Basquiat, un adolescent à New York : Critique presse
Basquiat, un adolescent à New York
Note moyenne
3,6
16 titres de presse
L'Express
L'Humanité
Le Figaro
Le Parisien
Le Point
Libération
Positif
Rolling Stone
Télérama
Voici
L'Obs
La Croix
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Première
Cahiers du Cinéma
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Express
par Antoine Le Fur
À la fois anticonformiste et décalé, le doc rend un bel hommage à celui qui fut considéré comme l'un des plus grands peintres du XXe siècle.
L'Humanité
par Dominique Widemann
D’un film renaît la jeunesse de Jean-Michel Basquiat dans les rues de New York, où l’un des plus grands artistes de sa génération se met à l’œuvre.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par La Rédaction
Portrait d'un adolescent très ambitieux, le film de Sara Driver montre l’ascension de l'artiste au coeur de la scène punk. A voir.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Passionnant et euphorisant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Valérie Marin La Meslée
Plus on avance, plus le film est réussi, inventif, rythmé, sortant de sa petite gangue un peu sage pour vibrer du talent créatif de l'époque et de l'extraordinaire singularité d'un génie.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Marcos Uzal
Mais la vitalité qui se dégage de ce montage va au-delà du simple documentaire biographique. A travers la figure du jeune peintre, le film compose surtout le portrait foisonnant d’un quartier de New York au moment de sa plus grande effervescence [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Denitza Bantcheva
Instructif, captivant et souvent émouvant, ce documentaire n'en pèche pas moins par un montage trop rapide, qui nous frustre en écourtant les propos des (nombreux) témoins, et qui réduit certains plans à des images quasi subliminales.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
À travers le regard de ses proches et de ses amantes, on s'attache à un rôle de personnage énigmatique dont la soif de réussite a nécessité pas mal de stratégie et, évidemment, un talent fou. Si l'on regrette la comparaison un peu lourde avec la figure de la fusée, on apprécie l'énergie postadolescente de ce film qui rappelle en quoi l'art de Basquiat était alors inévitable.
Télérama
par Frédéric Strauss
Un émouvant hommage à l’amour de l’art tous azimuts.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Le film retrace celui qui deviendra une icône underground, et l'un des peintres les plus chers du monde, à travers des images d'archives et des interventions de ceux qui l'ont côtoyé.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Trop sage dans sa forme, mais pertinent dans son propos.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Sabine Gignoux
Dans une métaphore un peu grossière, le documentaire se termine sur les images du décollage de la première navette spatiale en 1981, lorsque Basquiat obtint sa première exposition personnelle (...). Du coup, le film évite de se plonger dans les arcanes de l’œuvre, son mûrissement très riche, pour n’en évoquer que les prémices. Séduisant mais frustrant !
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Thomas Sotinel
Un beau film.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Ce documentaire, classique dans sa forme, mêle de rares images d’archives et les témoignages des proches de Basquiat pour dessiner le paysage du Downtown new-yorkais de la fin des années 1970. Un éclairage sur le destin du jeune prodige, décédé à l’âge de 27 ans.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par François Rieux
Au-delà du portrait de l’artiste en jeune homme, Basquiatest un morceau d’histoire américaine : l’effervescence d’un temps où le hip-hop pointait le bout de son ghetto-blaster et où l’art de rue relevait de la revendication subversive.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Paola Raiman
Les premières images surprennent (…) Sara Driver s’attache à montrer New York comme un territoire à conquérir pour les artistes. C’est la partie la plus réussie du film. On regrette que cette exaltation se retrouve étouffée par les témoignages attendus des artistes, amis ou galeristes qui ont côtoyé Basquiat.
L'Express
À la fois anticonformiste et décalé, le doc rend un bel hommage à celui qui fut considéré comme l'un des plus grands peintres du XXe siècle.
L'Humanité
D’un film renaît la jeunesse de Jean-Michel Basquiat dans les rues de New York, où l’un des plus grands artistes de sa génération se met à l’œuvre.
Le Figaro
Portrait d'un adolescent très ambitieux, le film de Sara Driver montre l’ascension de l'artiste au coeur de la scène punk. A voir.
Le Parisien
Passionnant et euphorisant.
Le Point
Plus on avance, plus le film est réussi, inventif, rythmé, sortant de sa petite gangue un peu sage pour vibrer du talent créatif de l'époque et de l'extraordinaire singularité d'un génie.
Libération
Mais la vitalité qui se dégage de ce montage va au-delà du simple documentaire biographique. A travers la figure du jeune peintre, le film compose surtout le portrait foisonnant d’un quartier de New York au moment de sa plus grande effervescence [...].
Positif
Instructif, captivant et souvent émouvant, ce documentaire n'en pèche pas moins par un montage trop rapide, qui nous frustre en écourtant les propos des (nombreux) témoins, et qui réduit certains plans à des images quasi subliminales.
Rolling Stone
À travers le regard de ses proches et de ses amantes, on s'attache à un rôle de personnage énigmatique dont la soif de réussite a nécessité pas mal de stratégie et, évidemment, un talent fou. Si l'on regrette la comparaison un peu lourde avec la figure de la fusée, on apprécie l'énergie postadolescente de ce film qui rappelle en quoi l'art de Basquiat était alors inévitable.
Télérama
Un émouvant hommage à l’amour de l’art tous azimuts.
Voici
Le film retrace celui qui deviendra une icône underground, et l'un des peintres les plus chers du monde, à travers des images d'archives et des interventions de ceux qui l'ont côtoyé.
L'Obs
Trop sage dans sa forme, mais pertinent dans son propos.
La Croix
Dans une métaphore un peu grossière, le documentaire se termine sur les images du décollage de la première navette spatiale en 1981, lorsque Basquiat obtint sa première exposition personnelle (...). Du coup, le film évite de se plonger dans les arcanes de l’œuvre, son mûrissement très riche, pour n’en évoquer que les prémices. Séduisant mais frustrant !
Le Monde
Un beau film.
Les Fiches du Cinéma
Ce documentaire, classique dans sa forme, mêle de rares images d’archives et les témoignages des proches de Basquiat pour dessiner le paysage du Downtown new-yorkais de la fin des années 1970. Un éclairage sur le destin du jeune prodige, décédé à l’âge de 27 ans.
Première
Au-delà du portrait de l’artiste en jeune homme, Basquiatest un morceau d’histoire américaine : l’effervescence d’un temps où le hip-hop pointait le bout de son ghetto-blaster et où l’art de rue relevait de la revendication subversive.
Cahiers du Cinéma
Les premières images surprennent (…) Sara Driver s’attache à montrer New York comme un territoire à conquérir pour les artistes. C’est la partie la plus réussie du film. On regrette que cette exaltation se retrouve étouffée par les témoignages attendus des artistes, amis ou galeristes qui ont côtoyé Basquiat.