Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
Un bijou de documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Le film trouve ainsi son équilibre dans un travail de montage, efficace et sensible, qui vise à fédérer tous ces éléments éparpillés et patiemment collectés, sans pour autant prétendre – bien au contraire – à une quelconque et chimérique neutralité.
Critikat.com
par Benoît Smith
Le film tient sans doute là sa plus belle part, car sa moins explicite : ce visage maternel, mûr et rugueux, (...), dirigeant sur son vis-à-vis un regard où brillent la foi des combats passés et le scepticisme du présent, mais vibrant également de tics nerveux que l'on croit symptômes d'un ressenti moins lisible (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
D’une écriture sobre et digne, sans effets cinématographiques mais sans froideur, le film évite ainsi la pesanteur du cours d’histoire et préserve sa belle charge d’authenticité, tissant un émouvant message de transmission entre mère et fille.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un passionnant journal intime qui fait remonter à la surface plus de cinquante ans de non-dits, d'omissions et de petits arrangements avec l'histoire officielle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Nicolas Geneix
L’auteure de "Cinema Komunisto" puise plus d’élégie que de nostalgie dans le montage des rares archives d’oppositions, de résistances qui racontent un « petit » pays, malgré les élans brisés et au-delà des recensements.
Télérama
par Emmanuelle Skyvington
Dans l’appartement familial, la cinéaste a filmé sa mère et ses amis militant pour une Serbie indépendante. Une fusion subtile de l’intime et de l’Histoire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Antoine Le Fur
Hélas, le propos pèche par son didactisme évident, donnant à l'ensemble des allures de cours magistral sur la situation politique en Serbie.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Mila Turajlic joue sur la façon dont l’intérieur (l’appartement) et l’extérieur (la rue, l’espace public) se convoquent mutuellement. Sa caméra joue avec habileté du motif des embrasures et des fenêtres qui permettent à l’un et l’autre de communiquer : celles qui ouvrent au-dehors et permettent d’observer, par exemple, les manifestations en cours, mais aussi la télévision, où bruissent les images du pays.
Les Fiches du Cinéma
par Maxime Duchâteau
En faisant de son appartement familial un atlas subjectif de la Serbie, la réalisatrice dresse avec brio l’histoire d’une famille, d’un pays et d’un peuple dans la tourmente.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Alexandre Büyükodabas
"L’Envers d’une histoire" évite les écueils du film-dispositif comme du manuel scolaire en faisant du dialogue mère-fille une colonne vertébrale cinématographique en perpétuel mouvement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Bande à part
Un bijou de documentaire.
Cahiers du Cinéma
Le film trouve ainsi son équilibre dans un travail de montage, efficace et sensible, qui vise à fédérer tous ces éléments éparpillés et patiemment collectés, sans pour autant prétendre – bien au contraire – à une quelconque et chimérique neutralité.
Critikat.com
Le film tient sans doute là sa plus belle part, car sa moins explicite : ce visage maternel, mûr et rugueux, (...), dirigeant sur son vis-à-vis un regard où brillent la foi des combats passés et le scepticisme du présent, mais vibrant également de tics nerveux que l'on croit symptômes d'un ressenti moins lisible (...).
Culturopoing.com
D’une écriture sobre et digne, sans effets cinématographiques mais sans froideur, le film évite ainsi la pesanteur du cours d’histoire et préserve sa belle charge d’authenticité, tissant un émouvant message de transmission entre mère et fille.
L'Obs
Un passionnant journal intime qui fait remonter à la surface plus de cinquante ans de non-dits, d'omissions et de petits arrangements avec l'histoire officielle.
Positif
L’auteure de "Cinema Komunisto" puise plus d’élégie que de nostalgie dans le montage des rares archives d’oppositions, de résistances qui racontent un « petit » pays, malgré les élans brisés et au-delà des recensements.
Télérama
Dans l’appartement familial, la cinéaste a filmé sa mère et ses amis militant pour une Serbie indépendante. Une fusion subtile de l’intime et de l’Histoire.
L'Express
Hélas, le propos pèche par son didactisme évident, donnant à l'ensemble des allures de cours magistral sur la situation politique en Serbie.
Le Monde
Mila Turajlic joue sur la façon dont l’intérieur (l’appartement) et l’extérieur (la rue, l’espace public) se convoquent mutuellement. Sa caméra joue avec habileté du motif des embrasures et des fenêtres qui permettent à l’un et l’autre de communiquer : celles qui ouvrent au-dehors et permettent d’observer, par exemple, les manifestations en cours, mais aussi la télévision, où bruissent les images du pays.
Les Fiches du Cinéma
En faisant de son appartement familial un atlas subjectif de la Serbie, la réalisatrice dresse avec brio l’histoire d’une famille, d’un pays et d’un peuple dans la tourmente.
Les Inrockuptibles
"L’Envers d’une histoire" évite les écueils du film-dispositif comme du manuel scolaire en faisant du dialogue mère-fille une colonne vertébrale cinématographique en perpétuel mouvement.