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8 critiques presse
L'Obs
par Michel Pérez
Une chose est sûre, la magie de ce décor photographié apr Harry Stradling n'a pas cessé d'exercer son pouvoir. Et la musique d'Alex North, avec son blues brillant de toute la séduction frelatée du jazz symphonique, ne peut que provoquer les frissons qu'on a lorsqu'on retrouve ce qu'on a longtemps perdu. Le Nouvel Obs., 5 juin 87
Le Monde
par Jacques Siclier
Avec Brando triomphent l'ambiguïté et l'ambivalence. Il est le phare d'un désir qui atteint tout autant les hommes que les femmes. Le Monde, 8 juin 86
Le Quotidien de Paris
par H. CH.
"Un tramway nommé Désir" d'Elia Kazan reste inoubliable. Le QdP, 10 août 74
Aden
par Philippe Piazzo
(...) de la pièce de Tennessee Williams, Elia Kazan a tiré un grand classique, pas vraiment léger, mais qui reste marquant (...)
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Renaud De Laborderie
Il est impossible de ne pas être sensible à cette angoisse lourde et corrosive. Cahiers du cinéma 12, mai 52
Télérama
par Marion Vidal
"Un tramway nommé Désir" est une œuvre troublante où le bien est complémentaire du mal, Eros et Thanatos indissolublement liés. Télérama, 13 juin 87
aVoir-aLire.com
par Marianne Spozio
(...) un climat sensuel violent dont le charme venimeux opère encore aujourd'hui.
Les Inrockuptibles
par La rédaction
L'exemple même du faux classique qui a pris un irrémédiable coup de vieux. Dramaturgie lourdement théâtrale, dialogues et atmosphère pesants, jeu outré des acteurs. Bien sûr, il reste la présence physique bestiale de Brando, impressionnante, mais il vaut mieux revoir La Fièvre dans le sang pour garder un meilleur souvenir d'Elia Kazan.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Obs
Une chose est sûre, la magie de ce décor photographié apr Harry Stradling n'a pas cessé d'exercer son pouvoir. Et la musique d'Alex North, avec son blues brillant de toute la séduction frelatée du jazz symphonique, ne peut que provoquer les frissons qu'on a lorsqu'on retrouve ce qu'on a longtemps perdu. Le Nouvel Obs., 5 juin 87
Le Monde
Avec Brando triomphent l'ambiguïté et l'ambivalence. Il est le phare d'un désir qui atteint tout autant les hommes que les femmes. Le Monde, 8 juin 86
Le Quotidien de Paris
"Un tramway nommé Désir" d'Elia Kazan reste inoubliable. Le QdP, 10 août 74
Aden
(...) de la pièce de Tennessee Williams, Elia Kazan a tiré un grand classique, pas vraiment léger, mais qui reste marquant (...)
Cahiers du Cinéma
Il est impossible de ne pas être sensible à cette angoisse lourde et corrosive. Cahiers du cinéma 12, mai 52
Télérama
"Un tramway nommé Désir" est une œuvre troublante où le bien est complémentaire du mal, Eros et Thanatos indissolublement liés. Télérama, 13 juin 87
aVoir-aLire.com
(...) un climat sensuel violent dont le charme venimeux opère encore aujourd'hui.
Les Inrockuptibles
L'exemple même du faux classique qui a pris un irrémédiable coup de vieux. Dramaturgie lourdement théâtrale, dialogues et atmosphère pesants, jeu outré des acteurs. Bien sûr, il reste la présence physique bestiale de Brando, impressionnante, mais il vaut mieux revoir La Fièvre dans le sang pour garder un meilleur souvenir d'Elia Kazan.