Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Culturopoing.com
par Laura Tuffery
En adoptant le parti pris de la parabole, Alice Rohrwacher parvient à livrer une œuvre cinématographique aérienne, épurée, artisanale sur laquelle soufflent une grâce et une poésie absolues.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Étonnant chef-d’œuvre que ce film qui déconstruit patiemment ses oripeaux pastoraux et véristes, pour atteindre des sommets apicaux de douceur et de dureté mêlées, avec une limpidité de parabole et une emprise sur le réel d’une prégnance étourdissante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Transfuge
par Frédéric Mercier
L’un des charmes du cinéma de Rohrwacher tient à sa façon subtile, sans coups de force, de jouer avec le réalisme magique, de prendre des chemins de traverse, de créer des mystères irrésolus tant au niveau de l’image que du récit ; des mystères qui empruntent aux contes médiévaux, aux représentations catholiques et au théâtre classique.
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Entre fable moderne et film politique, porté par une réalisation limpide et par la révélation du lumineux Adriano Tardiolo, le troisième film d’Alice Rohwacher confirme le talent d’une cinéaste hors normes.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Malgré son propos politique simpliste, "Heureux comme Lazzaro" est une petite merveille de poésie, mêlant néoréalisme et surréalisme, sublimé par sa photographie intemporelle et l'interprétation de son acteur principal, Adriano Tardiolo.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Magali Jauffret
Alice Rohrwacher excelle dans cette tension, dénuée de nostalgie, installée entre passé et présent, réalité et fiction. Elle se joue à merveille de l’invraisemblable dans ce conte apocalyptique sur l’humain.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
Un film mystérieux et envoûtant sur les désillusions du monde contemporain.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Alexandre Büyükodabas
Une fable poétique et politique dans laquelle, dans la lignée de "Twin Peaks 3", un idiot au grand cœur s’affirme comme possible remède à la déshumanisation du monde.
Marie Claire
par Emily Barnett
[...] ce "Lazzaro" émeut, déroute, étonne, nous perd parfois. Mais emporte le morceau : derrière la fable se déploie une réflexion sur l'argent et les systèmes de domination [...].
Positif
par Vincent Thabourey
Aucune niaiserie dans cette fantaisie féerique, juste la croyance en un cinéma humain et modeste dont le grain de la pellicule Super 16 ajoute une texture âpre mais chaleureuse.
Télérama
par Jacques Morice
Lazzaro ? Un simple d’esprit d’une infinie bonté, imperturbable héros d’une fable sur l’injustice, la servilité, la dignité. Aux accents pasoliniens.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un petit bijou de déconstruction narrative qui confirme la cohérence du cinéma d’Alice Rohrwacher.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Heureux comme Lazzaro donne aussi le sentiment de se refermer sur une nostalgie de cinéma équivalente à celle de son personnage (…) La veine paysagère et vitaliste de Rohrwacher est à l’inverse ce qu’elle fait de plus passionnant – espérons que son prochain film l’embrassera pleinement.
Critikat.com
par Damien Bonelli
Si la première heure du film, la plus réussie, remet en mémoire Le Village, de Shyamalan, elle convoque surtout le souvenir de Salò, de Pasolini, dont elle se réapproprie le fantasme totalitaire (sans la dépravation sexuelle).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Sur sa transparence irréprochable, la fable sociale greffe un éloge de la bonté. Contre toutes les injustices, contre toutes les ignominies, contre les cruautés et cynismes, il est élevé à une sainteté exemplaire. Il faudrait être son disciple, croire en un merveilleux miraculeux pour le suivre, mais ce nouveau Candide, hors de la raison, n’est que le héros d’une histoire à la philosophie courte.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Franceinfo Culture
par Lorenzo Ciavarini Azzi
Du beau cinéma, référence à Olmi, Bertolucci et les frères Taviani, qui souffre néanmoins de quelques longueurs.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
[...] joliment bancal.
L'Obs
par François Forestier
Lazzaro est l'un de ces personnages naïfs et miraculeux, comme Harry Langdon ou le Schpountz, qu'il est impossible de ne pas aimer. Est-ce un ange ? Probablement. Il rayonne d'une poésie qui fait chaud au cœur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Jérôme d’Estais
Le cinéma d’Alice Rohrwacher est occulte et envoûtant (…) le film est tendre et compassionnel, gracieux parce qu’honnête, pur parce que libéré de l’envie de plaire à tout prix.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Si le style d’Alice Rohrwacher n’est pas à même de convertir tous les spectateurs et qu’"Heureux comme Lazzaro" connaît quelques passages à vide au début, l’ensemble séduit par sa sensibilité, sa poésie classique et particulière, son empathie pour les laissés-pour-compte.
Le Parisien
par La Rédaction
Prix du scénario à Cannes, ce conte porté par un visage d’une grande beauté réclame qu’on s’y laisse emporter en dépit d’un début un peu austère et maniéré dans la volonté de montrer la vie rude de villageois vraiment très droits dans leurs bottes. Mais une grâce générale déploie peu à peu ses ailes pour faire de ce film une sorte d’œuvre d’art cinématographique comme seul Cannes sait en dénicher.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Jérémy Piette
Rohrwacher, tout en levant le poing sur l’air de la fable politico-sociale de l’éternelle reconduction des inégalités et autres rapports de servitude, semble, dans un contre-mouvement ou un acte manqué, nous inviter un peu plus à rêvasser à ce passé pourtant vicié qu’à embrasser tout simplement le présent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Il y a un ton et une grande maîtrise dans ce film étrange mais on peut être moins sensible à l'obscure symbolique christique.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Quelque part entre Pasolini et Kusturica, le film est un beau conte, aussi politique que poétique, sur l’innocence perdue.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Gaël Golhen
La parabole est lourde et incompréhensible. La cinéaste suit-elle les traces d’Hugo (et son « Lazare ! Lazare ! Lazare ! Lève toi » qui appelait à l’insurrection du peuple), de Dostoievski (le Lazare salvateur) ou de Cayrol (peut-on encore créer après la destruction) ?
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Déployant son film à la manière d’une parabole, la réalisatrice italienne Alice Rohrwacher montre une Italie miséreuse dont le bouc émissaire est tout désigné. Le festival de Cannes lui a donné les prix du scénario. Curieux choix pour un film qui vaut davantage pour ses touches picturales ici ou là.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Le Figaro
par La Rédaction
«C'est à la fois un manifeste politique, un conte de fées, une chanson dans l'Italie des cinquante dernières années», explique son auteur, Alice Rohrwacher. Cela fait beaucoup pour un seul film. Et le propos est sans équivoque dans le film: tout cet esclavage moderne est la faute des banques. Comme c'est une fable, il faut bien un loup.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Culturopoing.com
En adoptant le parti pris de la parabole, Alice Rohrwacher parvient à livrer une œuvre cinématographique aérienne, épurée, artisanale sur laquelle soufflent une grâce et une poésie absolues.
Les Fiches du Cinéma
Étonnant chef-d’œuvre que ce film qui déconstruit patiemment ses oripeaux pastoraux et véristes, pour atteindre des sommets apicaux de douceur et de dureté mêlées, avec une limpidité de parabole et une emprise sur le réel d’une prégnance étourdissante.
Transfuge
L’un des charmes du cinéma de Rohrwacher tient à sa façon subtile, sans coups de force, de jouer avec le réalisme magique, de prendre des chemins de traverse, de créer des mystères irrésolus tant au niveau de l’image que du récit ; des mystères qui empruntent aux contes médiévaux, aux représentations catholiques et au théâtre classique.
Bande à part
Entre fable moderne et film politique, porté par une réalisation limpide et par la révélation du lumineux Adriano Tardiolo, le troisième film d’Alice Rohwacher confirme le talent d’une cinéaste hors normes.
Ecran Large
Malgré son propos politique simpliste, "Heureux comme Lazzaro" est une petite merveille de poésie, mêlant néoréalisme et surréalisme, sublimé par sa photographie intemporelle et l'interprétation de son acteur principal, Adriano Tardiolo.
L'Humanité
Alice Rohrwacher excelle dans cette tension, dénuée de nostalgie, installée entre passé et présent, réalité et fiction. Elle se joue à merveille de l’invraisemblable dans ce conte apocalyptique sur l’humain.
La Croix
Un film mystérieux et envoûtant sur les désillusions du monde contemporain.
Les Inrockuptibles
Une fable poétique et politique dans laquelle, dans la lignée de "Twin Peaks 3", un idiot au grand cœur s’affirme comme possible remède à la déshumanisation du monde.
Marie Claire
[...] ce "Lazzaro" émeut, déroute, étonne, nous perd parfois. Mais emporte le morceau : derrière la fable se déploie une réflexion sur l'argent et les systèmes de domination [...].
Positif
Aucune niaiserie dans cette fantaisie féerique, juste la croyance en un cinéma humain et modeste dont le grain de la pellicule Super 16 ajoute une texture âpre mais chaleureuse.
Télérama
Lazzaro ? Un simple d’esprit d’une infinie bonté, imperturbable héros d’une fable sur l’injustice, la servilité, la dignité. Aux accents pasoliniens.
aVoir-aLire.com
Un petit bijou de déconstruction narrative qui confirme la cohérence du cinéma d’Alice Rohrwacher.
Cahiers du Cinéma
Heureux comme Lazzaro donne aussi le sentiment de se refermer sur une nostalgie de cinéma équivalente à celle de son personnage (…) La veine paysagère et vitaliste de Rohrwacher est à l’inverse ce qu’elle fait de plus passionnant – espérons que son prochain film l’embrassera pleinement.
Critikat.com
Si la première heure du film, la plus réussie, remet en mémoire Le Village, de Shyamalan, elle convoque surtout le souvenir de Salò, de Pasolini, dont elle se réapproprie le fantasme totalitaire (sans la dépravation sexuelle).
Dernières Nouvelles d'Alsace
Sur sa transparence irréprochable, la fable sociale greffe un éloge de la bonté. Contre toutes les injustices, contre toutes les ignominies, contre les cruautés et cynismes, il est élevé à une sainteté exemplaire. Il faudrait être son disciple, croire en un merveilleux miraculeux pour le suivre, mais ce nouveau Candide, hors de la raison, n’est que le héros d’une histoire à la philosophie courte.
Franceinfo Culture
Du beau cinéma, référence à Olmi, Bertolucci et les frères Taviani, qui souffre néanmoins de quelques longueurs.
L'Express
[...] joliment bancal.
L'Obs
Lazzaro est l'un de ces personnages naïfs et miraculeux, comme Harry Langdon ou le Schpountz, qu'il est impossible de ne pas aimer. Est-ce un ange ? Probablement. Il rayonne d'une poésie qui fait chaud au cœur.
La Septième Obsession
Le cinéma d’Alice Rohrwacher est occulte et envoûtant (…) le film est tendre et compassionnel, gracieux parce qu’honnête, pur parce que libéré de l’envie de plaire à tout prix.
Le Journal du Dimanche
Si le style d’Alice Rohrwacher n’est pas à même de convertir tous les spectateurs et qu’"Heureux comme Lazzaro" connaît quelques passages à vide au début, l’ensemble séduit par sa sensibilité, sa poésie classique et particulière, son empathie pour les laissés-pour-compte.
Le Parisien
Prix du scénario à Cannes, ce conte porté par un visage d’une grande beauté réclame qu’on s’y laisse emporter en dépit d’un début un peu austère et maniéré dans la volonté de montrer la vie rude de villageois vraiment très droits dans leurs bottes. Mais une grâce générale déploie peu à peu ses ailes pour faire de ce film une sorte d’œuvre d’art cinématographique comme seul Cannes sait en dénicher.
Libération
Rohrwacher, tout en levant le poing sur l’air de la fable politico-sociale de l’éternelle reconduction des inégalités et autres rapports de servitude, semble, dans un contre-mouvement ou un acte manqué, nous inviter un peu plus à rêvasser à ce passé pourtant vicié qu’à embrasser tout simplement le présent.
Ouest France
Il y a un ton et une grande maîtrise dans ce film étrange mais on peut être moins sensible à l'obscure symbolique christique.
Paris Match
Quelque part entre Pasolini et Kusturica, le film est un beau conte, aussi politique que poétique, sur l’innocence perdue.
Première
La parabole est lourde et incompréhensible. La cinéaste suit-elle les traces d’Hugo (et son « Lazare ! Lazare ! Lazare ! Lève toi » qui appelait à l’insurrection du peuple), de Dostoievski (le Lazare salvateur) ou de Cayrol (peut-on encore créer après la destruction) ?
Sud Ouest
Déployant son film à la manière d’une parabole, la réalisatrice italienne Alice Rohrwacher montre une Italie miséreuse dont le bouc émissaire est tout désigné. Le festival de Cannes lui a donné les prix du scénario. Curieux choix pour un film qui vaut davantage pour ses touches picturales ici ou là.
Le Figaro
«C'est à la fois un manifeste politique, un conte de fées, une chanson dans l'Italie des cinquante dernières années», explique son auteur, Alice Rohrwacher. Cela fait beaucoup pour un seul film. Et le propos est sans équivoque dans le film: tout cet esclavage moderne est la faute des banques. Comme c'est une fable, il faut bien un loup.