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Note moyenne
4,3
29 titres de presse
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BIBA
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Bande à part
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CNews
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Dernières Nouvelles d'Alsace
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Femme Actuelle
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Le Journal du Dimanche
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Le Parisien
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Le Point
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Marianne
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Marie Claire
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Positif
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Télé Loisirs
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Voici
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aVoir-aLire.com
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Franceinfo Culture
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L'Express
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L'Obs
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La Croix
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La Voix du Nord
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Le Figaro
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Les Fiches du Cinéma
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Ouest France
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Première
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Public
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Sud Ouest
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Télérama
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Les Inrockuptibles
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Libération
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Le Monde
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
BIBA
Une bombe d'émotion [...].
Bande à part
Un film instructif, nécessaire et bouleversant de justesse.
CNews
[...] ce film sensible, émouvant et pétri d’humanité, aussi nécessaire que "La tête haute" d’Emmanuel Bercot.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Jeanne Herry ne fait pas de la psychanalyse de bazar au cinéma. Elle ne récite pas son catéchisme de la pensée de Dolto, benoîtement. Elle fait du cinéma précis, documenté, pour raconter avec une sensibilité fine la belle histoire rayonnante d’une adoption, avec son happy end.
Femme Actuelle
Bouleversant.
Le Journal du Dimanche
Si tout sonne si formidablement juste, des mots aux situations, c'est parce que cette chronique est tout simplement à l'image de la vie.
Le Parisien
Un film bouleversant d’humanité.
Le Point
Un hymne au collectif.
Marianne
Le meilleur film français de la fin de l'année.
Marie Claire
La grande force de "Pupille" est de montrer l'adoption non comme un chemin de croix mais comme une délivrance.
Positif
Très vite, on oublie le côté documenté pour s'attacher au parcours émotionnel des personnages. La libre construction temporelle du scénario qui multiplie les allers-retours temporels sur ces destins croisés intensifie l'émotion.
Télé Loisirs
La précision d'un documentaire et la puissance évocatrice de la fiction au service d'une histoire forte et universelle.
Voici
Le film le plus bouleversant de cette fin d'année.
aVoir-aLire.com
Le tendre et pudique entrelacement de deux destins (celui d’un bébé né sous X et celui d’une femme en manque d’enfant) en quête d’amour.
Franceinfo Culture
Tous ces personnages sont en première ligne de cette aventure humaine soumise aux rouages de l'administration. Beau et passionnant.
L'Express
Raconté avec suffisamment d'intelligence pour que ce qui pourrait apparaître comme une mécanique narrative par trop contraignante vire finalement à un film très émouvant.
L'Obs
Jeanne Herry, la fille de Julien Clerc et Miou-Miou (qui joue la coordinatrice des services sociaux), a eu raison de s'intéresser aux bébés nés sous X : "Pupille" fait du bien.
La Croix
Après le succès de Elle l’adore, Jeanne Herry signe l’un des plus beaux films de l’année avec le parcours d’un bébé né sous X jusqu’à son adoption.
La Voix du Nord
Délicat, pudique, « Pupille » évite l’écueil du film-dossier comme celui de la sensiblerie.
Le Figaro
Pupille est un film documenté, réaliste, qui décrit avec précision le processus d'adoption d'un enfant, chemin de croix long et périlleux.
Les Fiches du Cinéma
Cette plongée au cœur des services sociaux est résolument lumineuse et très émouvante.
Ouest France
Un des films les plus touchants de l'année.
Première
Pupille retrace la procédure de l’adoption avec une précision chirurgicale et une intensité émotionnelle inouïe.
Public
Le film aborde la maternité sous toutes ses formes et dresse des portraits de femmes attachantes et complexes, sans mélo ni moralisme.
Sud Ouest
Un film bouleversant.
Télérama
Une fiction sensible et documentée.
Les Inrockuptibles
"Pupille" n’est pas un documentaire, mais bien une fable avec ses miracles et ses retournements, grâce au scénario, jamais fumeux et très écrit, et plus encore à ses comédiens, tous très inspirés.
Libération
Si la mise en scène de la cinéaste se fait délicate, au plus près des hoquets du nouveau-né, tout est néanmoins un peu trop éthéré, images couvertes de talc et de sourires un tantinet benêts.
Le Monde
La présence de Gilles Lellouche en parent d’accueil, d’Elodie Bouchez en adoptante ou de Sandrine Kiberlain en représentante des services sociaux ne suffit pas, quels que soient l’engagement et la finesse de l’une ou l’autre, à enclencher le mécanisme de la fiction (...).