Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
Un magnifique portrait de femme entre heurts et bonheurs.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Libération
par Anne Diatkine
Chaque plan - la plupart du temps fixe - est composé comme une photo, sans pour autant s’alourdir d’un maniérisme. La première qualité de Valérie Massadian (...) est de savoir regarder, et d’extirper de la beauté partout.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Résumer ce film en disant qu'il montre la vie et rien d'autre, c'est dire que sa simplicité même témoigne d'une ambition, d'une opiniâtreté et d'une cohérence admirables. "Milla" n'est pas réaliste ou naturaliste. "Milla" est.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Encore un film silencieux, seulement rempli du craquement des arbres et de babillage – un magnifique témoignage sur l’apprentissage de la langue. Milla est un peu la face B de Nana, ou inversement.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
La construction faussement opératique du film laisse bien vite place à une fiction bouleversante, qui conjugue appel du large et confort du refuge, marginalité et universalité des sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
"Milla", c’est tout un dispositif artistique, très précis, mis au service d’une jeune femme réelle que personne ne connaît, qui n’est “rien” selon les valeurs macroniennes, et dont Valérie Massadian, qui fut d’abord photographe (surtout de femmes), livre un sublime portrait.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
C’est un art du portrait qui irrigue le film, et que la réalisatrice, proche de la photographie, semble disposer de l’intérieur de ces plages de temps et de ce récit minimal (qu’on accepte, sans y croire jamais vraiment.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Cadres fixes, sons directs et dialogues rares : le naturalisme contemplatif et elliptique de Massadian se mérite. Il intrigue, irrite, émeut, ennuie et nimbe d'un beau mystère cette héroïne ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Sandrine Marques
Dans son film, il n’y a aucun compromis avec les sentiments, et encore moins avec la mise en scène. Le rapport politique au contemporain transite par les corps et établit une ligne de partage franche entre son cinéma incarné et les pâles archétypes d’une production française en déshérence.
Première
par Eric Vernay
Rires, bouffées oniriques et décharges musicales s’invitent pour dessiner un paysage mental singulier.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Cette chronique âpre et dépouillée, à la lisière du documentaire, est toujours guidée par l’espoir, la confiance dans la résilience.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Une romance sociale, triviale sans misérabilisme et poétique sans être esthétisante.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Milla est une marginale pleine de mélancolie. Le manque d’emphase avec lequel est filmé son quotidien, que celui-ci soit idéalisé ou au contraire affligeant, a au moins le bénéfice de rendre palpable son déplaisir.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
Un magnifique portrait de femme entre heurts et bonheurs.
Libération
Chaque plan - la plupart du temps fixe - est composé comme une photo, sans pour autant s’alourdir d’un maniérisme. La première qualité de Valérie Massadian (...) est de savoir regarder, et d’extirper de la beauté partout.
Positif
Résumer ce film en disant qu'il montre la vie et rien d'autre, c'est dire que sa simplicité même témoigne d'une ambition, d'une opiniâtreté et d'une cohérence admirables. "Milla" n'est pas réaliste ou naturaliste. "Milla" est.
Le Monde
Encore un film silencieux, seulement rempli du craquement des arbres et de babillage – un magnifique témoignage sur l’apprentissage de la langue. Milla est un peu la face B de Nana, ou inversement.
Les Fiches du Cinéma
La construction faussement opératique du film laisse bien vite place à une fiction bouleversante, qui conjugue appel du large et confort du refuge, marginalité et universalité des sentiments.
Les Inrockuptibles
"Milla", c’est tout un dispositif artistique, très précis, mis au service d’une jeune femme réelle que personne ne connaît, qui n’est “rien” selon les valeurs macroniennes, et dont Valérie Massadian, qui fut d’abord photographe (surtout de femmes), livre un sublime portrait.
Cahiers du Cinéma
C’est un art du portrait qui irrigue le film, et que la réalisatrice, proche de la photographie, semble disposer de l’intérieur de ces plages de temps et de ce récit minimal (qu’on accepte, sans y croire jamais vraiment.
L'Obs
Cadres fixes, sons directs et dialogues rares : le naturalisme contemplatif et elliptique de Massadian se mérite. Il intrigue, irrite, émeut, ennuie et nimbe d'un beau mystère cette héroïne ordinaire.
La Septième Obsession
Dans son film, il n’y a aucun compromis avec les sentiments, et encore moins avec la mise en scène. Le rapport politique au contemporain transite par les corps et établit une ligne de partage franche entre son cinéma incarné et les pâles archétypes d’une production française en déshérence.
Première
Rires, bouffées oniriques et décharges musicales s’invitent pour dessiner un paysage mental singulier.
Télérama
Cette chronique âpre et dépouillée, à la lisière du documentaire, est toujours guidée par l’espoir, la confiance dans la résilience.
Voici
Une romance sociale, triviale sans misérabilisme et poétique sans être esthétisante.
aVoir-aLire.com
Milla est une marginale pleine de mélancolie. Le manque d’emphase avec lequel est filmé son quotidien, que celui-ci soit idéalisé ou au contraire affligeant, a au moins le bénéfice de rendre palpable son déplaisir.