Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un récit autobiographique choc sur le combat d'une femme pour sa liberté.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Un épisode de dérapage incontrôlé et voilà Nisha embarquée au Pakistan dans la famille de son père. L’enlèvement s’est déroulé sous la main implacable de ce dernier et la main-forte que lui prête son fils aîné, au grand dam de Nisha. Sa désorientation culturelle et affective est totale. C’est que Mirza – formidable Adil Hussain – est un père aimant. Il sera transpercé de conflits lisibles. Ces ambivalences constitueront l’une des qualités du film, qui ne caricature personne.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Pas par complaisance : le récit, très fort, se révèle autobiographique et la réalisatrice Iram Haq raconte sa propre histoire à travers cette lycéenne norvégienne d’origine pakistanaise qui croyait pouvoir fréquenter impunément un garçon comme toutes les filles de son âge.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par La Rédaction
Ce long-métrage magnifique est d’autant plus poignant lorsqu’on sait qu’il s’inspire de la vie de la réalisatrice : aujourd’hui âgée de 42 ans, Iram Haq a grandi en Norvège avant d’être kidnappée par sa famille et envoyée au Pakistan à l’âge de 14 ans.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Loin du pamphlet anti-religieux, Iram Haq dénonce magistralement les effets pervers au quotidien d’une tradition imprégnée de religiosité mal digérée qui, adjoints à la peur du regard de l’autre, en deviennent mortifères.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier de Bruyn
Courageux et nécessaire.
Sud Ouest
par Sophie Avon
La réalisatrice Iram Haq, Pakistanaise ayant grandi en Norvège comme Nisha, a traversé les mêmes épreuves. Son film n’a pourtant rien d’un règlement de comptes. Il fait au contraire tout un trajet vers ce père qui trahit sa tendresse au nom de principes obscurantistes.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
Ce film est un vibrant appel à la survie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
par La Rédaction
Avec cette histoire dramatique, la réalisatrice a réussi à prendre du recul pour réaliser une fiction choc. Dans le rôle d'une héroïne d'aujourd'hui, Maria Mozhdah se révèle poignante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un drame pertinent et sensible dont se dégage parfois un air de déjà-vu.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Bien que cette succession d’horreurs peut parfois agacer, il faut rappeler que la réalisatrice Iram Haq s’est basée sur ses propres souvenirs pour écrire le scénario – rien n’est exagéré, bien que certaines scènes soient franchement ahurissantes.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Le Monde
par Thomas Sotinel
Inspiré de l’expérience de sa réalisatrice, La Mauvaise Réputation est empreint d’une colère bien-fondée qui, hélas, écrase les nuances et les contradictions, qui donneraient aux personnages l’occasion d’être plus que les signes d’un discours.
Femme Actuelle
Un récit autobiographique choc sur le combat d'une femme pour sa liberté.
L'Humanité
Un épisode de dérapage incontrôlé et voilà Nisha embarquée au Pakistan dans la famille de son père. L’enlèvement s’est déroulé sous la main implacable de ce dernier et la main-forte que lui prête son fils aîné, au grand dam de Nisha. Sa désorientation culturelle et affective est totale. C’est que Mirza – formidable Adil Hussain – est un père aimant. Il sera transpercé de conflits lisibles. Ces ambivalences constitueront l’une des qualités du film, qui ne caricature personne.
La Voix du Nord
Pas par complaisance : le récit, très fort, se révèle autobiographique et la réalisatrice Iram Haq raconte sa propre histoire à travers cette lycéenne norvégienne d’origine pakistanaise qui croyait pouvoir fréquenter impunément un garçon comme toutes les filles de son âge.
Le Parisien
Ce long-métrage magnifique est d’autant plus poignant lorsqu’on sait qu’il s’inspire de la vie de la réalisatrice : aujourd’hui âgée de 42 ans, Iram Haq a grandi en Norvège avant d’être kidnappée par sa famille et envoyée au Pakistan à l’âge de 14 ans.
Les Fiches du Cinéma
Loin du pamphlet anti-religieux, Iram Haq dénonce magistralement les effets pervers au quotidien d’une tradition imprégnée de religiosité mal digérée qui, adjoints à la peur du regard de l’autre, en deviennent mortifères.
Marianne
Courageux et nécessaire.
Sud Ouest
La réalisatrice Iram Haq, Pakistanaise ayant grandi en Norvège comme Nisha, a traversé les mêmes épreuves. Son film n’a pourtant rien d’un règlement de comptes. Il fait au contraire tout un trajet vers ce père qui trahit sa tendresse au nom de principes obscurantistes.
Télérama
Ce film est un vibrant appel à la survie.
Le Figaro
Avec cette histoire dramatique, la réalisatrice a réussi à prendre du recul pour réaliser une fiction choc. Dans le rôle d'une héroïne d'aujourd'hui, Maria Mozhdah se révèle poignante.
Le Journal du Dimanche
Un drame pertinent et sensible dont se dégage parfois un air de déjà-vu.
Rolling Stone
Bien que cette succession d’horreurs peut parfois agacer, il faut rappeler que la réalisatrice Iram Haq s’est basée sur ses propres souvenirs pour écrire le scénario – rien n’est exagéré, bien que certaines scènes soient franchement ahurissantes.
Le Monde
Inspiré de l’expérience de sa réalisatrice, La Mauvaise Réputation est empreint d’une colère bien-fondée qui, hélas, écrase les nuances et les contradictions, qui donneraient aux personnages l’occasion d’être plus que les signes d’un discours.