Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Un premier long-métrage d’une maîtrise sidérante et d’une force émotionnelle intense.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Une œuvre de l’étrange, sombre et fascinante, dont l’intensité psychologique dépasse largement l’exercice de style téméraire. Bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Si la culturiste doit renier une partie de sa féminité pour réussir, Pearl se révèle paradoxalement un beau portrait de femme.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Féerique, étrange, elle exerce fascination et répulsion, Elsa Amiel, dont c'est le premier film, morcelle ce corps hypertrophié par de très gros plans fétichistes, transformant à vue cette héroïne en créature chimérique, devenue l'objet de fantasmes tourmentés.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Un premier film envoûtant sur l’exploitation et la fétichisation des corps.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Par-delà la réflexion politique, Pearl est un film atmosphérique et sensuel, où le grain de la peau en sueur, sous la fonte, est un morceau de territoire finement exploré, scruté, entre champ de ruines et dune irisée.
Paris Match
par Catherine Schwaab
Elsa Amiel signe un film formidable sur le monde du bodybuilding féminin.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Sophie Avon
Explorant avec justesse ce monde de paillettes et d’exhibitions, la réalisatrice française Elsa Amiel fait de son personnage principal (Julia Föry, authentique athlète) une énigme aussi fragile que musclée.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Mathilde Blottière
Au sein de cet olympe de pacotille, quelque chose de tragique nous touche infiniment.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Cinéma à la fois puissant et délicat, « Pearl », premier long-métrage d’Elsa Amiel, va chercher son héroïne ultra féminine aux confins des compétitions de culturisme, là où on ne s’y attend pas.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Juliette Goffart
Elsa Amiel fait du culturisme un monde de faux-semblants fascinant. C'est tout un univers viril de cinéma que la réalisatrice se réapproprie au service d'un questionnement féministe et contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Demeure la présence de Julia Föry, identifiée à son rôle, celle de Peter Mulan ("My Name is Joe") en coach hargneux implacable, et l’exploration sous ses meilleurs atours d’une niche peu visitée. Inattendu et beau.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le récit est certes ténu, sans doute trop. Mais Pearl se révèle une expérience sensorielle et sensuelle dans un univers rarement filmé.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
L'aspect documentaire se fond dans un drame sensible, où les personnages sont absorbés en eux-mêmes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Même si l’enjeu dramatique du scénario est finalement assez limité, on est captivé par l’atmosphère de ce drame insolite.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Un ambitieux premier film à la lisière du documentaire, qui vaut bien plus pour le regard tendre et fort pertinent qu’il porte sur une relation mère-fils hypertrophiée que pour son approche, sèche et un peu calculatrice, d’un milieu méconnu. Un joli premier essai.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Àla manière du travail sur la masculinitéd’un Michaël Roskam dans Bullhead, Pearl dérange autant qu’il séduit. La preuve même qu’il est réussi.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
"Pearl" se fourvoie et fait de son héroïne, qu'on aurait pu espérer féministe, l'archétype d'une femme captive d'une banale domination masculine.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
Il est effectivement rare de voir un tel corps féminin au cinéma, et donc d’autant plus regrettable qu’Elsa Amiel ne sache à peu près rien en faire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Fabien Baumann
On n'aura même jamais compris si Elsa Amiel voit dans le culturisme en soutif une libération pour les corps des femmes ou au contraire une ultime soumission au regard obscène des porteurs de testicules.
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Au-delà de cette histoire convenue de libération par l’amour, la mise en scène lorgne du côté de l’Amérique (Million Dollar Baby), tente des effets de manche qui tombent à plat et finit par se rabattre sur le naturalisme le plus à même de véhiculer une imagerie éculée (courte focale pour corps éprouvé dans un monde hostile).
Bande à part
Un premier long-métrage d’une maîtrise sidérante et d’une force émotionnelle intense.
aVoir-aLire.com
Une œuvre de l’étrange, sombre et fascinante, dont l’intensité psychologique dépasse largement l’exercice de style téméraire. Bouleversant.
20 Minutes
Si la culturiste doit renier une partie de sa féminité pour réussir, Pearl se révèle paradoxalement un beau portrait de femme.
L'Obs
Féerique, étrange, elle exerce fascination et répulsion, Elsa Amiel, dont c'est le premier film, morcelle ce corps hypertrophié par de très gros plans fétichistes, transformant à vue cette héroïne en créature chimérique, devenue l'objet de fantasmes tourmentés.
La Septième Obsession
Un premier film envoûtant sur l’exploitation et la fétichisation des corps.
Le Monde
Par-delà la réflexion politique, Pearl est un film atmosphérique et sensuel, où le grain de la peau en sueur, sous la fonte, est un morceau de territoire finement exploré, scruté, entre champ de ruines et dune irisée.
Paris Match
Elsa Amiel signe un film formidable sur le monde du bodybuilding féminin.
Sud Ouest
Explorant avec justesse ce monde de paillettes et d’exhibitions, la réalisatrice française Elsa Amiel fait de son personnage principal (Julia Föry, authentique athlète) une énigme aussi fragile que musclée.
Télérama
Au sein de cet olympe de pacotille, quelque chose de tragique nous touche infiniment.
CinemaTeaser
Cinéma à la fois puissant et délicat, « Pearl », premier long-métrage d’Elsa Amiel, va chercher son héroïne ultra féminine aux confins des compétitions de culturisme, là où on ne s’y attend pas.
Critikat.com
Elsa Amiel fait du culturisme un monde de faux-semblants fascinant. C'est tout un univers viril de cinéma que la réalisatrice se réapproprie au service d'un questionnement féministe et contemporain.
Franceinfo Culture
Demeure la présence de Julia Föry, identifiée à son rôle, celle de Peter Mulan ("My Name is Joe") en coach hargneux implacable, et l’exploration sous ses meilleurs atours d’une niche peu visitée. Inattendu et beau.
La Voix du Nord
Le récit est certes ténu, sans doute trop. Mais Pearl se révèle une expérience sensorielle et sensuelle dans un univers rarement filmé.
Le Figaro
L'aspect documentaire se fond dans un drame sensible, où les personnages sont absorbés en eux-mêmes.
Le Journal du Dimanche
Même si l’enjeu dramatique du scénario est finalement assez limité, on est captivé par l’atmosphère de ce drame insolite.
Les Fiches du Cinéma
Un ambitieux premier film à la lisière du documentaire, qui vaut bien plus pour le regard tendre et fort pertinent qu’il porte sur une relation mère-fils hypertrophiée que pour son approche, sèche et un peu calculatrice, d’un milieu méconnu. Un joli premier essai.
Première
Àla manière du travail sur la masculinitéd’un Michaël Roskam dans Bullhead, Pearl dérange autant qu’il séduit. La preuve même qu’il est réussi.
Les Inrockuptibles
"Pearl" se fourvoie et fait de son héroïne, qu'on aurait pu espérer féministe, l'archétype d'une femme captive d'une banale domination masculine.
Libération
Il est effectivement rare de voir un tel corps féminin au cinéma, et donc d’autant plus regrettable qu’Elsa Amiel ne sache à peu près rien en faire.
Positif
On n'aura même jamais compris si Elsa Amiel voit dans le culturisme en soutif une libération pour les corps des femmes ou au contraire une ultime soumission au regard obscène des porteurs de testicules.
Cahiers du Cinéma
Au-delà de cette histoire convenue de libération par l’amour, la mise en scène lorgne du côté de l’Amérique (Million Dollar Baby), tente des effets de manche qui tombent à plat et finit par se rabattre sur le naturalisme le plus à même de véhiculer une imagerie éculée (courte focale pour corps éprouvé dans un monde hostile).