Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le spectateur est bluffé par tant de justesse.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Obs
par Jérôme Garcin
C'est rare de voir un film d'une telle tendresse et d'une telle violence. A la fois si intime et si universel.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Inspirée par sa propre histoire, Margaux Bonhomme a réalisé un film sans concession sur le quotidien d’une famille confrontée au handicap dans lequel l’actrice Jeanne Cohendy livre une incroyable performance. Dérangeant mais nécessaire.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Point
par Brigitte Hernandez
On pourrait croire ce film pesant, il est tout le contraire. Intense, sans pathos, juste et en grande partie autobiographique.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Positif
par Eithne O'Neill
Sont bannis, la sentimentalité comme le misérabilisme. La force du film réside dans le mariage de son réalisme et de la vérité intime.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Ce film n'a rien à voir avec le roman Marche ou crève de Stephen King. Et, malgré son titre en forme d'injonction, il mérite qu'on s'y arrête.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un drame sensible et délicat, qui ne laisse pas indifférent.
Le Monde
par Murielle Joudet
La vertu de Marche ou crève est de nous faire plonger dans ce quotidien particulier : celui d’un père de famille célibataire qui vit avec ses deux filles, Elisa et Manon, qui souffre d’un lourd handicap.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Une chronique estivale pleine de bonté malgré son titre martial, à la simplicité bienvenue, mais qui ne teste jamais les limites de sa propre bienveillance.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Consciencieusement mise en scène, cette partie d’escalade entre père et fille place d’emblée le film du côté du récit initiatique d’une jeune héroïne empêchée – et, par ricochet, d’une cinéaste en devenir.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par François Rieux
Au plus près de ses personnages, notamment la cadette incarnée avec ardeur par une Diane Rouxel fragile et incandescente, la réalisatrice filme les moments les plus tendres comme les plus difficiles sans jugement ni prétention. Il en découle un drame à la finesse palpable et au fatalisme crève-cœur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Guillemette Odicino
Les soins sont au centre de la fiction, mais, dans cette mise en scène heurtée, voire accidentée, ce sont les cris qui prennent le dessus telle une musique lancinante, belle et déstabilisante. Face à Jeanne Cohendy (la sœur), révélée par sa composition époustouflante, Diane Rouxel irradie à nouveau, fébrile mais droite comme un i.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Un drame qui a le mérite de raconter le quotidien des aidants et de révéler une actrice exceptionnelle : Jeanne Cohendy.
L'Express
par Christophe Carrière
Les meilleurs sentiments n'empêchent pas le ras-le-bol, auquel n'échappe pas l'héroïne... passé les deux tiers du film. C'est bien dommage, car c'était là le sujet à exploiter, plutôt que l'évidente difficulté du quotidien, qui pouvait se traiter en une petite demi-heure.
20 Minutes
Le spectateur est bluffé par tant de justesse.
L'Obs
C'est rare de voir un film d'une telle tendresse et d'une telle violence. A la fois si intime et si universel.
La Croix
Inspirée par sa propre histoire, Margaux Bonhomme a réalisé un film sans concession sur le quotidien d’une famille confrontée au handicap dans lequel l’actrice Jeanne Cohendy livre une incroyable performance. Dérangeant mais nécessaire.
Le Point
On pourrait croire ce film pesant, il est tout le contraire. Intense, sans pathos, juste et en grande partie autobiographique.
Positif
Sont bannis, la sentimentalité comme le misérabilisme. La force du film réside dans le mariage de son réalisme et de la vérité intime.
Le Figaro
Ce film n'a rien à voir avec le roman Marche ou crève de Stephen King. Et, malgré son titre en forme d'injonction, il mérite qu'on s'y arrête.
Le Journal du Dimanche
Un drame sensible et délicat, qui ne laisse pas indifférent.
Le Monde
La vertu de Marche ou crève est de nous faire plonger dans ce quotidien particulier : celui d’un père de famille célibataire qui vit avec ses deux filles, Elisa et Manon, qui souffre d’un lourd handicap.
Les Fiches du Cinéma
Une chronique estivale pleine de bonté malgré son titre martial, à la simplicité bienvenue, mais qui ne teste jamais les limites de sa propre bienveillance.
Les Inrockuptibles
Consciencieusement mise en scène, cette partie d’escalade entre père et fille place d’emblée le film du côté du récit initiatique d’une jeune héroïne empêchée – et, par ricochet, d’une cinéaste en devenir.
Première
Au plus près de ses personnages, notamment la cadette incarnée avec ardeur par une Diane Rouxel fragile et incandescente, la réalisatrice filme les moments les plus tendres comme les plus difficiles sans jugement ni prétention. Il en découle un drame à la finesse palpable et au fatalisme crève-cœur.
Télérama
Les soins sont au centre de la fiction, mais, dans cette mise en scène heurtée, voire accidentée, ce sont les cris qui prennent le dessus telle une musique lancinante, belle et déstabilisante. Face à Jeanne Cohendy (la sœur), révélée par sa composition époustouflante, Diane Rouxel irradie à nouveau, fébrile mais droite comme un i.
Voici
Un drame qui a le mérite de raconter le quotidien des aidants et de révéler une actrice exceptionnelle : Jeanne Cohendy.
L'Express
Les meilleurs sentiments n'empêchent pas le ras-le-bol, auquel n'échappe pas l'héroïne... passé les deux tiers du film. C'est bien dommage, car c'était là le sujet à exploiter, plutôt que l'évidente difficulté du quotidien, qui pouvait se traiter en une petite demi-heure.