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    La Plateforme
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    507 critiques spectateurs

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    Informaticien Dubinfo
    Informaticien Dubinfo

    21 abonnés 269 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 octobre 2021
    L'idée de base est très sympa et bien exploitée. On ne s'ennuie pas du tout pendant ce superbe film. J'aurais mis 5 étoiles si j'avais compris la fin (qui me semble assez spoiler: abstraite
    )
    conrad7893
    conrad7893

    307 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 juillet 2020
    un film angoissant, sombre, anxiogène .
    On tremble à chaque fois que le héros se retrouve à quel étage
    un film dans la verve de saw.
    J'ai bien aimé ce film
    Stéphane D
    Stéphane D

    124 abonnés 2 137 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 avril 2020
    Amateur de Saw, Cube, Escape Game? Netflix propose "La plateforme" (encore une nouvelle excellente production espagnole).
    Ce genre de concept pourrait inciter à la paresse mais la construction est minutieuse d'un bout à l'autre.
    Martin P.
    Martin P.

    52 abonnés 263 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 juillet 2020
    Pour un premier film c'est un très beau coup d'essai, c'est très encourageant. Le scénario est super on ne s'ennuie pas du tout, les images et les acteurs sont bons. De plus en plus de productions hispaniques arrivent jusqu'à nous et c'est tant mieux car on se régale. La fin semble diviser les spectateurs, pour ma part j'aime ce type de fin qui nous fait réflechir, plutôt de la dure réalité le réalisateur nous offre une parabolle.
    Viintage_dreams T.
    Viintage_dreams T.

    40 abonnés 416 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 mars 2024
    Un film rappelant les Hunger Games, The Maze ou d’autres Blockbuster du même style. Un scénario qui vous maintient en haleine, des personnages incroyables, tous fous les uns que les autres. Un très bon jeu d’acteurs de la part du protagoniste comme des personnages secondaires. Juste déçue de la fin, mais qui envisage un « La Plateforme 2 ». Hâte de la prochaine sortie.
    bibtar
    bibtar

    31 abonnés 598 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 janvier 2021
    Nouvelle preuve que le cinéma espagnol sait faire des films de genre intelligents, esthétisés et maîtrisés, et cette nouvelle épreuve à la sauce anticipation ne fait que renforcer cette sensation. En effet, tout commence ici par le scénario bien ficelé, tortueux et avant tout d’une originalité assez appréciable, sachant crocher l’attention immédiatement, entrant facilement dans le vif du sujet et proposant une vision unique du message principal que le film brandit, soit la lutte des classes, tout en exposant cela dans un univers pseudo futuriste, non pas par ces images (même si certains éléments de l’intrigue relève tout de même de science-fiction pure, tel que le mécanisme qui permet à la plateforme de se mouvoir) mais plutôt par son propos, simple mais efficace. Tout est fait pour perdre pied étant donné que ce qui nous est proposé de découvrir est totalement nouveau, et apportant son lot de règles et de mécanisme lui étant propre, donnant lieu à des moments assez savoureux, créant un réel suspense concernant les tenants et aboutissants de ce lieu, mais surtout de cette société, jouant habillement du sentiment de découverte mais n’entrant que très peu dans le pure exposition. Cela signifie donc que la suggestion et la suspension d’incrédulité se doivent d’être suffisamment puissantes pour tenir en haleine, et malgré quelques éléments étranges (rôle réel de ce centre d’enfermement unique en son genre de la société dans laquelle il existe, par exemple), on se laisse totalement prendre au jeu, on s’interroge tout du long et même une fois le film terminé, la réflexion se poursuit, jouant subtilement entre théories et imagination du spectateur, ce qui est plus que plaisant, puisque le film réussi à exister en dehors de l’œuvre en elle même, parvenant à dépasser l’écran, au point d’en créer un mythologie à part entière, et si cela peut perdre un part des spectateurs qui aime que tout soit expliquer, les mystères que règnent à la fin du visionnage sont très bons et plaisant à ré-assembler. Puis il est indéniable que ce qui donne sa teinte si particulière à l’intrigue et à l’univers dépeint, c’est le symbolisme qui est très présent, à tel point que grande partie du film s’appuie dessus pour exprimer ses messages ou tout simplement pour certains éléments du scénario (la numéro de la dernière cellule en est un bon exemple), devenant presque indispensable à la bonne compréhension de l’ensemble. En effet, sans entrer dans le détail du dénouement, partie du film qui semble avoir fait couler beaucoup d’encre et instiller de nombreuses prises de tête, on sent bien le partie pris du réalisateur de faire entrer les symboles qu’il utilise dans la construction même du développement du scénario, et dans ce sens, la fin du film prend une toute autre tournure et apporte ainsi l’éclat parfait à tout ce dont on vient d’assister. Et même l’avancement de l’intrigue ou simplement les personnages qui peuplent cette histoire fonctionnent sur ce système de symboles et de sous entendus, le tout afin d’apporter la vision très critique sur notre société et ses rouages de façon à la fois subtile et divertissant, et parvenant avant tout à faire réfléchir, que ce soit concernant le déroulement des évènements ou que ce soit dans le sous-texte. Chaque élément qui nous est montré dans cette histoire existe avant tout dans le symbolisme, et regarder ce film sous ce prisme permet d’y voire plus claire dans cette dystopie, de saisir de manière plus profonde ce qui tend à nous être fait entendre, et cette utilisation de sens plus imagé des nombreux éléments fonctionne totalement, donnant un poids supplémentaire à ce qui se déroule. Car si l’imagerie du double sens prend très bien, il est clair que l’image au sens propre du terme apporte son lot de bonnes idées, offrant une ambiance bien dosée, une colorimétrie fidèle à ce qui est exposé (le contraste avec les scènes des cuisines est saisissant) et il est évident que le décor qui est basique en tant que tel, puisqu’il s’agit de simple cellule, équipée d’une fosse, deux lits et un numéro, repose avant tout sur l’atmosphère dégagée par ce lieu, qui apporte une nuance intelligente par le scénario (l’évolution mensuelle) grâce à une seul élément de décor : la plateforme et ce qu’elle contient, différent suivant le niveau auquel se déroule l’action. De plus, si le film se revendique avant tout de l’univers de l’anticipation et de l’expérience sociologique, les quelques éléments visuels issus de l’univers de l’horreur trouvent totalement leur place dans ce film, et d’autant plus que leur qualité est assez plaisante, offrant quelques moments de violence parfaitement liés à ce qui tend à être dénoncé (illustrant que le changement c’est forcement violent) et allant même chercher des effets d’humour qui prennent totalement, parvenant à contraster intelligemment avec la tension constante qui règne et la labyrinthe cérébral vers lequel le film tend au fur et à mesure de son développement (la plus belle illustration en la matière étant bien évidement l’anecdote du « Samouraï Plus » et sa chute). Après il faut rester réaliste concernant la qualité technique de l’ensemble de l’œuvre, car même si le film semble que très peu reposer sur le numérique (par la simplicité de son décor), il est rapidement flagrant que les quelques effets spéciaux fait par ordinateurs et autres fonds verts sont un peu trop visible, mais cela reste vraiment un mineur partie de ce que l’on voit puisque l’essentiel est fait en effets réels, et concernant maquillage et autres prothèses fonctionnent plutôt bien, sans non plus révolutionner le genre. Le rythme de l’ensemble est de bonne augure, peu de scène semblant réellement barbantes, mais surtout par son montage parfaitement organisé et très travaillé concernant la musique, s’illustrant avant tout par des sons et autres bruits arrangés, plus que par le musique pure et dure, renforçant parfaitement le sentiment de malaise, de temps qui passe, ou pas, et de tension, puis la construction de l’intrigue est bien mise en valeur par le montage général et cela avec un double impact : les changements de niveau et les changements de personnages accompagnant le héros. Cela permet à l’ensemble du scénario de se renouveler constamment afin d’exposer un maximum d’idée concernant l’univers établi, toujours dans l’unique objectif de faire passer sa vision et le message qu’il veut transmettre, chaque protagoniste rencontré servant de vecteur pour illustrer un trait de la société (l’acceptation, la rébellion ou simplement l’idéal) et chaque niveau exploré permettant d’illustrer les classes qui composent la société (les favorisés, les laissés pour compte ou simplement ceux qu’on ignorent), donnant cette sensation que tout ce qui est exposé compte dans l’appréhension de l’ensemble de l’œuvre. Que l’on y voit une relecture du mythe de Don Quichotte (personnage iconique de la culture hispanique et donc plus évident avec cette sensibilité, mais les grandes idées sont universelles donc peuvent parler plus largement, d’où un certain engouement pour ce film à sa sortie) ou une vision apocalyptique dans l’évolution de la société telle que nous expérimentons tous (comment créer cette fameuse « solidarité spontanée » ? est ce que cela peut être compris par l’ensemble de l’Humanité?), chaque interprétation semble valable, car l’univers de cette œuvre repose essentiellement sur le mystère et il semble clair que le scénariste tout comme le réalisateur n’avaient pas pour objectif de créer une mythologie complète, mais plutôt de la suggérer pour y inclure un message bien plus universel que la dystopie qu’elle évoque. Et si tout n’est pas parfait, et que certains éléments peuvent être discutables dans la crédibilité (le changement soudain et maîtrisé de température des cellules laissent perplexes) tout comme les actions de certain personnages qui sont là pour faciliter l’avancement du scénario, on ne peut pas dire que ce que propose ce film soit de faible, bien au contraire car la réflexion qu’apporte tout ce qui se passe est bien plus puissant que ce que l’on voit. Bien sûr que la mise en scène générale n’a rien de transcendant et reste assez basique dans sa structure, ne laissant pas l’impression d’avoir vu des images peu vue auparavant ou même des effets particulièrement marquants, néanmoins ce qui est mise en image apportent l’illustration adéquat à ce qui est dit à travers le scénario. Alors on pourrait certainement trouver certains défauts techniques, quelques idées pas toujours très bien rendue à l’écran et parfois même un peu exagéré (mais le symbolisme passe par cette façon d’explorer toutes le facettes du symbole, même le plus extrême) et que la mise en scène n’est pas toujours de très bon goût, il en reste pas moins que l’on assiste malgré tout à un moment assez unique en ce genre, dont l’idée singulière trouve parfaitement du sens dans l’ensemble du film (jusqu’au nom des protagonistes qui semble tout droit sortis d’un conte), tout en parvenant à laisser l’imagination faire le reste du travail, et rien que cela, c’est plaisant.
    konika0
    konika0

    29 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juin 2020
    La courte échelle.
    La Plateforme est une production basque tournée en castillan pour Netflix. Un type se réveille dans une pièce sobre avec un trou au milieu. Il y a un autre type avec lui. Il y a d’autres pièces comme celle-ci au dessus et en dessous. spoiler: Il y est pour un mois, après il sera peut-être dans une autre pièce. Les occupants de tous ces étages sont nourris par une seule et unique table qui passe de haut en bas, de salle en salle. Il est évident qu’il vaut mieux être le premier servi.
    On tient là un concept fort qui rappelle forcément un peu Cube dans l’esthétique et dans le mystère qui entoure la situation initiale. Pour autant, la comparaison s’arrête là car La Plateforme va beaucoup plus loin que la simple exploitation d’une bonne idée. C’est au fur et à mesure que l’on comprend de quoi il s’agit et en quoi consiste cette parabole. Il est difficile de parler sémantique sans dévoiler des éléments qu’il vaut mieux taire (à vrai dire, j’en ai déjà dit trop). Tentons donc de résumer les choses de manière évasive : Ce qui nous est présenté ici est une métaphore de la hiérarchie sociale à toutes les échelles. On y parle du pouvoir de celui qui possède sur le nécessiteux. On rappelle que la dépendance aux puissants est entretenue par cette hiérarchie présentée comme naturelle. On pointe la tendance à vouloir abuser de son micro-pouvoir sur celui qui est sans défense. On explique à quel point il est compliqué de penser collectivement quand on a le ventre vide. On promet que le changement, qui ne peut se faire sans action, viendra des générations futures. Enfin, on souligne que si l’arme répond à un besoin ponctuel et immédiat, elle est l’inverse d’une solution quand on change d’échelle car la véritable réponse viendra de la culture et du partage de celle-ci. Et donc oui, ça nous dit tout ça dans un déluge anthropophage de sang et de fureur. Les âmes sensibles peuvent s’abstenir, les autres doivent tenter le coup !
    gregbutton
    gregbutton

    29 abonnés 698 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juillet 2021
    Un vrai concept mis en image de façon très convaincante. Sur le fond les idées sont intéressantes et bien qu'il manque quelques clés qui méritent un second visionnage l'ensemble est très bien.
    Clint B
    Clint B

    54 abonnés 283 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 avril 2021
    Pas grand chose à dire à part que j'ai vraiment aimé le scénar tout comme la real très épurée. Quand je voies le cinoche de genre espagnol, je me dis qu'on est à des années lumières dans l'hexagone, et pourtant comme dans ce film, ce n'est pas une question de budget, mais juste de talent.
    En tout cas, The Platform est à voir, une excellente petite prod dystopique
    Emma
    Emma

    3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 avril 2020
    j'avais des appréhensions sur ce film mais en le regardant il m'a beaucoup plus, je me suis même surprise a me posé des questions sur ce qu'est devenu certains personnages. J'ai été conquise par ce film mais il n'a pas la note maximal parce qu'il y a une grosse incohérence spoiler: si le personnage principale doit descendre de la plateforme car sinon le message(l'enfant) ne remonte pas, pourquoi la mère de cette enfant peut remonté ?
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    145 abonnés 2 439 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 avril 2020
    Le film intrigue et dénonce tout à la fois un système économique inique et les travers de la nature humaine.
    Diabloxrt
    Diabloxrt

    41 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 novembre 2024
    Petit phénomène de l'année 2020 sur Netflix, "La Plateforme" a fait parler de lui pour ses thématiques très actuelles et plutôt populaires. Nous l'avions vu avec un film comme "Parasite", sorti l'année d'avant, les longs-métrages traitant des différentes classes sociales et de leurs inégalités, que l'on peut résumer par le concept de "lutte des classes", sont assez tendances. Ce film reprend donc cette thématique pour y créer son univers et pour y proposer son histoire. Le résultat est-il à la hauteur ? Honnêtement, la réponse est oui ! La grosse force du long-métrage est qu'il est assez simple à comprendre, car il cherche à être clair et précis. Il ne va pas faire exprès d'embrouiller son spectateur pour se donner un genre. L'univers est bien présenté et son environnement est simple. Tout est fait pour rendre le tout cohérent, les mécaniques du concept sont exprimées clairement dès le début. Cependant, cela ne va pas l'empêcher de beaucoup jouer avec les métaphores, notamment dans l'écriture de ses personnages. Chacun d'entre eux représente un archétype de notre société, ce qui rend donc le tout très complet. L'histoire du film est donc une boucle qui va se répéter avec, à chaque fois, de nouvelles problématiques. Si le tout pourrait paraît un peu simple, le film réussit à garder un rythme intéressant en proposant toujours quelque chose de nouveau à raconter ou à voir, bien que tout se répète. L'objectif est de confronter tous ses archétypes à de nouvelles situations, dans le but de pousser à la réflexion. Malgré tout, ce qui posera peut-être problème, à certains d'entre vous, sera certainement le final, car il est assez particulier. Mais d'un point de vue personnel, je l'ai parfaitement accepté comme tel. spoiler: Se montrant comme une conclusion assez froide, on comprend rapidement que c'est la mort qui attend notre personnage. La métaphore a beau être particulière, j'aime l'idée et la manière dont elle est abordée.
    Par conséquent, Netflix a donc beau être une plateforme de streaming avec des limites bien visibles, il est toujours intéressant de voir que ce genre de projet réussit à avoir de la visibilité, même si celle-ci ne dure pas toujours dans le temps. Pour conclure, un concept simple, mais bien exploité.
    Paul B
    Paul B

    50 abonnés 1 013 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mai 2020
    Une dystopie fort intéressante avec un scénario intelligent qui pousse à la réflexion et surprend pas un jeu d'acteurs excellent bien qu'inconnus.

    Ce film est vraiment à voir.
    Anna_
    Anna_

    28 abonnés 743 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mai 2020
    Plein de choses à dire sur ce film !
    Très bon scénario : des prisonniers sont répartis dans une fosse, 2 par étages et chaque jour une plateforme contenant un véritable festin descend. Les premiers mangent ce qu'ils veulent et les derniers ce qu'il reste.... ou pas. On a ici une comparaison avec l'échelle sociale.
    Le film dénonce ainsi l'égoïsme du genre humain : "si chacun mangeait juste ce qu'il fallait, il y en aurait pour tout le monde". Le fait de changer chaque mois les prisonniers d'étage renforce ces réactions : ceux qui ont manqué se vengent et on ne s'en sortira jamais. Il pourrait y avoir une prise de conscience collective étant donné que les prisonniers peuvent se parler entre chaque étage mais non.

    Malheureusement on ne saura que très peu de choses concernant cette "prison" où chacun entre volontairement : qui dirige ? Quel est le but de ce "test" ? Est-ce qu'on sort ?

    Un gros point noir : à mon gout, c'est un peu trop spoiler: pipi, caca
    . Est-ce pour montrer le fait que dans des conditions extrêmes les hommes redeviennent des enfants qui ne réfléchissent plus avec leur connaissances d'adultes ?

    Concernant la fin, elle pose plus de questions qu'elle n'apporte de réponses. Voilà ce que je pense : spoiler: -Goreng est déjà mort bien avant d'atteindre le niveau 333, qui n'existe pas. C'est pour cela qu'on le voit avec Trimagasi, lui aussi mort depuis un moment - La petite fille n'existe pas sauf dans l'imagination de Goreg. - Le tiramisu remonte entier mais ce message est mal interprété. Le chef croit que ce dessert est retourné en cuisine intact à cause d'un cheveu (scène du milieu du film). On peut donc affirmer qu'il ne sait pas pour qui il travaille et on ne sait finalement pas comment les dirigeants de cette prison ont interprété le message.
    T-rexx
    T-rexx

    19 abonnés 96 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 août 2020
    La claque !!! Quel film !! Je ne m'attendais pas à autant de profondeur dans le propos. La métaphore sur la structuration de la société humaine, à défaut d'être toujours subtile, est extrêmement efficace. L'expliquer ici serait, d'après moi, une grossière erreur car il appartient à chacun de l'expliquer à sa manière. C'est un film dur, violent, sans censure, centré sur l'humain, la religion, la relation à l'autre, l'espoir, la difficulté du changement, le rôle de l'état, de l'administration, des individus, la responsabilité personnelle et sociétale... C'est brillant ! Je suis très surpris de voir des critiques (soit-disant professionnelles) du cinéma lui attribuer une si basse note moyenne. Accordé, il n'est pas d'un accès facile pour tous, et certains auront pu être découragés par le tempo extrêmement lent, l'absence de violence gratuite, mais on est loin dans le film d'horreur à orietnation intellectuelle et contemplative, pas dans le block-buster/pop-corn... Âmes sensibles, s'abstenir.
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