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Geoffroy D.
5 abonnés
2 critiques
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3,5
Publiée le 28 mars 2020
"La plateforme" ce nouveau film Netflix à créer de l'enthousiasme chez pas mal de monde, le recommandant. J'ai finis par regarder la bande annonce et ai finis par me laisser tenter à le visionner. Rappelant Snowpiercer posant des questions sur nos sociétés, le partage, l'humanité.. Ce film dont l'ambiance est proche d'un film d'horreur, avec des scènes gores est prenant et j'ai aussi apprécié sa bande son renforçant l'angoisse, la peur, l'action.. J'ai donc passé un bon moment devant ce film qui m'aura cependant déçu avec cette fin notamment. Il laisse pas mal de questions sans réponses..
intrigue haletante mais sans histoire après 1h30. quelle déception, rarement vu un tel navet. aucune accroche..... si vous avez du temps à perdre, sinon zapper.....
Je suis un peu perplexe après avoir vu la plateforme. D'un premier abord lorsque j'ai commencé le film, j'ai trouvé cela malsain. Par la suite j'ai pensé que celui ci était très représentatif de notre société actuelle, les "riches" représentés ici par les niveaux supérieurs d'abord et ensuite les autres, de même l'égoïsme qui est Omni présent dans notre monde !
Au fur et à mesure du déroulement j'ai trouvé que cela avait du sens. J'émets cependant quelque réserves quant à la fin de film, j'ai compris MA version mais je ne veux pas spoiler donc à vous de la découvrir.
L'horreur est un genre très difficile à renouveler ! En l'hybridant avec la satire sociale et l'anticipation, les auteurs hispaniques de "El Hoyo" ("La Plate-forme"), les scénaristes Pedro Rivero et David Desola, et le metteur en scène basque Galder Gatzelu-Urrutia (formé à l'école du spot publicitaire, et dont c'est le premier "long" de fiction, à plus de 45 ans) auront réussi, en très grande partie, cette gageure. Laissez-vous emporter par le souffle épique, autant que par la dramaturgie du dérisoire, de ce huis-clos halluciné, et verticalisé, à fin-"morale" ouverte sur le champ des possibles infini, comme l'âme humaine et ses tourments...... "Goreng" (Ivan Massagué), avatar donquichottesque, ses Sancho Panza successifs (traditionnel, "Trimagasi", puis improbable, "Baharat") et sa Dulcinée, protéiforme, à plusieurs âges, ne vous laisseront pas indifférent, assurément.
Le film semble être un brouillon, un essai de version, d'élaboration, un essai de montage, malheureusement devenu définitif. L'on dirait un premier film d'étudiant en cinéma basé seul sur une idée (plutôt bonne) mais dont aucune proposition scénaristique n'apporte d'explication ne serait-ce que suggérée. C'est vous qui mâchez le travail. Nous ne sommes absolument certain de rien de ce que l'on voit. Toutes les interprétations, fabulations et leur contraire sont légitimes à quelques "niveaux" que ce soit. A vous de remplir tous les manques. Le film donne l'impression qu'à sa finalisation, des scènes ont été supprimées dans les grandes largeurs, pour quel motif : stylistique !? Loupé. Trop facile. La réponse serait probablement à chercher du côté de Netflix...
Très bon ce film, c'est une réussite selon moi. Je n'ai pas vu le temps passé, chaque minutes il se passe forcément quelque chose, très glauque, effets spéciaux réussi, jeu d'acteur bon. La fin laisse à réfléchir et plusieurs interprétations sont possibles. Je vous le conseille vivement.
Une réussite ! Huis clos simple, peu de moyens et tout dépend ce que l'on en fait. Un postulat de départ lapidaire et précis, étude comportementale principalement dans l'attitude (effet horrifique très bon), Beaucoup d'éléments subjectifs laissant libre les interprétations métaphoriques à chacun. 4/5 !!! spoiler: Subtile qu'en fin de compte, cette plateforme est un test (sociétal) : En résumé, 1 panna cotta mis au départ (niveau 0) en cuisine, une mère qui passe le message à chaque niveau pour indiquer qu'elle cherche son enfant (au prix de sa vie), l'enfant au dernier niveau bas, l'altruiste (pas tout à fait, car il cherche à s'échapper) qui donne à chacun jusqu'à nourrir l'enfant aussi au prix de sa vie. Le message n'est finalement pas l'enfant mais le partage, lui, le messager à chaque niveau.
Un film qui m’a fait de suite penser à « Cube », que j’avais beaucoup aimé. Là, le principe de base est plutôt sympa et très original et on s’y plonge rapidement. Le début est vraiment prenant. Mais au final, je suis sorti assez déçu et avec pas mal de questionnements. En effet, j’aurais préféré une autre fin spoiler: et que ce soit bien la panna cotta le message . L’acteur principal, sosie de Zlatan, est plutôt bon.
Le digne héritier de "Cube", avec en prime, un petit côté "j'vous fais réfléchir sur notre société". Ce film est tout simplement génial. Qu'est-ce que c'est bon de savoir qu'il existe encore des scénaristes capables de nous faire vivre des instants hors du temps avec une histoire originale. Et en plus ça nous fait réfléchir sur nous-mêmes et notre société consumériste. 3 mots pour conclure : haletant, angoissant, questionnant !
La Plateforme est un thriller dystopique réalisé par Galder Gaztelu-Urrutia. Le film se déroule dans une structure verticale où des prisonniers sont placés sur différents niveaux. Chaque jour, une plateforme descend du sommet avec de la nourriture, mais la quantité est limitée. Ceux qui se trouvent en haut peuvent se nourrir à leur faim, tandis que ceux plus bas luttent pour survivre. Goreng, un homme qui se réveille dans ce système cruel, devra naviguer à travers cet enfer social et tenter de trouver une issue à ce système inhumain. À ses côtés, il rencontre des compagnons de cellule et tente de comprendre les lois impitoyables de ce lieu.
Note : ★★★☆☆ - (3/5) - Bon
La Plateforme est un film dérangeant et captivant qui explore les inégalités sociales à travers une métaphore brutale. Le concept de la prison verticale est original et prometteur, et la tension monte rapidement au fur et à mesure que le film dévoile la nature cruelle de ce système. Le réalisateur Galder Gaztelu-Urrutia nous plonge dans une atmosphère oppressante où la survie devient une question de priorité et de sacrifice.
Cependant, bien que le film soit bien pensé et intrigant, il peut paraître parfois trop répétitif, et certains éléments de l’intrigue sont un peu prévisibles. L’idée de la plateforme qui descend jour après jour soulève de nombreuses questions sur la nature humaine et la solidarité, mais la conclusion reste ouverte et peut laisser certains spectateurs sur leur faim.
Point fort : La réflexion sociale et la mise en scène tendue, qui nous captive tout le long du film, restent les points forts du film.
Difficile de ne pas penser à Snowpiercer ou à Parasite (tous deux signés Bong Joon-Ho) au visionnage de La Plateforme. Sur un postulat mêlant satire sociale et horreur pure, le premier film de Galder Gaztelu-Urrutia partage avec ses illustres prédécesseurs un goût prononcé pour le cynisme et la tension. Si le propos n'est pas novateur en soi et que son final puisse être diversement apprécié, le long-métrage a l'avantage de ne pas tirer sur la corde. En à peine plus de 90 minutes, le réalisateur expose avec limpidité son dispositif et ses inquiétudes quant à l'individualisme forcené auquel pousse une société qui devrait pourtant reposer sur le vivre-ensemble. Alors qu'il pourrait sombrer dans les écueils, le script est loin de catégoriser l'ensemble de ses personnages, évitant ainsi la complaisance dans le gore ou l'immoralité à tous les étages. Ce qui n'empêche pas La Plateforme de comporter plusieurs passages très glauques et quelques revirements inattendus. Ils fonctionnent bien, en priorité grâce à ses comédien.ne.s, unanimement superbes. C'est plus dans sa finalité que le film pourra prêter le flanc au débat. Mais c'était bien le but, manifestement. Donc, l'objectif me semble rempli.
Non mais franchement ça aurait pu tout déchirer mais c'est à la fois trop bourré de chose pourtant évidentes dans le comportement des gens,spoiler: comment se fait-il que personne ne pense à monter jusqu'en bas sur la plateforme puis remonter vu qu'apparemment il n'y a aucun système de sécurité pour contrer ça?????? si on passe au dessus de ce qui est pourtant évident à faire dans une telle situation, nous tenir en haleine tout le film pour une fin qui n'en est pas une... C'est vraiment zéro.spoiler: Aucune réponse à rien, aucune explication à rien, en gros quand on fini le film on a l'impression juste de regarder un film dont on a enlevé la fin. Clairement là j'ai l'impression d'avoir perdu vraiment mon temps. Proutant je suis assez bon public en général.
Un bon début, une histoire qui semblait intéressante et reflétant un message. « Semblait » car nous attendons durant tout le film les réponses à nos multiples questions sans rien avoir à la fin. Aucune explication, un soit disant « message »... bref déçu.
Je comprend pas ??? .....Mais je comprends vraiment pas cette moyenne de 3,7...J'ai du voir un autre film ...Car celui que j'ai vu est une série Z....Scénario inexistant...Pas de suspense, pas de chute, et si il y a un message à faire passer ...Faites moi savoir ? ...Comment on peut produire ça ? ...Ha si je sais... le financement ... un film comme celui la je vous en produit un pour 50 000 euros.... La seule chose à sauver du film est l'idée de départ.... mais après je peux raconter l'histoire en une phrase, si on peu appeler ça une histoire