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    Pearl
    Note moyenne
    3,2
    79 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
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    10 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 janvier 2019
    Une excellente surprise que ce film à propos d'une championne de bodybuilding renouant avec son fils alors qu'elle participe à une prestigieuse compétition internationale. Cette émouvante et esthétique aventure au sein d'un univers méconnu du grand public, se tient dans des décors parfaitement étudiés. La réalisation est juste sans oublier la très bonne bande-son collant parfaitement à l'histoire. Enfin, les acteurs sont tous à la hauteur, tout particulièrement, l'athlète Julia Fory, au jeu très touchant, et l'épatant Vidal Arzoni dans le rôle de son fils Joseph. Un film remarquable en somme !
    dominique P.
    dominique P.

    846 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 février 2019
    On parle peu de ce film mais la bande annonce m'a plu et j'ai souhaité le voir.
    Je suis ravie de ma séance.
    Le film est vraiment bien.
    Il a l'avantage d'être court et d'aller à l'essentiel.
    L'actrice est bluffante et joue très bien.
    Le monde du bodybuilding ne m'intéresse pas mais je voulais voir l'autre sujet traité qui est comment elle va gérer (émotionnellement et d'un point de vue pratique) son fils pendant cette journée.
    Yves G.
    Yves G.

    1 507 abonnés 3 527 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 février 2019
    Léa Pearl (Julia Föry, vainqueur en 2016 des "Arnold's Classic") est bodybuildeuse. Elle est candidate au concours de "Miss Heaven". Son coach Al (Peter Mullan révélé par Ken Loach) veille sur elle comme le lait sur le feu, vérifiant son régime, supervisant ses entraînements.
    Rien ne doit venir perturber la concentration de la championne quand son passé fait brutalement irruption. Son ancien compagnon (Ariel Worthalter, le père de l'héroïne de "Girl") déboule avec Joseph, leur fils de quatre ans.

    Première assistante de Eugène Green, Mathieu Amalric, Noémie Lvovsky ou Bertrand Bonello, Elsa Amiel choisit pour son premier long métrage de filmer un milieu rarement montré. Celui du bodybuilding. Féminin qui plus est. Ce monde suscite parfois une curiosité malsaine. Les corps des bodybuilders donnent à voir des muscles hypertrophiés, presque monstrueux. Celui des bodybuildeuses nourrit un fantasme paradoxal : peut-on être à la fois féminine et musclée ?

    En 2014, dans "Bodybuilder", un petit film remarquable mais hélas passé inaperçu, Roschdy Zem avait mis en scène un bodybuilder et son fils perdu de vue. C'est la même veine qu'exploite "Pearl" en mettant face à face une bodybuildeuse et son fils. Cette rencontre est l'occasion de répondre aux questions que le sujet pose : la délicate conciliation entre le métier de bodybuildeuse et l'état de mère. Dans "Bodybuilder", la paternité était interrogée par un scénario riche en rebondissements. Le scénario de "Pearl" n'a pas une telle subtilité. Une fois que l'héroïne se retrouve avec son fils, il fait du surplace jusqu'à une conclusion convenue.

    "Pearl" est captivant dans sa première demie-heure qui nous fait découvrir les coulisses d'un monde inconnu, mais décevant dans ses deux tiers suivants. Il aurait fait un excellent court métrage.
    Bénédicte B
    Bénédicte B

    297 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 juin 2020
    Pearl est un film ovni, un objet clinquant qui en met plein les yeux, mais sans mauvais goût, alors que la vulgarité, le voyeurisme, les effets sonores et visuels sont quasiment de tous les plans.
    De même que les clichés sont au rendez-vous, d’ailleurs, à commencer par le coach de Léa Pearl ou encore son ex mari qui sont loin d’être des personnages nouveaux.
    Ce qui sauve très largement le film du naufrage qu’il aurait donc pu être — mais vraiment qu'à première vue, c’est d’abord son amour du cinéma dont la sincérité ne fait aucun doute, vu que le plaisir de chaque effet suscité, côté réalisation, et ressenti, côté spectateur, sont là.
    Un amour du cinéma qui relègue au second plan tout questionnement sur le message que délivrerait le film, soit une interrogation de plusieurs critiques, puisque Pearl n’a a priori pas été conçu pour tenir un discours féministe, alors que c’est l’hypothèse parfois avancée. Et ce qui se dégage surtout, en termes de sens, fond ou message (appelons ça comme on voudra), c’est un attachement et une attention à chaque personnage de l’histoire, qu’il soit premier rôle ou second.
    Ce qui se dégage du film, c’est donc un humanisme, pour lâcher des grands mots. Un humanisme qui ne juge personne, et qui réussit à être touchant grâce à une autre des grandes qualités du film : son interprétation.
    Ainsi tous les acteurs sont-ils excellents, avec mention spéciale à Agata Buzek, l’ex maîtresse du coach, et surtout à Vidal Arzoni, l’enfant.
    Enfin, ce qui fait la grande qualité de Pearl, évidemment, c’est l’atypisme absolu de son personnage principal : Julia Fory. À elle seule, et telle qu'en elle-même, elle justifie pleinement la dimension documentaire du film, qui lui est reprochée. Mais un reproche abscons, car non le scénario de Pearl n’est pas "simplet". Il est simple au sens noble du terme, et il est attentif, comme déjà évoqué. Au résultat : cinéphilie, plaisir, atypisme, humanisme et qualité d'interprétation… Pearl, prenant bien des risques au passage, est un film rare et si plein de qualités qu'il force le respect.
    Didier M.
    Didier M.

    8 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 février 2019
    On ne retrouve pas dans ce film les clichés habituels de ce petit monde qu'est le bodybuilding. L'actrice qui joue Pearl, Julia Föry, est excellente et Vidal Arzoni, Joseph le gamin, est brillant. Pour des premiers rôles, et bien bravo à tous les deux !
    Belles images, bande son bien en accord, émotivité mesurée, original et cohérent.
    Dommage, le film est un peu court.
    Gerry O.
    Gerry O.

    24 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 septembre 2021
    Attention aux faux avis sur ce site, de gens qui visiblement n'ont pas vu le film... Histoire qui tiens sur un ticket de métro, pauvre, insipide, ... Et vidée de ses enjeux par une realisation arti-farti lourdingue et peu subtile. On ne croit pas une seconde au lien filial entre le faux fils et sa mère... Et le film passe totalement à coté du sujet du genre, pas au sens du film de genre, bien sur. Passez votre chemin, allez voir de vraie histoires, celles écrites par des cinéastes, pas des poseurs de cadres.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 30 janvier 2019
    'Pearl' est un film sensoriel et très mais alors très beau. Le scénario est simple sans être simplet.Les acteurs sont bons, particulièrement l'athlete Julia Fory et le petit acteur qui joue son fils. Une premiere oeuvre prometteuse qui donne envie de voir ce que Amiel pourra réaliser d'autre. Un beau moment de cinéma captivant.
    Malo M.
    Malo M.

    2 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 mars 2019
    Léa Pearl, bodybuildeuse s'apprête à concourir pour le titre de Miss Heaven mais son objectif se voit être contrecarré, lorsque son ancien compagnon lui délègue la charge de son fils de 4 ans, Joseph, quelques heures avant le prestigieux concours.
    Elsa Amiel réalisatrice de ce long métrage déconstruit un à un les nombreux préjugés et stéréotypes que l'on peut avoir à l'encontre des bodylbuildeuses en créant une mise en scène extrêmement féminine où la simplicité humaine de la jeune actrice, Julia Föry prime. En gardant tout de même l'univers très sportif auquel participe la sportive, Elsa Amiel amène un regard réaliste en conditionnant grâce aux gros plans le spectateur, à l'effort physique éprouvé par le personnage de Léa Pearl.
    La créatrice de ce film pousse à un questionnement sur la plastique humaine et le rôle important qu'il peut avoir sur notre quotidien en montrant les travers qu'il peut nous procurer ainsi que les avantages qu'il crée en nous.
    L'importance de la jeunesse, autre thème prépondérant, mais assez peu exploité (seul un personnage se prête à la défense de cette thématique) s'enlise et peine à trouver une solidité certaine. Pearl possède une inégalité frappante dans son casting, qui désarçonne. L'acteur du jeune Joseph (Vidal Arzoni) qui brille de mille feux tandis que l'actrice de sa mère (Julia Föry) peine à montrer une crédibilité vraisemblable.
    Pearl ne se définit en aucun cas comme un bijou cinématographique mais permet un divertissement de qualité qui pose un regard novateur sur une pratique sportive encore trop peu explorée au cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 février 2019
    Un très beau premier long métrage d'Elsa Amiel. On retrouve ses gros plans sur le corps de ses comédiens, comme dans son court métrage Faccia d'Angelo. De magnifiques lumières, clairs obscurs. Et des personnages touchants qui nous permettent de ressentir toute la solitude de parcours de vie atypiques. Allez voir le film à plusieurs. On en parle longtemps...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 mars 2020
    Les musiques sont aussi éclaté que les musique de Jul (juste 2 notes), on dirait que c'est ma cousine de 3 ans qui a écrit le scénario, même les BD de Looney Toons on un sens plus profond, je n'ai pas compris le message derrière sauf "Les émotion sont profond, dans tout les sens du terme"
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