Comme dans le précédent volet, peut-être quelques légères longueurs, mais qu'importe. Cet épisode V est même encore plus fluide, plus riche, plus complexe dans la personnalité des personnages, l'univers imaginé par George Lucas se déployant encore sous nos yeux ébahis, Irvin Kershner restant très cohérent avec l'épisode précédent tout en lui offrant pas mal d'éléments nouveaux et autant d'incontournables : l'apparition de spoiler: Yoda , ces hallucinants tripods, et bien sûr le plus que mythique spoiler: « I'm your father » , méga spoiler de l'époque qui n'en est plus un depuis longtemps, mais qui continue à avoir une sacrée gueule encore aujourd'hui... Résultat : au-delà du divertissement trépidant, beaucoup de révélations, une mythologie se développant de manière toujours plus aigu et un nouveau grand spectacle quasi « Freudien » : culte, forcément.
Dès les premières minutes on comprend pourquoi cet opus est considéré par une grande majorité de fan comme le meilleur de la saga. Premièrement dans la mise en scène, pour laquelle on comprend dès les premières images que Lucas a passé la main : en effet celle-ci est bien plus soignée et maîtrisée que dans l’épisode IV, dans la mesure où ce n’est autre qu’Irvin Kershner qui passe derrière la caméra. Cependant Lucas reste à la production et au scénario (avec la collaboration de Lawrence Kasdan) et nous livre une histoire sombre, prenante et qui prend la peine d’étoffer les personnages déjà connus tout en en introduisant de nouveaux parmi lesquels Lando Calrissian incarné par le charismatique Billy Dee Williams, Boba Fett, personnage culte, incarné par Jeremy Bulloch ou encore Yoda dont on oublie facilement qu’il s’agit d’une marionnette grâce à l’immense talent de Franck Oz. Une fois de plus John Williams nous gratifie d’une musique splendide avec en particulier la « Imperial March » qui ponctue les apparitions de Darth Vader accentuant le caractère impitoyable du personnage qui n’hésite pas ici à exécuté ses propres officiers. Pour finir, on ne peux pas parler de ce film sans mentionner l’une des répliques les plus mythiques du cinéma : « Non, je suis ton père » qui nous rappelle que malgré le niveau de déchéance total atteint par Anakin Skywalker, il reste un homme sous l’armure et marque le début de la rédemption pour Vader.
Deuxième épisode de cette saga culte, qui ne comble pas les attentes par rapport au premier, mais qui les surpasse ! Toujours des batailles épiques, des musiques aussi bonnes, les éros toujours aussi parfaits, des paysages, des effets visuels qui ne vieillissent toujours pas et cette magnifique histoire dans ce fantastique univers.. 5/5 pour ce chef d'oeuvre intemporel qui contient les scènes les plus marquantes de la saga.
"Quand on s'attaque à l'empire..." Apparition de Yoda dans cet épisode. Ce qui m'impressionnera toujours, c'est la qualité de la trilogie. Enorme sur tous les plans !
Un des meilleurs épisodes de cette grande saga. Tout simplement. Le film qui forgea définitivement la légende de "Star Wars". Un divertissement de haute volée d'une puissance rare. Un grand film.
L'empire contre-attaque est le meilleur épisode de la première trilogie (et de la saga). On retrouve tous les ingrédients de la mythologie Star Wars avec un Dark Vador surpuissant, un Yoda en instructeur, un Luke essayant d'être un Jedï et le faucon millenium avec son duo Chewbacca/Ian Solo. Bref suspense, aventures, science fiction, le film n'a pas pris une ride 30 ans après. Le chef d'oeuvre de science fiction de George Lucas.
Un des épisodes les plus forts de la saga galactique. Pour la bataille sur la planète de glace Hoth, pour le rencontre de Luke et de Yoda, pour les relations tumultueuses entre Leia et Ian et surtout pour la révélation de Vador à Luke. Toujours spectaculaire et peut être l épisode le moins manichéen ce qui n est pas pour me déplaire.
Un des meilleurs exemples de suite réussie, une vraie continuité à l'aventure en proposant un ton différent, plus obscur et certes moins traditionnel que l'original. Ici les points de vue entre les rebelles et l'empire sont plus nombreux permettant de nous situer au plus près du conflit et des enjeux stratégiques et humains. Par contre il y a un truc qui m'a chiffoné en revoyant cette version retravaillée Blu-Ray c'est qu'il me semble que lors de l'échange entre Vador et l'Empereur ce dernier fait une sacrée allusion au sujet de Luke vis à vis de son lien de parenté ("cherchez dans votre coeur, vous saurez que c'est vrai"), ce qui spoile légérement le fameux climax final, même si d'un sens tout le monde le sait le choix d'implanter cette ligne de texte est bizarre et pas franchement subtile. Rien à redire sur les personnages qui sont toujours aussi excellents, sans compter l'arrivée dans l'action de Boba Fett, certainement mon méchant préféré de la saga, et bien sûr le retour de Yoda, malin, drôle et charismatique pour une marionnette. J'adore toute la partie sur Bespin, la trahison, le "I love you - I know", le premier vrai combat au sabre laser entre Luke et Vador, les décors, la musique, bref c'est génial.
Malgré la destruction de l'Étoile de la Mort à la fin de La Guerre de Etoiles (rebaptisé Épisode 4: Un Nouvel Espoir en 1979), L'Empire n'a pas dit son dernier mot et continue de traquer les rebelles disséminés dans toute la galaxie. C'est sur la planète glaciale Hoth que nous retrouvons Luke Skywalker et ses amis Han Solo, la princesse Leïa, Chewbacca et les droïdes R2D2 et C3PO. À la suite d'une agression en pleine mission de reconnaissance, auquel va s'ensuivre un périple dans un désert de glaces, Luke va avoir une vision d'Obi-Wan Kenobi. Le maître Jedi le presse de se rendre dans le système Dagobah, où résiderait le plus grand maître Jedi Yoda, afin de parfaire sa formation et ainsi vaincre le terrible Dark Vador. Au même moment, l'Empire parvient à repérer la base des rebelles et s'apprête à lancer l'assaut sur elle. On se plait à répéter que les suites sont rarement à la hauteur de l'original, mais l'Empire Contre-Attaque est sûrement le sequel le plus évident quand on cherche des contre-exemples. Le triomphe sans précédent du premier volet a permis à Georges Lucas de réunir un budget plus considérable et ainsi laisser le champ libre pour étendre son univers. De plus, le fait d'avoir laissé sa place de réalisateur à son ancien professeur Irvin Kershner fait également gagner des points à L'Empire Contre-Attaque. À la Southern University, en Californie, Kershner enseignait l'écriture professionnelle, et n'a accepté la proposition de son ex-élève qu'au prix d'une liberté totale. On ne sera donc pas surpris que le réalisateur ait eu une influence sur le script, en le faisant réécrire à sa guise. En conséquence, l'intrigue est plus fouillée, les personnages plus approfondis, et l'intrigue gagne beaucoup en ampleur. La plupart des scènes mythiques concernant la saga Star Wars viennent d'ailleurs en majorité de ce volet, qui parvient à rendre les scènes intimistes aussi prenantes que les séquences démonstratives. Les acteurs ont plus à jouer et se régalent. Mark Hamill apporte finesse et nuance à son personnage de Luke, Harrison Ford irradie de charme et d'humour insolent, Carrie Fisher apporte subtilité et combativité à Leïa. En nouveau venu, Billy Dee Williams fait un sans-faute en Lando Calrissian. On frémit toujours devant le monstre de charisme Dark Vador, dont ce volet à grandement contribué à le faire passer à la postérité. Et cette fois-ci, sa renommée est concurrencée par Yoda qui se rend mémorable de par son apparence et sa légendaire élocution. Rayon amusement, on est encore bien servi par la paire de robots R2D2/C3PO. Notons enfin que John Williams gratifie une fois de plus le film d'une splendide bande originale. En dire plus serait gâcher le plaisir de la découverte pour ceux n'ayant pas encore eu la chance de voir cet épisode 5 monumental, qui n'a pas volé sa place de meilleur volet de toute la saga.
(Cette critique concerne le montage de 1980). Bien qu'étant une petite production, La Guerre des étoiles (ou Star wars, épisode IV : Un nouvel espoir) connu un succès incroyable qui en fit le plus gros succès de l'histoire du cinéma (jusqu'à la sortie de E.T. l'extra-terrestre). Une suite était donc inévitable d'autant plus que George Lucas avait prévu dès le départ de développer son histoire sur plusieurs films (dont le récit n'a pas cessé d'évoluer au cours des différentes productions). Cependant, cette fois il laisse la réalisation à Irvin Kershner et le scénario à Leigh Brackett puis à Lawrence Kasdan se contentant de la production et de l'histoire originale. Bien qu'il ne soit plus l'unique maitre à bord (ou grâce à cela, selon les avis), la suite nommé L'Empire contre-attaque (depuis retitré Star wars, épisode V : L'Empire contre-attaque) est d'une qualité égale à son prédécesseur et accentue l'aspect psychologique et relationnel entre les personnagesspoiler: (aboutissant à la réplique qui est peut-être la plus célèbre du cinéma : "Je suis ton père") sans pour autant négliger l'action. De plus, ce film permet d'introduire de nouveaux personnages comme Lando Calrissian, Bobba Fett (bien qu'apparu dans le téléfilm de Noël, Au temps de la guerre des étoiles) et surtout Yoda. Ce personnage mythique, très drôle et bourré de charme, est le résultat d'une animation extrêmement réussie qui est encore plus convaincante que la version en image de synthèse présente dans la Prélogie. En outre, Irvin Kershner développe l'univers mythologique entourant l'Empire en introduisant le personnage de l'Empereur qui n'apparait qu'en hologramme. Mais le monde impérial s'enrichit également d'un point de vue musical grâce au fameux morceau, toujours signé John Williams, The Imperial March (Darth Vader's Theme) tout aussi célèbre que les autres titres phares de la saga. Enfin, cet épisode souvent considéré comme le meilleur (notamment grâce à une réalisation encore plus efficace que celle de Lucas) se permet même de terminer sur un des cliffhangers les plus marquants de l'histoire du cinéma. En accentuant l'aspect mythologique de la saga, L'Empire contre-attaque réussit à prolonger de manière toujours aussi passionnante l'univers Star wars et à offrir un des twists les plus cultes de l'histoire du cinéma (à un point tel que l'on peut connaître cette révélation sans avoir jamais vu le film).
Nous y voilà, ce fameux épisode 5, considéré par beaucoup comme le meilleur de la saga mais au delà de ça un des plus grand film de science-fiction de tous les temps. J'avoue avoir du mal à départager "Un nouvel espoir" de celui-ci dans mon coeur, le tout premier ayant un charme fou et ayant également marqué l'histoire du cinéma d'une empreinte indélébile mais il faut l'avouer aussi qui a un peu plus vieilli que "L'empire contre-attaque". Ce dernier est une pure merveille que ce soit au niveau de l'intrigue ou des effets spéciaux, il est jalonné de scènes plus cultes les unes que les autres, la plupart me foutant les poils à chaque coup. L'attaque sur la planète Hoth, Luke rencontrant pour la première fois Yoda dans ce sombre et glauque système Dagobah, la cryogénie de Solo, Luke face à Vador et ses propres démons, c'est simplement génial du début à la fin, on perd également cet aspect simpliste et sympatoche de l'épisode 4 pour un univers beaucoup plus sombre et les enjeux se dévoilent enfin. Que dire également de l'apprentissage de Luke avec les leçons enseignées par Yoda qui vont bien au delà du simple apprentissage Jedi, ce sont des leçons de vie et le combat intérieur entre le bien et le mal commence véritablement pour Luke. Ce film touche du doigt la perfection, je n'ai rien à dire de négatif dessus, mon unique regret étant de ne plus être surpris comme la première fois par les révélations sur les liens familiaux de Luke, malgré tout certaines répliques gardent la même puissance dramatique que la première fois que je les ai entendus. Un véritable régal, de bout en bout, et une ouverture au top vers l'ultime (pour le moment ...) volet de la saga. Merci Georges Lucas pour tout ça, on en oublierait presque que c'est Irvin Kershner le réalisateur de celui-ci !
C'est le tout premier Star Wars que j'ai vu, c'est lui que m'a initié à la mythique saga. Je trouve que c'est le meilleur de la trilogie originale. Un pur plaisir pour les yeux et la fameuse révélation de Vador à Luke restera à jamais gaver dans l'esprit des gens. Mon Dieu qiue du bonheur en revoyant ce film .