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Le résultat témoigne d'un bel équilibre entre ces deux dimensions, inscrivant le parcours intime d'une Syrienne désillusionnée dans les lendemains précaires de son pays.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Si l’on a l’impression de perdre le fil de l’histoire, Gaya Jiji signe des images d’une grande esthétique et le jeu de ses actrices est remarquable. Dans ce film écrit par une femme, porté par des femmes, la sensualité n’est pas l’affaire des hommes, elle est nôtre, elle nous émancipe et nous appartient.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
On retiendra de ce premier film le portrait trouble d'une adolescente (formidable Manal Issa) qui se construit contre la peur et le patriarcat, et sa sensualité, son onirisme ouaté, évoquant "les Mille et Une Nuits".
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
On cherchera en vain la perversion dans cette histoire un peu trop sage dont la mise en scène soignée dénonce néanmoins avec pertinence le poids des conventions sociales.
(...) la réussite de certaines séquences, comme la dernière entrevue entre Nahla et le fiancé qu’elle a laissé échapper, ne suffit pas à préserver le lien qui s’était créé avec le monde ordinaire et tragique – puisque promis aux destructions de la guerre civile – de ces femmes damascènes. Restent ces lambeaux d’histoire, qui prennent aujourd’hui une teinte encore plus sombre.
Premier film d’une cinéaste et actrice originaire de Damas, Gaya Jiji, Mon Tissu préféré est étrangement empesé et les motivations de son personnage principal difficiles à comprendre, bien qu’on sente en filigrane la justesse de l’idée de départ (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
Le résultat témoigne d'un bel équilibre entre ces deux dimensions, inscrivant le parcours intime d'une Syrienne désillusionnée dans les lendemains précaires de son pays.
L'Humanité
Si l’on a l’impression de perdre le fil de l’histoire, Gaya Jiji signe des images d’une grande esthétique et le jeu de ses actrices est remarquable. Dans ce film écrit par une femme, porté par des femmes, la sensualité n’est pas l’affaire des hommes, elle est nôtre, elle nous émancipe et nous appartient.
Ouest France
Une belle histoire d'émancipation.
Première
Un autre cinéma arabe est possible, en voici la preuve aussi instable qu’étincelante.
L'Obs
On retiendra de ce premier film le portrait trouble d'une adolescente (formidable Manal Issa) qui se construit contre la peur et le patriarcat, et sa sensualité, son onirisme ouaté, évoquant "les Mille et Une Nuits".
Le Journal du Dimanche
Un premier film personnel porté par des comédiennes convaincantes.
Paris Match
Si «Mon tissu préféré» n'est pas totalement abouti, on surveillera la suite.
Positif
On cherchera en vain la perversion dans cette histoire un peu trop sage dont la mise en scène soignée dénonce néanmoins avec pertinence le poids des conventions sociales.
Télérama
Un puzzle féminin, qui révèle le talent de l’actrice libanaise Manal Issa, et finit par s’assembler.
aVoir-aLire.com
Un premier long métrage attachant qui tente de sortir des pistes balisées du cinéma social et psychologique.
Le Monde
(...) la réussite de certaines séquences, comme la dernière entrevue entre Nahla et le fiancé qu’elle a laissé échapper, ne suffit pas à préserver le lien qui s’était créé avec le monde ordinaire et tragique – puisque promis aux destructions de la guerre civile – de ces femmes damascènes. Restent ces lambeaux d’histoire, qui prennent aujourd’hui une teinte encore plus sombre.
Les Fiches du Cinéma
Un premier film intéressant mais pas totalement convaincant.
Libération
Premier film d’une cinéaste et actrice originaire de Damas, Gaya Jiji, Mon Tissu préféré est étrangement empesé et les motivations de son personnage principal difficiles à comprendre, bien qu’on sente en filigrane la justesse de l’idée de départ (...).
Le Figaro
Un premier long-métrage nébuleux, prétentieux et ennuyeux.