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    No dormirás
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    1,9
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    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    89 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 mai 2018
    Comme dans The silent house (2010), Gustavo Hernández inspire le récit fictionnel de No dormirás de faits réels. Une première filiation qui en appelle d’autres puisque ces deux films, outre d’appartenir au même genre cinématographique (film d’horreur), voient leur déroulement ancré dans le passé. Mais il faut souligner que No dormirás emprunte plus généreusement que son aîné aux codes du thriller. Ainsi, cette caractéristique anime le dernier opus du cinéaste uruguayen d’une plus grande ambition visible en salle dès ce 16 mai. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com
    Yves G.
    Yves G.

    1 455 abonnés 3 482 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 mai 2018
    Blanca est une jeune actrice qui rêve de percer sur la scène théâtrale. Elle est contactée par l'homme de confiance d'Alma Böhm, la célèbre dramaturge, qui lui propose le rôle principal de sa prochaine pièce. Mais pour le décrocher, elle devra se plier aux méthodes hétérodoxes de la metteuse en scène qui enferme ses comédiennes dans un ancien asile psychiatrique et les prive de sommeil afin qu'elles donnent le meilleur d'elles-mêmes.

    Les films d'épouvante aiment les lieux clos peuplés de créatures maléfiques : les vieux manoirs victoriens, les orphelinats, les asiles... Mais, ici, les monstres ne se cachent pas dans les armoires mais au fond du subconscient des comédiennes détraquées par la privation de sommeil.

    Le problème de "No dormirás" est d'être à cheval sur deux registres. D'un côté la réflexion, assez stimulante, sur le métier d'acteur, les concessions qu'on est prêt à faire ou pas pour l'exercer. S'y ajoute une réflexion stimulante sur le rôle que peut jouer le théâtre dans la cure psychiatrique (on pense à la psychothérapie institutionnelle pratiquée à la clinique de La Borde dont les patients montent chaque été une pièce de théâtre). Et aussi une dimension politique à peine esquissée qui se cache derrière l'époque où sont censés se dérouler les faits : 1984, temps de dictature en Argentine où les opposants politiques, quand ils n'étaient pas froidement exécutés ou poussés en haute mer depuis un hélicoptère, étaient enfermés dans des asiles psychiatriques et soumis à des traitements dégradants.

    De l'autre, le film d'épouvante plus classique, avec ses codes et ses règles, ses jump scares, ses revenants, ses allers-retours pas toujours très lisibles entre la réalité et le cauchemar. C'est un genre cinématographique qui ne me plaît guère. Je n'aime pas avoir peur ; je n'aime pas être cloué à mon fauteuil par l'effet un peu facile d'un monstre hurleur qui jaillira par une porte grinçante qu'une héroïne en robe de nuit semi-transparente ouvre craintivement. Du coup, comme il l'était prévisible, "No dormirás" m'a terrifié. D'une terreur que je ne valorise pas mais que d'autres que moi, moins allergiques au genre, apprécieront peut-être.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 355 abonnés 4 167 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 mai 2018
    « No dormirás » est le second long-métrage du cinéaste uruguayen Gustavo Hernandez. Il s’agit d’un thriller psychologique voir horrifique pour les âmes plus sensibles. L’action se déroule en 1984 dans un hôpital psychiatrique désaffecté où une compagnie de théâtre a posé ses valises pour mettre en place une technique expérimentale de jeu en privant ses comédiens de sommeil. Après une présentation un peu bancale, les acteurs tentent de percer les secrets de cet étrange endroit. Le lieu est en effet très adéquat pour créer une intrigue sous tension. Néanmoins l’action est molle et personne ne semble savoir quoi faire. Sous ses allures de cinéma indépendant, on a tendance à offrir une chance au film en espérant un rehaussement de ton ou une conclusion explicative. A vrai dire les séquences nous emmènent peu à peu dans les limbes de l’ennui. Entre passé et présent, réalisme et hallucinations, indices fictifs et mensonges entre personnages, « No dormirás » se donne des airs surnaturels. En vérité, le film s’apparente plutôt à du cinéma d’ambiance pour bobo somnambules.
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