte initiatique de Noël, enluminé de belles images.
La Voix du Nord
Primé au festival de Valenciennes, ce joli film suit l’adaptation d’un instituteur danois dans un hameau perdu du Groenland. Le réalisateur s’éloigne avec bonheur de l’approche purement documentaire pour bâtir un récit à la fois intime et homérique.
Le Monde
Le film redevient passionnant dès qu’il s’adonne à sa veine anthropologique, plongeant dans le quotidien des Inuits, s’arrêtant sur leurs visages et leurs gestes, détaillant leurs pratiques, comme la pêche au phoque, les courses en traîneau, la fabrication d’un harnais, la procession d’un enterrement.
Le Parisien
Le film abandonne malheureusement trop vite son intrigue au profit du documentaire, laissant le spectateur un peu sur sa faim. Mais il brosse un portrait passionnant de la société groenlandaise, sur fond de paysages fascinants.
Les Inrockuptibles
Si ce film reste d’une simplicité biblique, il ne sent jamais l’artifice et il brosse, à sa manière brute, un tableau assez ample et nuancé d’une réalité donnée.
Libération
Peut-être le film manque-t-il d’une certaine brutalité, quelque chose de vif qui s’attrape, branlant, à la volée entre deux plans malheureusement trop bien léchés, et quelques ours blancs si apprêtés qu’ils en feront couiner d’attendrissement plus d’un.
Première
Un film hybride, entre docu et fiction.
L'Obs
C'est noble, cet échange de valeurs civilisatrices. C'est intéressant, le conflit intérieur d'Anders. Mais a-t-on vraiment envie d'aller au cinéma pour assister à la tempête sous un crâne d'un Danois à Tiniteqilaaq ? Pas sûr.