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SebLefr3nch
191 abonnés
687 critiques
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2,5
Publiée le 29 janvier 2019
Que dire de ce film qui n'apporte rien de bien nouveau dans une intrigue de couples qui se trompent et qui souhaitent le cacher le plus longtemps possible... Et bien pas grand chose, à part les longues discussions sur l'arrivée du Numérique et son impact dans le monde de l'édition. J'avoue que toutes ces discussions m'ont plu et c'est bien la seule chose. Car le film est mal réalisé et mal monté. Heureusement que Juliette Binoche et Guillaume Canet sont très bons car le reste du casting est assez décevant.
Je n'ai pas détesté comme certains, pas adoré non plus. Bavard certes, mais j'ai supporté, et puis, ce que j'ai bien aimé, c'est cette incertitude ( voire invraisemblance ) des choses de la vie ...
aucun intérêt d avoir vu ce film , malgré de bons acteurs .Envie de quitter la salle au bout de 20mn nous nous sommes dit qu il y aurait du rythme un peu plus tard mais non rien de plus
C’est un film qui divise la critique, certains considèrent que l’incursion d’Olivier Assayas dans le domaine de la comédie et la façon dont il égratigne le milieu de l’édition parisienne est une franche réussite et d’une légèreté bienvenue, d’autres que c’est une oeuvre fourre-tout et que c’est l’ennui qui domine ce film beaucoup trop bavard… Et je partage ce point de vue. J’ai rarement vu un film aussi superficiel, aussi empreint de fatuité…où l’on cause et l’on cause de l’avenir de l’édition, où une série de personnages disserte pendant des heures, si les livres en ligne c’est une révolution et si les nouvelles générations qui ont grandi avec les ordinateurs, tablettes ou smartphones ne liront plus que des e-books...que les tweets sont les haïkus d’aujourd’hui... S’il est beaucoup question de liseuses, de clics et de technologies, il n’est en revanche jamais question de mots, de langage, des raisons pour lesquelles on écrit ou on lit et du plaisir que l’on peut avoir à feuilleter et à humer un livre neuf…… Les éditeurs, écrivains et autres bobos dont on fait ici le portrait, et qu’incarnent Juliette Binoche, Guillaume Canet, Nora Hamzawi ou Vincent Macaigne, vivent dans un contexte bourgeois qui transforme l’essentiel du film en une longue conversation mondaine sur la dématérialisation, grand sujet d’époque, qui semble pourtant ne rien avoir de bien menaçant pour l’écosystème où s’ébattent ces personnages-là. …Mais alors pourquoi « Doubles vies » ? Ce n’est qu’au bout d’une heure vingt de marivaudages, que l’on entrevoit la double vie où Guillaume trompe Juliette qui couche avec Vincent qui trompe Nora, rien de bien nouveau sous le ciel de la comédie sentimentale à la française, même si cela arrache quelques rires aux spectateurs…Cette tentative avortée de proposer un film léger et divertissant échoue sur tous les plans…Le nombre d’informations débitées en un temps record dès les premiers plans nous découragerait presque de rester jusqu’au bout…Ces échanges qui atteignent les plus hautes sommets du verbiage nous font détester ces personnages ultra caricaturaux, ces bobos narcissiques proférant des pseudo vérités dont la pertinence reviendrait à celui qui maîtrise le mieux l’art de la rhétorique ou la capacité de sortir au bon moment la petite phrase assassine…Beaucoup trop de complaisance dans cette satire d’une certaine bourgeoisie parisienne qui ne suscite ni empathie , ni sourire…..C’est tout de même très ennuyeux !!! Le monde de l’édition mérite mieux !!!
Je suis surprise par autant de médiocrité ! Je ne m'attendais pas à un film aussi long, lent et ennuyeux ! Les conversations à rallonges (et je pèse mes mots) des personnages imbus de leur personne sont sans intérêt et très peu crédibles ! On décroche très vite. Dès les 10 minutes, j'ai compris que j'avais fait une erreur en choisissant d'aller voir ce film... Une catastrophe. Passez votre chemin...
C’est la deuxième fois de ma vie que je quitte une salle de cinéma avant la fin du film. Il n’y a rien d’intéressant dans ce film. Le scénario est d’une platitude désespérante et se cantonne à un bavardage creux sur le numérique dans l’édition. les acteurs semblent s’ennuyer à mourir et les ressorts comiques des situations de couple ne fonctionnent absolument pas. on a droit à un étalage d’intérieurs bobos parisiens tous plus improbables les uns que les autres. La petite maison sur le bord de l’eau est charmante... ces gens sont des héritiers certainement... je ne comprend pas que les critiques soient si emballées, c’est sûrement que cela parle de leur milieu... si c’est le cas et qu’ils trouvent cela réussit, je suis triste pour eux. leur vie doit être bien superficielle et vaine...
On pourrait penser au début du film, que ce bavardage insupportable est du second degré se moquant de ce milieu soi disant intello entre soi egocentré. Et bien non, ça continue et ça continue, O Assayas que l'on a connu (heureusement) plus inspiré, nous inflige ces considérations rassises sur l'édition, l'évolution numérique. C'est absolument sans intérêt, les comédiens s'ennuient ferme, nous aussi. C'est parce que c'est Assayas que je ne suis pas parti avant la fin. Bref pas grand chose pour sauver ce film, peut être l'entrevue entre Juliette Binoche et son "amant" au café. Bof bof bof Sauf bien ûr si vous êtes un inconditionnel des Inrocks
Sujet d'actualité : les partisans de l'édition numérique ou du livre papier.Réflexion à travers le chassé croisé de deux couples. Ambiance froide et intello. Le casting sauve le film. Réflexion quel sera l'avenir de l'édition ?
S’il est une sensation étrange, c’est celle de se retrouver seul dans une salle de cinéma. je pense que c’est la première fois que cela m’arrive. Mais bon… admettons que les éléments se soit coordonnés pour que personne ne vienne voir ce jour-là ce film classifié « art et essai » mais doté d’une belle brochette d’acteur par ailleurs connus pour leur talent. Pour la suite, que dire ? Rien. Je ne peux absolument rien dire sur ce film dont j’ai cru qu’il était la mise en scène de longs échanges trouvés copié collé du net sur le sujet de l’édition. Aucune intrigue, aucune action aucun dialogue relevé aucune psychologie marquante et quand parfois on sent un frémissement de démarrage, il est aussitôt soufflé par le plan suivant qui semble n’avoir aucun rapport. Il en résulte un film décousu pour lequel on passe son temps à se demander quel est le message et quand il va enfin entamer son propos En fait, mon impression est que Tout se passe comme si le réalisateur avait pu se payer des acteurs qu’il aime mais qu’il ne savait pas quoi en faire. Tout ceci explique t il le seul ticket d’entrée vendu pour cette séance ? Du coup, je ne comprends pas les trois nominations à divers festivals prestigieux. c'est moi qui n'ai pas compris le film, c'est la seule explication possible.
Rarement vu un film aussi nul aucun mouvement aucun intérêt pas de jeu d'acteurs et pas d'histoire et bien sû tous les clichés des biens pensants bobos
Dialogues plats, longs, démonstratifs et le tout avec un ton de sérieux qui donne envie de se tirer une balle ! Aucun humour, aucun esprit. On s’ennuie en écoutant ces poncifs de gens qui se croient très intelligents. Heureusement que Binoche et Macaigne apportent un peu d’espoir.
0.5 mais c est zéro que ça mérite ... Furieux d'avoir suivi la pléthore de 4 étoiles des critiques presse ... Du blabla insipide, des gros plans ... des gros plans de Canet, de Binoche … Et encore des gros plans et du blabla … Dès le début, j ai senti venir, en 10 min le film était plié, c'est du rien … Je suis sorti furieux d avoir payer une place de Cinéma pour ça … faites confiance au critique spectateur, n'y allez pas …
Le nouveau Assayas remue l'air du temps et les questions de la fin du livre et du numérique et parle de la fin d'un monde cher à l'auteur-réalisateur.Ce n'est certes pas un chef d'oeuvre ni une Comédie humoristique ni un drame trés fouillé mais un film secondaire assez léger qui se laisse voir...On y retrouve avec plaisir Guillaume Canet et Juliette Binoche dans des rôles attachants ainsi que Nora Hamzaoui qui fait une entrée remarquée au cinéma.
Olivier Assayas aime les idées, les théories, le fait de faire vivre la pensée, ce qui émane de Doubles vies, ces longues logorrhées entre adultes, ces discussions entre penseurs autour d’un bon verre de vin. Mais derrière ces dialogues parfois ciselés sur l’avènement du numérique et notre manière de consommer et d’apprécier l’art en général, Doubles Vies manque irrémédiablement de verve ou d’impulsion dramatique voire même pratique pour charmer au maximum.