Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Télérama
par Frédéric Strauss
En s’accrochant au moindre souffle de Mme Fang, en captant sa présence au moment où la vie est en train de la quitter, Wang Bing nous permet de la rencontrer. Et cette rencontre est inoubliable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
par La rédaction
Un beau portrait social.
Critikat.com
par Axel Scoffier
Malgré son sujet extrêmement lourd, "Madame Fang" parvient à dépasser la morbidité de la situation pour révéler d’autres facettes de ces derniers instants.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Il y a là, de la part du cinéaste, une humanité poignante, quelque chose de puissant qui transcende les images. Ce n'est pas un film, c'est un poème philosophique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par G.R.
Wang Bing fait une nouvelle fois preuve de son don pour restituer l’ineffable. Avec ce film tendre, délicat, remarquable en tous points, il reste au sommet.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Tout est très subtil et calculé dans cette fausse absence de mise en scène, alors qu’il n’y a que ça, dans ce film qui ne montre objectivement pas grand-chose, que des petits riens, des voix dans la nuit, des yeux qui ne brillent plus, les étincelles de la pêche des carpes, la fumée des cigarettes, les repas, le temps qui passe, et la mort hors champ, très discrète de madame Fang, qui fut et qui n’est plus.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
Le grand cinéaste chinois Wang Bing a suivi la lente agonie, chez elle et entourée de ses proches, d’une sexagénaire atteinte d’Alzheimer. Un documentaire déchirant qui entend s’approcher au plus près de l’instant fatidique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Antony Fiant
Au risque évident du voyeurisme, c'est bien en filmant son visage que Wang Bing capte la persistance de la vie dans un corps qui a perdu la plupart de ses fonctions. Et devant l'imminence du moment fatidique, il prend le recul nécessaire et concentre son attention sur les réactions des membres de la famille.
La Croix
par Céline Rouden
Le documentariste chinois Wang Bing, connu pour porter un regard sans concession sur les travers de la société chinoise, signe un film intimiste et cru sur l’agonie d’une vieille femme. Dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Mathieu Macheret
On peut être évidemment gêné par l’insistance du cinéaste à filmer in extenso une pauvre créature humaine qui ne peut s’y opposer et ne l’a pas choisi ainsi (...). Se joue pourtant quelque chose de vertigineux dans le regard de Madame Fang, se refermant peu à peu sur une certaine mémoire tacite de la condition paysanne sous le communisme.
Cahiers du Cinéma
par Camille Bui
Le malaise que l’on ressent à regarder un corps-personnage vidé de sa conscience réfléchit peut-être la mort avec force, mais notre malaise vient aussi du fait que cette femme est encore vivante, et que le film se fait à l’insu de la mourante.
Première
par Christophe Narbonne
On est partagé devant le voyeurisme du “spectacle” de cette souffrance (...) et le potentiel de fiction des personnages qui se succèdent au chevet de la malade (…). Une curiosité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
En s’accrochant au moindre souffle de Mme Fang, en captant sa présence au moment où la vie est en train de la quitter, Wang Bing nous permet de la rencontrer. Et cette rencontre est inoubliable.
CNews
Un beau portrait social.
Critikat.com
Malgré son sujet extrêmement lourd, "Madame Fang" parvient à dépasser la morbidité de la situation pour révéler d’autres facettes de ces derniers instants.
L'Obs
Il y a là, de la part du cinéaste, une humanité poignante, quelque chose de puissant qui transcende les images. Ce n'est pas un film, c'est un poème philosophique.
Les Fiches du Cinéma
Wang Bing fait une nouvelle fois preuve de son don pour restituer l’ineffable. Avec ce film tendre, délicat, remarquable en tous points, il reste au sommet.
Les Inrockuptibles
Tout est très subtil et calculé dans cette fausse absence de mise en scène, alors qu’il n’y a que ça, dans ce film qui ne montre objectivement pas grand-chose, que des petits riens, des voix dans la nuit, des yeux qui ne brillent plus, les étincelles de la pêche des carpes, la fumée des cigarettes, les repas, le temps qui passe, et la mort hors champ, très discrète de madame Fang, qui fut et qui n’est plus.
Libération
Le grand cinéaste chinois Wang Bing a suivi la lente agonie, chez elle et entourée de ses proches, d’une sexagénaire atteinte d’Alzheimer. Un documentaire déchirant qui entend s’approcher au plus près de l’instant fatidique.
Positif
Au risque évident du voyeurisme, c'est bien en filmant son visage que Wang Bing capte la persistance de la vie dans un corps qui a perdu la plupart de ses fonctions. Et devant l'imminence du moment fatidique, il prend le recul nécessaire et concentre son attention sur les réactions des membres de la famille.
La Croix
Le documentariste chinois Wang Bing, connu pour porter un regard sans concession sur les travers de la société chinoise, signe un film intimiste et cru sur l’agonie d’une vieille femme. Dérangeant.
Le Monde
On peut être évidemment gêné par l’insistance du cinéaste à filmer in extenso une pauvre créature humaine qui ne peut s’y opposer et ne l’a pas choisi ainsi (...). Se joue pourtant quelque chose de vertigineux dans le regard de Madame Fang, se refermant peu à peu sur une certaine mémoire tacite de la condition paysanne sous le communisme.
Cahiers du Cinéma
Le malaise que l’on ressent à regarder un corps-personnage vidé de sa conscience réfléchit peut-être la mort avec force, mais notre malaise vient aussi du fait que cette femme est encore vivante, et que le film se fait à l’insu de la mourante.
Première
On est partagé devant le voyeurisme du “spectacle” de cette souffrance (...) et le potentiel de fiction des personnages qui se succèdent au chevet de la malade (…). Une curiosité.