Derniers Avis : La Plateforme - Page 14

Ce film est aussi intriguant que passionnant. Il nous laisse un certain goût d'inachevé même si on pense l'avoir compris à notre manière.
Il est clair qu'il ait dérouté plus d'une personne, et personnellement si je n'avais pas vu cette vidéo explicative faite récemment je serais toujours autant perdu.
Pour tous ceux qui étaient perdus comme moi, je vous laisse le lien de la vidéo en espérant que vous ayez des réponses à vos questions comme cela a été mon cas.

http://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/La-Plateforme-Netflix-met-en-ligne-une-nouvelle-video-pour-tout-expliquer

un film angoissant, sombre, anxiogène .
On tremble à chaque fois que le héros se retrouve à quel étage
un film dans la verve de saw.
J'ai bien aimé ce film

La fin a tout gâché alors que le film avait super bien commencer avec un univers du suspense ect . Vraiment dommage que la fin soit si nul et que le film ne finisse pas .

Dans une prison-tour, une dalle transportant de la nourriture descend d'étage en étage, un système qui favorise les premiers servis et affame les derniers.

Une idée de départ puis plus rien... On supporte du gore pour quoi ?? Rien. Aucun sens à ce film, juste une violence gratuite et sans finalité.
Cube était du même style mais apportait de la psychologie aux personnages, du rythme et du suspense. Ici rien de tout ça... c'est laid, mou et sans queue ni tête !

Quelle bonne idée que “La Plateforme”. L’histoire se déroule au réveil d’un homme dans une cellule avec un vieillard. Comme pour le spectateur, il ne dispose dans un premier temps que peu d’informations, mais comprend que la prison est composée de très nombreux étages. Il voit d’ailleurs ceux d’en haut et ceux d’en bas. Par cet immense trou central, une immense plateforme de nourriture descend d’étage en étage pour nourrir les prisonniers. Au fur et à mesure que la plateforme descend, la nourriture vient à manquer et affame les prisonniers des étages inférieurs. Chaque mois, les prisonniers changent pourtant d’étage de manière aléatoire. L’idée est de leur faire comprendre que si chacun mangeait juste ce dont il avait besoin, la plateforme pourrait nourrir tous les prisonniers. Mais la nature humaine est bien différente des idéologies… Proche des univers “Cube”, “High-Rise” ou “Snowpiercer”, “La Plateforme” parvient à imposer son propre style et fascine. Malheureusement, au fur et à mesure que l’histoire avance, elle se dégrade en offrant de plus en plus d’incohérences et en nous plongeant dans un semblant de symboliques mystiques avec la petite fille alors qu’ils auraient simplement pu se contenter du cheveux sur la panna cotta.
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Ce film est assez bien dans l'ensemble il a une idéologie bien à lui,je n'ai pas bien compris la fin ! Mais je l'ai trouvé bien puisque l'histoire est assez original je n'ai pas été choqué par les images gore qu'il y a eu car j'ai vu d'autre film bien plus gore ! Ivan Massagué joue bien dans le rôle de Goreng ou le personnage est assez convaincant dans le films passant par plusieurs saut d'humeurs il y aussi Zorion Eguileor dans le rôle de Trimagasi qui pour luttait contre la faim pratique le cannibalisme,bref pour moi La Plateforme est un chouette film à se faire,content d'avoir découvert un bon film espagnol !

Film à voir, il doit sûrement y avoir une morale mais je cherche encore... Sinon, la narration est pas mal.

Un film assez surprenant et assez dérangeant. Pas mal de théories circulent sur ce film mais quelques détails semblent vraiment intéressant et n'ayant pas vu cela dans une autre critique j'aimerai avoir l'avis des cinéphile (ainsi que des non cinéphiles :P). Comme pour beaucoup, et comme le réalisateur interprète la scène finale, spoiler: le dernier niveau est une représentation de ce qu'il pense comme étant le fond de la fosse. Sans pour autant mettre de coté l'aspect humaniste et la philosophie "communiste" du héros, cette scène tient presque du mystique et touche beaucoup à l'imagerie religieuse en voyant la plateforme descendre dans une lumière blanche. En faisant quelques recherches il semble que Goren soit une transposition du prénom Aaron, lui même tiré des écrits bibliques. Aaron est (pour résumer de façon certainement trop courte) aurait accompagné moïse afin de libérer le peuple hébreu du pharaon, et serait le porte parole de moïse que l'on dit bègue. En recoupant cela avec le passage en cellule avec Imoguiri, Goren transmettrait le message de cette dernière à sa place, cette dernière n'arrivant pas à se faire comprendre. Punit par les dieux pour ses erreurs il refusera plus tard la nourriture de ces derniers en guise de châtiments. Personnellement je trouve les thèmes assez proches de cette représentation religieuse ce qui apporterai en tout cas une symbolique forte quant à la mission que Goren se serait fixé. Bref même si le film est bourré d'autres symboles ou métaphores (les référence à Don Quichotte par exemple), je pense que la représentation de Goren n'est pas celle d'un "messie" mais plutôt celle de porte parole des souffrances de ses camarades.

En tout cas film très intéressant et très original je le recommande vivement pour ceux qui aiment se casser la tête :)

Film totalement nul sans fond et super gore. C'est ce que j'aurais dis si j'étais un fils de pute. Ce film est totalement génial, j'ai rarement vu un thriller aussi captivant avec un concept aussi simple mais qui renvoie un message fort tant moralement, spirituellement et psychologiquement. Des visuels simple mais recherché avec une grande utilisation des couleur permettant de posé une ambiance sombre et parfois oppressante en passant du bleu au rouge avec des teintes de noires et de gris. Même le son est metrisé à la perfection avec des musiques sans abus et bien dosé digne d'un Hans Zimmer et des silences immersifs. Ce film ma redonné foi au cinéma Européen, au même niveau qu'Interstellar ou Shutter Island. Je le conseille totalement.ಡ ͜ ʖ ಡ.

PS. Pour ceux qui ce demande pourquoi une demi étoiles c'est pour être mieux visible. J'ai compensé le nombre d'étoiles avec 5 autres comptes où j'ai mis 5 étoiles.

Tout le monde me suggère ce film. Malheureusement très déçu. C'est bien filmé et la moral est magnifique mais il reste tout de même à désirer.

0,5 parce que il n’y a pas moins.
Je comprends pas comment on peut faire autant d’incohérences dans un film aussi vide..

Si ont ne comprend pas la fin c'est super critique, très bon film mais ne répond pas à toute les questions…

J'ai bien aimé ce film, le jeu des acteurs est excellent et j'ai trouvé sujet particulièrement d'actualité avec la situation actuelle. Coeur sensible s'abstenir par contre.

La courte échelle.
La Plateforme est une production basque tournée en castillan pour Netflix. Un type se réveille dans une pièce sobre avec un trou au milieu. Il y a un autre type avec lui. Il y a d’autres pièces comme celle-ci au dessus et en dessous. spoiler: Il y est pour un mois, après il sera peut-être dans une autre pièce. Les occupants de tous ces étages sont nourris par une seule et unique table qui passe de haut en bas, de salle en salle. Il est évident qu’il vaut mieux être le premier servi.
On tient là un concept fort qui rappelle forcément un peu Cube dans l’esthétique et dans le mystère qui entoure la situation initiale. Pour autant, la comparaison s’arrête là car La Plateforme va beaucoup plus loin que la simple exploitation d’une bonne idée. C’est au fur et à mesure que l’on comprend de quoi il s’agit et en quoi consiste cette parabole. Il est difficile de parler sémantique sans dévoiler des éléments qu’il vaut mieux taire (à vrai dire, j’en ai déjà dit trop). Tentons donc de résumer les choses de manière évasive : Ce qui nous est présenté ici est une métaphore de la hiérarchie sociale à toutes les échelles. On y parle du pouvoir de celui qui possède sur le nécessiteux. On rappelle que la dépendance aux puissants est entretenue par cette hiérarchie présentée comme naturelle. On pointe la tendance à vouloir abuser de son micro-pouvoir sur celui qui est sans défense. On explique à quel point il est compliqué de penser collectivement quand on a le ventre vide. On promet que le changement, qui ne peut se faire sans action, viendra des générations futures. Enfin, on souligne que si l’arme répond à un besoin ponctuel et immédiat, elle est l’inverse d’une solution quand on change d’échelle car la véritable réponse viendra de la culture et du partage de celle-ci. Et donc oui, ça nous dit tout ça dans un déluge anthropophage de sang et de fureur. Les âmes sensibles peuvent s’abstenir, les autres doivent tenter le coup !