Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Camille Bui
Passant organiquement d’une perspective à l’autre, la mise en scène évite de solidifier le dialogue père-fils en une opposition sociologique.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Un film drôle et cruel.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Humanité
par Dominique Widemann
La cinéaste nous parle de la Palestine en brassant des atmosphères, fore en profondeur avec le talent de la simplicité. La variété des visites rendues évite l’écueil de l’échantillonnage. À chaque seuil, l’histoire ne cesse de faire son entrée. Elle révèle femmes et hommes de chair et de destinées singulières au prisme d’une identité, morcelée d’être déniée.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par La Rédaction
Ce road-movie urbain de la cinéaste palestinienne Annemarie Jacir suit avec justesse les états d’âme et la complicité de ses deux héros.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Une flânerie portée par la tendresse de son récit et l’interprétation de ses deux comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Le cinéma permet parfois de comprendre des enjeux humains bien au-delà des considérations géopolitiques. «Wajib» est un de ses films, précieux et rares, qui nous éclaire sur le quotidien des habitants d'une ville et d'une région sans nous obliger à prendre partie sur des questions qui de toute façon nous dépassent.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Vincent Thabourey
(...) Annemarie Jacir confirme ainsi son talent pour créer des oeuvres engagées dépourvues de dogmatisme.
Télérama
par Pierre Murat
D’autres souvenirs, encore plus amers et douloureux, surgissent. C’est dire que la cigarette partagée par les deux hommes, tandis que le soir tombe sur Nazareth, ne résout rien. La réalisatrice semble offrir cet instant suspendu à ses héros (interprétés par deux comédiens formidables, père et fils dans la vie) comme une récréation. Une trêve inattendue. Un petit moment de paix illusoire, insensé et d’autant plus précieux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un road-movie grinçant et émouvant, interprété par deux acteurs père et fils dans la vie, au scénario un rien systématique, mais ponctué de belles digressions.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Si le film connaît quelques longueurs, il raconte la vie en Palestine et ses difficiles conditions de vie avec tendresse et un brin d’humour. Il touche surtout par son portrait délicat du lien entre le père et son fils, formidablement incarnés par Mohammad et Saleh Bakri, père et fils dans la vie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Interprétée par Mohammad et Saleh Bakri, réellement père et fils, cette tragi-comédie bouleverse par son humanité et sa simplicité.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Les gens et la ville forment tout au plus un décor à cette joute filiale, pas assez creusés pour entrer de plain-pied dans la dramaturgie, mais suffisamment esquissés pour qu’on y devine l’arrière-plan du duel affectueux qui tient la vedette.
Libération
par Marcos Uzal
Au-delà de cette confrontation parfois un peu trop démonstrative, la part la plus forte du film est son hors-champ, sa manière de suggérer par petites touches des tensions plus profondes et vastes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Damien Leblanc
Père et fils associés pour la première fois à l’écran, Mohamad Bakri (qui a démarré il y a 35 ans dans Hanna K. de Costa-Gavras) et Saleh Bakri (déjà brillant chez Elia Suleiman ou Radu Mihaileanu) donnent ainsi tout son mordant à cette délicate chronique du déchirement des âmes palestiniennes d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Si le cinéma est l’art de l’altérité, la talentueuse Annemarie Jacir devrait fournir un petit effort pour devenir pleinement cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
Passant organiquement d’une perspective à l’autre, la mise en scène évite de solidifier le dialogue père-fils en une opposition sociologique.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un film drôle et cruel.
L'Humanité
La cinéaste nous parle de la Palestine en brassant des atmosphères, fore en profondeur avec le talent de la simplicité. La variété des visites rendues évite l’écueil de l’échantillonnage. À chaque seuil, l’histoire ne cesse de faire son entrée. Elle révèle femmes et hommes de chair et de destinées singulières au prisme d’une identité, morcelée d’être déniée.
Le Parisien
Ce road-movie urbain de la cinéaste palestinienne Annemarie Jacir suit avec justesse les états d’âme et la complicité de ses deux héros.
Les Fiches du Cinéma
Une flânerie portée par la tendresse de son récit et l’interprétation de ses deux comédiens.
Paris Match
Le cinéma permet parfois de comprendre des enjeux humains bien au-delà des considérations géopolitiques. «Wajib» est un de ses films, précieux et rares, qui nous éclaire sur le quotidien des habitants d'une ville et d'une région sans nous obliger à prendre partie sur des questions qui de toute façon nous dépassent.
Positif
(...) Annemarie Jacir confirme ainsi son talent pour créer des oeuvres engagées dépourvues de dogmatisme.
Télérama
D’autres souvenirs, encore plus amers et douloureux, surgissent. C’est dire que la cigarette partagée par les deux hommes, tandis que le soir tombe sur Nazareth, ne résout rien. La réalisatrice semble offrir cet instant suspendu à ses héros (interprétés par deux comédiens formidables, père et fils dans la vie) comme une récréation. Une trêve inattendue. Un petit moment de paix illusoire, insensé et d’autant plus précieux.
L'Obs
Un road-movie grinçant et émouvant, interprété par deux acteurs père et fils dans la vie, au scénario un rien systématique, mais ponctué de belles digressions.
La Croix
Si le film connaît quelques longueurs, il raconte la vie en Palestine et ses difficiles conditions de vie avec tendresse et un brin d’humour. Il touche surtout par son portrait délicat du lien entre le père et son fils, formidablement incarnés par Mohammad et Saleh Bakri, père et fils dans la vie.
Le Journal du Dimanche
Interprétée par Mohammad et Saleh Bakri, réellement père et fils, cette tragi-comédie bouleverse par son humanité et sa simplicité.
Le Monde
Les gens et la ville forment tout au plus un décor à cette joute filiale, pas assez creusés pour entrer de plain-pied dans la dramaturgie, mais suffisamment esquissés pour qu’on y devine l’arrière-plan du duel affectueux qui tient la vedette.
Libération
Au-delà de cette confrontation parfois un peu trop démonstrative, la part la plus forte du film est son hors-champ, sa manière de suggérer par petites touches des tensions plus profondes et vastes.
Première
Père et fils associés pour la première fois à l’écran, Mohamad Bakri (qui a démarré il y a 35 ans dans Hanna K. de Costa-Gavras) et Saleh Bakri (déjà brillant chez Elia Suleiman ou Radu Mihaileanu) donnent ainsi tout son mordant à cette délicate chronique du déchirement des âmes palestiniennes d’aujourd’hui.
Les Inrockuptibles
Si le cinéma est l’art de l’altérité, la talentueuse Annemarie Jacir devrait fournir un petit effort pour devenir pleinement cinéaste.