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Votre avis sur Star Wars : Episode VI - Le Retour du Jedi ?
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oui encore un chef d'oeuvre ! c'est le meilleur des star wars bien qu'il est été filmé dans les années 80 et donc avec les effets spéciaux de l'époque (maquettes) et sans ordinateurs surpuissants nécessaires aux animations d'aujourd'hui !
La musique est en adéquation avec les images. c'est un délice de voir ou revoir cet épisode qui est le dernier !
La musique est en adéquation avec les images. c'est un délice de voir ou revoir cet épisode qui est le dernier !
La fin d'une excellente trilogie. Plus fort, plus frénétique, plus humain que les deux premiers. À mon sens, contrairement à beaucoup d'autres, le meilleur film de la Trilogie Originale. Le projet de Lucas est déjà là, celui d'humaniser Dark Vador afin que l'on puisse comprendre sa détresse, et découvrir petit à petit l'humain derrière le monstre de l'Empire Galactique. Un très bon film dans l'ensemble malgré des scènes beaucoup trop longues, en particulier sur la lune d'Endor, avec des Ewoks qui sont plus là pour vendre des jouets qu'autre chose. Ils ont cependant une importance dans le récit, contrairement à certains personnages ou entités dans les films plus récents. Une magnifique conclusion, des scènes très marquantes notamment la bataille de fin, et dans l'ensemble un film qui se surpasse et qui propose de magnifiques choses.
Judicieusement, George Lucas décide une nouvelle fois de s'effacer au profit d'un artisan honnête chargé de mettre en image le scénario écrit par Lucas et Kasdan. La même équipe que pour Indiana Jones, d'ailleurs. Sans doute que Lucas se souvient des difficultés rencontrées sur Un nouvel espoir et que le poste de producteur/scénariste moins exposé est bien plus confortable. Par rapport à Kershner dans L'Empire contre-attaque qui avait apporté une certaine noirceur, Marquand fait un peu l'inverse. Avec la multitude de races extraterrestres rigolotes et notamment les Ewoks qui ont une importance certaine dans la bataille contre l'Empire galactique, ça m'a fait un peu penser à Gremlins. Toujours très divertissant, Lucas a compris que la règle d'or était que le spectateur ne s'ennuie pas contrairement à 2001, l'Odyssée de l'espace. Il faut donc multiplier les aventures, les rebondissements, les combats en vaisseau spatial sur une musique épique. Comme dans une bonne bande dessinée. Car il n'y a rien de pire que de s'ennuyer au cinéma alors que tu as payé ta place. Les périodes de calme sont réservées à l'histoire d'amour entre Han et Leia et l'affrontement entre Luke et Dark Vador. Avec une tension dramatique exceptionnelle à chaque fois. J'aurais adoré découvrir ça au cinéma. Luke étant tiraillé par l'amour qu'il voue à son père et, en parallèle, le sort de ses amis. Dark Vador, s'il fallait le dire, campe un méchant d'anthologie. Cruel, dépourvu d'émotion, il fend enfin l'armure. Lucas montre qu'il y a du bon dans tout être humain même si ce n'était pas évident au départ. Il clôt magnifiquement sa trilogie en ne laissant aucune question en suspend. Tous les conflits sont réglés. Le spectateur n'est donc pas frustré si ce n'est d'avoir le regret de quitter ce trio si attachant. On aurait bien aimé les accompagner pour d'autres missions face à d'autres menaces sur d'autres planètes et d'autres aliens pour les trahir ou les aider.
Une demi étoile pour ce troisième opus qui conclut
spoiler:
la délivrance d'Han Solo grâce à Luke Skywalker devenu puissant de
. Il y a eu des horreurs dans le début de ce film. spoiler: Jabba, le rancor que C3Po connaît sans savoir comment il le connaît et le pire, le sarlacc (qu'elle horreur)
ça commence mal. Boba Fett connu comme un des plus grands chasseurs de prime spoiler: ne sait pas viser et se retrouve bêtement englouti dans la gueule du sarlacc
. Jabba se fait étrangler par Leia en plus. Yoda meurt. Puis on passe au thème de la spoiler: bataille finale contre l'empire
. Déjà avec les ewoks comme crédibilité ce n'est pas ça : spoiler: ils semblent être plus efficaces que les impériaux au combat
. spoiler: Le passage où Palpatine s'adresse sans cesse à Luke Skywalker pour essayer de l'attirer du côté obscur c'est un peu lourd longuet et pas très intéressant
. Jamais un combat dans l'espace n'a jamais été aussi violent. Un des pires star Wars avec la prelogie
. Il y a eu des horreurs dans le début de ce film. spoiler: Jabba, le rancor que C3Po connaît sans savoir comment il le connaît et le pire, le sarlacc (qu'elle horreur)
ça commence mal. Boba Fett connu comme un des plus grands chasseurs de prime spoiler: ne sait pas viser et se retrouve bêtement englouti dans la gueule du sarlacc
. Jabba se fait étrangler par Leia en plus. Yoda meurt. Puis on passe au thème de la spoiler: bataille finale contre l'empire
. Déjà avec les ewoks comme crédibilité ce n'est pas ça : spoiler: ils semblent être plus efficaces que les impériaux au combat
. spoiler: Le passage où Palpatine s'adresse sans cesse à Luke Skywalker pour essayer de l'attirer du côté obscur c'est un peu lourd longuet et pas très intéressant
. Jamais un combat dans l'espace n'a jamais été aussi violent. Un des pires star Wars avec la prelogie
Le dernier épisode d’une faible trilogie, le côté obscur de la force est l’intrigue attrayante, la postérité du succès de la franchise continuera à exercer un attrait magnétique chez ses fans. L’ambiance est kitch avec ces créatures sorties des bandes dessinées, la grosse bête visqueuse, gardien de plaque carbonique à la signature Han Solo, retenu prisonnier en compagnie de la princesse Leia, une enchaînée sexy. Avec l’aide précieuse des fantastiques robots polyglottes polyvalents, C-3PO et R2D2, Luke Skywalker ira droit au but, combattre le cœur du siège de l’empire, l’étoile semant des guerres, de la mort et résidence principale de son sombre paternel révélé suivant les événements de l’aventure précédente, Darth Vader et l’ultime ennemi, l’empereur Palpatine. Le scénario est romantique et simple comme une fleur bleue, l’idéalisme de la super-force spirituelle combative de l’ordre du Jedi face à la tentation de la colère, une morale manichéenne que cela représente. Le cœur du véritable Anakin Skywalker derrière la mécanique du masque mortuaire vacille entre les deux forces distinctives, il ne sait pas sur quel pied danser après avoir embrassé la foi obscure, un vilain défaut. La fin expédiée telle une lettre à la poste du cinéma de science-fiction d’opérette, puisse les grands esprits des maîtres légués l’héritage.
2,5 étoiles - Star Wars : Episode VI - Le Retour du Jedi
Film spectacle. L'imaginaire est riche, l'humour n'est pas absent et l'action arrive à retenir notre attention. Mais, le scénario est simpliste, parfois enfantin ... il n'y a pas le mystère et le souffle des deux épisodes précédents : décors et personnages sont ternes. Dommage. L'intérêt pour ce sixième chapitre de la guerre des étoiles repose essentiellement sur l'envie de connaître la suite de cette odyssée.
Film spectacle. L'imaginaire est riche, l'humour n'est pas absent et l'action arrive à retenir notre attention. Mais, le scénario est simpliste, parfois enfantin ... il n'y a pas le mystère et le souffle des deux épisodes précédents : décors et personnages sont ternes. Dommage. L'intérêt pour ce sixième chapitre de la guerre des étoiles repose essentiellement sur l'envie de connaître la suite de cette odyssée.
Dernier opus de la première trilogie , a titre de comparaison , même si le film est excellent , il est légèrement infèrieur au 4 et 5 ! conclusion parfaite pour une trilogie parfaite avec beaucoup d'émotions et de nostalgie .. 19/20
Ce n'est désormais plus le dernier de la saga mais celui-la se conclue pourtant. Une action et un rythme impeccable. Un scénario très œdipien, une tragédie grecque. Le passage de l'enfance à la maturité. Par contre on sent que Lucas commence à vouloir vendre des jouets et des peluches : l'apparition inutile des Ewoks pure produit commercial. La fin, elle, donne toujours des frissons quand Vador enleve son masque... Culte et inépuisable.
Pour moi c'est l'épisode le plus sous estimé de la Trilogie donc de toute la franchise, apportant un debut qui suit la fin de l'Empire contre attaque de façon logique et une conclusion parfaitement digne d'un Star Wars. Mais je comprendrais que le debut avec Jabba Le Hutt, diverses créatures y compris le Sarlacc peut paraître laid et je comprendrais que les Ewoks se battant contre les meilleurs soldats de l'Empire pour le compte de la Rebellion n'est pas une idée franchement réaliste. Endor et les Ewoks ont l'avantage d'etre exotiques mais c'est tout. Le combat entre Luke et Vador et le combat spatial de la fin sont grandioses.
Henrico
Afin d’éclairer les cinéphiles, qui par pure esprit perfectionniste, compte tenu de l’imminence du huitième épisode, souhaiteraient se remettre en mémoire l’ensemble de la série, voici quelques conseils. Premièrement : évitez les extrêmes. Faites-vous raconter les 1er et 6ème! Ou lisez-en les synopsis. En dépit de leur éloignement dans le temps, ces deux épisodes ont ceci de commun qu’ils introduisent archi maladroitement un élément stylistique pourtant présent harmonieusement, en quantité et qualité, dans l’ensemble: le grotesque. Abondamment et grossièrement traité par Lucas dans le 1er, Marquand le fait de manière permanente, et tout simplement pitoyable dans le 6ème. Dans le 1er, il se matérialise par la présence de Jar-Jar Binks. Outre, l’aspect exagérément dégingandé du personnage, sa voix et son langage en anglais sont une espèce de Pidjin plutôt ridicule. Son équivalent dans la version française est tout aussi ridicule. Il s’agit d’un langage « Petit-Nègre » que l’on retrouve chez certains personnages noirs dans « Tintin au Congo ». Outre ces choix malheureux, le film pêche par un scénario alambiqué (nombreux méandres et rebondissements) ou les retournements de situations ne sont pas présentés de façon claire (entre autre : qui est réellement à l’origine des clones ? Pour quelle finalité ?). Pour ce qui du 6ème, Marquand fait entrer sans finesse le grotesque dès le début, de manière archi relou par le biais des gardes cochons de Jabba. Et ne parlons pas du dénommé Jabba lui-même ! Lucas, heureusement, dans sa reprise, corrige cet aspect lourdingue du jabba de Marquand, l’affine (au propre comme au figuré), et le crédibilise. Le comble du grotesque raté revient à la présence des Ewoks, dont on peut noter, à l’écran, plusieurs défauts de maquillage, et dans l’intrigue, plusieurs incongruités. Dispensés des deux gênants extrêmes, les cinéphiles pourront donc à loisir se (re) plonger dans l’excellence des épisodes 2, 3, 4 et 5. Les deux derniers pour les extraordinaires performances des acteurs, surtout celle d’Alec Guiness, et l’ingéniosité palpitante du scénario. Pour ce qui est des 2 et 3 èmes épisodes, Lucas se surpasse. Sachant qu’il n’a pas le charisme d’acteurs tels que Guiness, Ford ou Hamill, il charge les dialogues d’une langue très travaillée, et construit un scénario Shakespearien. Pour ce faire, il puise dans l’histoire gréco-latine, (émergence et apogée des Républiques) et dans l’histoire contemporaine, (américaine, en l’occurrence). Donnant un ensemble extrêmement bien réussi. Le 7ème volet est honorable, le 8 est tout simplement assommant.
oui il est revenu !
le dernier, avant le prochain et celui d'après
l'univers originel et original qui ne sera que copié, jamais égalé
dire qu'il a 40 ans est un vrai bonheur et regarder un "vieux" film est toujours aussi plaisant
je ne suis pas ton père, mais si je l'étais, je te dirais " regarde le, mon fils ! "
le dernier, avant le prochain et celui d'après
l'univers originel et original qui ne sera que copié, jamais égalé
dire qu'il a 40 ans est un vrai bonheur et regarder un "vieux" film est toujours aussi plaisant
je ne suis pas ton père, mais si je l'étais, je te dirais " regarde le, mon fils ! "
Le Retour du Jedi est pour moi le meilleur épisode de la série, car il clôture cette histoire d'une telle façon que j'ai rarement vu ou lu une histoire monter avec une telle intensité pour finir par dénouer toutes les problématiques qu'il avait crée.
On retrouve donc un Luke devenu Chevalier Jedi, en pleine possession de ces pouvoirs, et une guerre entre l'Alliance et l'Empire qui arrive à un point culminant pour les deux forces en présence...L'innocence de l'épisode IV laisse place à la dure réalité de l'épisode V, où nos héros savent pertinemment qui est l'ennemi, et dessinent un moyen de le vaincre.
Comme dans tous les Star Wars, il y aura plusieurs actes dont un premier assez long mais qui nous fera faire connaissance avec Jabba le Hutt, nommé depuis l'épisode IV, son antre-bordel, et aussi une scène dans le désert particulièrement spectaculaire.
Les seconds couteaux auront un rôle très important dans ce volet, tel que Bobba Fett, Yoda de nouveau, ainsi que les Ewoks.
Les Ewoks et Yoda justement permettront au récit de s'arrêter quelques instants avant les grandes batailles qui s'annoncent. Il y a même certaines longueurs, mais qui restent essentielles à l'histoire, pour comprendre la motivation de Luke, ou l'alliance qui sera faite pour sauver Endor.
Mais ce film pourrait se résumer à sa dernière heure, où le rythme n'a que rarement été aussi effréné dans toute la saga. La force de ce final est d'alterner entre les différents endroits où se joue le conflit, à savoir 3 différents. On alternera donc entre le groupe de Han, Luke, ainsi que le groupe spatial de Calrissian.
Et pour ces trois parties, l'affrontement est grandiloquent et n'a jamais été aussi intense (quoique la bataille de Hoth...
Un final que j'apprécie toujours malgré les épisodes, malgré les années, car un réel épilogue selon moi. La boucle est bouclée, et j'ai même un pincement au coeur de voir un certain bucher bruler vers la fin du film, avec tout ce que cela implique. Et même si la conclusion reste un peu niaise et convenue selon certains, je leur répondrais que c'est un style de film où l'on a encore envie de rêver, et où l'on a pas envie d'être dans la réalité.
Pour toutes ces raisons, Star Wars VI reste mon épisode préféré, de très loin.
Mais je tiens à mentionner quand même que J. Williams nous propose là, selon moi, la meilleur bande originale de toute la saga Star Wars, très homogène, avec des passages virevoltants, mais aussi émotionnellement très durs parfois.
On retrouve donc un Luke devenu Chevalier Jedi, en pleine possession de ces pouvoirs, et une guerre entre l'Alliance et l'Empire qui arrive à un point culminant pour les deux forces en présence...L'innocence de l'épisode IV laisse place à la dure réalité de l'épisode V, où nos héros savent pertinemment qui est l'ennemi, et dessinent un moyen de le vaincre.
Comme dans tous les Star Wars, il y aura plusieurs actes dont un premier assez long mais qui nous fera faire connaissance avec Jabba le Hutt, nommé depuis l'épisode IV, son antre-bordel, et aussi une scène dans le désert particulièrement spectaculaire.
Les seconds couteaux auront un rôle très important dans ce volet, tel que Bobba Fett, Yoda de nouveau, ainsi que les Ewoks.
Les Ewoks et Yoda justement permettront au récit de s'arrêter quelques instants avant les grandes batailles qui s'annoncent. Il y a même certaines longueurs, mais qui restent essentielles à l'histoire, pour comprendre la motivation de Luke, ou l'alliance qui sera faite pour sauver Endor.
Mais ce film pourrait se résumer à sa dernière heure, où le rythme n'a que rarement été aussi effréné dans toute la saga. La force de ce final est d'alterner entre les différents endroits où se joue le conflit, à savoir 3 différents. On alternera donc entre le groupe de Han, Luke, ainsi que le groupe spatial de Calrissian.
Et pour ces trois parties, l'affrontement est grandiloquent et n'a jamais été aussi intense (quoique la bataille de Hoth...
Un final que j'apprécie toujours malgré les épisodes, malgré les années, car un réel épilogue selon moi. La boucle est bouclée, et j'ai même un pincement au coeur de voir un certain bucher bruler vers la fin du film, avec tout ce que cela implique. Et même si la conclusion reste un peu niaise et convenue selon certains, je leur répondrais que c'est un style de film où l'on a encore envie de rêver, et où l'on a pas envie d'être dans la réalité.
Pour toutes ces raisons, Star Wars VI reste mon épisode préféré, de très loin.
Mais je tiens à mentionner quand même que J. Williams nous propose là, selon moi, la meilleur bande originale de toute la saga Star Wars, très homogène, avec des passages virevoltants, mais aussi émotionnellement très durs parfois.
Je ne comprend pas la note moyenne de la presse. Le Retour du Jedi est pour moi un episode honorable. Parmi les plus épiques même, mais malgré cela, il est peut-être moins bien que les deux précédents pour les autres. Moi je ne pense pas qu'il soit (a part la présence de guerriers Ewoks) moins bon qu'Un Nouvel Espoir qui a terriblement mal vieilli un peu comme les vieux films Star Trek. Le Retour du Jedi apporte son lot de revelations et la bataille de la fin est spectaculaire.
Dernier volet de la trilogie originale, et même s'il est moins bien que le légendaire épisode V "L'Empire contre-attaque", "Le Retour du Jedi" reste un excellent film. On sent clairement une sorte de régression quant on voit ce film, on a beaucoup moins de choses qui nous éblouissent, mais comme je disais, ça reste vraiment très bon et rentre bien dans la continuité de l'histoire. Mais là tu sens que Georges Lucas veut reprendre les rennes de sa création après avoir confié la réalisation de "L'Empire contre-attaque" à Irvin Keshner, sauf que dans l'épisode V, ça se voyait comme un grand film et pas forcément comment un film commercial, alors que là, on ressent le marketing à plein nez quand on mate "Le Retour du Jedi". (Je reviendrais là-dessus plus tard.) En tout cas, niveau scénario, c'est bon, on est toujours bien embarqué dans l'univers de "Star Wars" en retrouvant tout l'aspect visuel, les environnements, les personnages cultes et les scènes de combat épiques. Les acteurs sont toujours au taquet, que ce soit Mark Hamill dans le rôle de Luke Skywalker, Harisson Ford dans le rôle de Han Solo, Carrie Fisher (RIP) dans le rôle de Leïa Organa, Anthony Daniels dans le rôle de C3-PO, Billie Dee Williams dans le rôle de Lando Calrissian, sans oublier bien sûr David Prowse dans le rôle du mythique Dark Vador. On a aussi Ian McDiarmid dans le rôle de l'empereur Palpatine qui là est vraiment bien badass, même s'il est grimaçant constamment, et les autres acteurs se débrouillent très bien aussi. Et on retrouve évidemment les personnages cultes comme Yoda, Obi-Wan Kenobi, et le repoussant Jabba Le Hutt. La musique de John Williams est toujours agréable à écouter, les scènes de combat et de bataille sont kiffantes... Mais la fin, tu te dis : What ? Alors la fin est belle, ça c'est sûr, mais tout le monde s'attendait à mieux quoi ! Surtout, ce que les gens reprochent au film, et là-dessus j'suis d'accord, c'est toutes les créatures, en particulier les Ewoks, qui sont des prétextes pour vendre des produits marketing à l'effigie de "Star Wars". Les Ewoks sont en quelques sortes des "cadeaux sur pattes" ! Et même s'ils sont mignons et attachants, on oublie pas le marketing quand on les voit. Mais sinon, "Le Retour du Jedi" reste un très bon épisode de la saga originale, qui la conclut de manière bonne, mais pas extra non plus. Quand on le regarde, on s'émerveille encore une fois... Donc voilà, matez ce dernier volet de la trilogie originale, je sais que c'est réducteur comparé à l'épisode précédent, mais ça continue à nous prendre de manière efficace. Et puis j'ai envie de dire, c'est pas le moins bon épisode de la saga vu la nouvelle trilogie actuelle !
Fantasme d‘enfant et revanche paternelle avoués de George Lucas, à la trame naïve puis enrichis en complexités et ensemencements potentiels, le premier opus de 1977, l’Episode 4, exultait les nouvelles technologies cinématographiques et les fantasmes de conquête des étoiles. Space-opéra innovant dans un genre encore inexploité, il était sûr de ne pas se tromper en utilisant des thèmes vieux comme le monde, lutte d’une rébellion contre une dictature, rétablissement d’une justice intergénérationnelle, aventures de cape et d’épée, duel au sabre, éternelle lutte du bien contre la mal, passage d’une étape de maturité du jeune héros grâce à l’ombre de son, de ses, mentor(s), et autres poursuites, retournements de situation, grande explosion finale, dans une aventure joyeuse et pas forcément promise à être poursuivie. A ce sujet je donnerais cher pour retrouver la version cinéma de 77, effacée 2 ans plus tard de toutes les pellicules, où mes anciens yeux d’enfant de 11 ans se souviennent encore du baiser langoureux entre Luke et Leia, scène confirmée par l’adaptation en BD de la même époque, à l’heure où il n’était pas prévu qu’ils deviennent sœur et frère dans les suites.
L’opus le mieux pensé, amené, accompli, mis en scène, reste l’Episode 5, où les personnages, Force comprise, les enjeux et rôles définitifs de chacun atteignent leur maturité, et où l’intrigue se révèle essentiellement familiale, subordonnée à une époque antérieure, et intimement déterminante à l’histoire politico-galactique non moins antérieure.
Malheureusement l’Episode 6 se presse trop de conclure la saga, réparer ce qu’il y avait à compléter, arranger les drames, et boucler les sorts de tout le monde, y compris la mort pratiquement éternuée de l’Empereur. Cette conclusion s’auto-saborde également en cédant à cette mode trop temporelle des 80’s, accès sur les comédies juvénilo-familio-fantastiques à la E.T ou Gremlins, et ici parfaitement illustrée par les mignons petits Ewoks et autre scènes virant à la farce.
L’opus le mieux pensé, amené, accompli, mis en scène, reste l’Episode 5, où les personnages, Force comprise, les enjeux et rôles définitifs de chacun atteignent leur maturité, et où l’intrigue se révèle essentiellement familiale, subordonnée à une époque antérieure, et intimement déterminante à l’histoire politico-galactique non moins antérieure.
Malheureusement l’Episode 6 se presse trop de conclure la saga, réparer ce qu’il y avait à compléter, arranger les drames, et boucler les sorts de tout le monde, y compris la mort pratiquement éternuée de l’Empereur. Cette conclusion s’auto-saborde également en cédant à cette mode trop temporelle des 80’s, accès sur les comédies juvénilo-familio-fantastiques à la E.T ou Gremlins, et ici parfaitement illustrée par les mignons petits Ewoks et autre scènes virant à la farce.
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