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32 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Dépouillé, épuré, le style graphique déterminé par Eléa Gobbé-Mévellec – elle avait été dessinatrice d’animation sur Ernest et Célestine – démontre son potentiel de puissance et d’expression.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Ouest France
par Thierry Chèze
Un puissant brûlot contre l'obscurantisme.
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce film d'animation, récompensé au Festival d'Angoulême, a été coréalisé par deux femmes. Leur sensiblité affleure tout au long de cette œuvre puissante.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
BIBA
par Lili Yubari
Un beau film d'animation dessiné à l'aquarelle, adapté du roman de Yasmina Khadra, sur l'amour au temps de l'intégrisme.
Bande à part
par Olivier Bombarda
Zabou Breitman et Eléa Gobbé-Mévellec créent un acte de résistance mémorable face à l’obscurantisme. Et un grand film de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
[Une] histoire retravaillée au crayon et d’une grande beauté [...].
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Si "Les Hirondelles de Kaboul" n'est pas parfait, il recèle suffisamment de grandes qualités pour emporter totalement l'adhésion du spectateur. Récit terriblement émouvant d'une révolte à priori impossible, il nous ramène face à nos engagements et à nos doutes. Face à notre désir de révolte aussi et nous invite à choisir la seule voie possible, celle du coeur. Avec toutes les conséquences que cela implique...
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Héléna Villovitch
Un dessin aux traits sensibles et aux superbes couleurs rend tout possible.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Magnifique sur le fond et la forme.
Franceinfo Culture
par Lorenzo Ciavarini Azzi
Scénario, montage, bande son, la réalisatrice a tout mis en œuvre pour mettre en exergue le contraste entre la beauté des dessins et la brutalité des sons.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
Comme il s'agit d'un film d'animation, on repense, sur le même thème, à "Parvana", chef-d'oeuvre de Nora Twomey sorti il y a un an. "Les Hirondelles de Kaboul", moins étonnantes mais joliment maîtrisées, s'adressent à un public plus adulte avec une idée brillante : dessiner les personnages d'après les comédiens qui leur prêtent leur voix.
L'Humanité
par Alice Martinot-Lagarde
Très réalistes sans être naturalistes, les dessins réussissent à faire passer la dureté des propos avec beaucoup de douceur et mettent parfaitement en images le roman de Yasmina Khadra.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Surprenant le spectateur, les deux réalisatrices livrent une œuvre forte sur le comportement des hommes plus que sur celui des femmes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Malgré quelques faiblesses scénaristiques, le film est fort.
Le Figaro
par Nathalie Simon
L’imprécision des traits, la simplicité du graphisme, les lumières prégnantes et la transparence des couleurs n’atténuent en rien la violence des situations qui voient mourir la moindre tentative de liberté.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un récit poignant qui interroge le spectateur sur son libre-arbitre et son humanité.
Le Parisien
par La Rédaction
Film d'animation étonnant, qui bénéficie d'une méthode de fabrication inédite -les comédiens ont été filmés puis redessinés et animés-, « les Hirondelles de Kaboul » doit sa réussite à son scénario adapté du roman de Yasmina Khadra, à sa mise en scène et au jeu de ses comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Adapté du roman de Yasmina Khadra, le film parvient à montrer l’insoutenable avec justesse et délicatesse, dans un hommage au courage des femmes opprimées qui se tient à distance de tout manichéisme et de tout jugement. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier de Bruyn
Ce plaidoyer à la fois puissant et délicat contre l’oppression et l’intégrisme prouve que le cinéma d’animation peut servir toutes les causes. Pourvu que les réalisateurs soient exigeants et talentueux.
Marie Claire
par Emily Barnett
[...] cette oeuvre sensible et originale reproduit avec puissance un climat de cauchemar sans jamais l'édulcorer.
Première
par Christophe Narbonne
Audacieux, ingénieux, bouleversant, Les Hirondelles de Kaboul prouve que le cinéma d’animation pour adultes, trop confidentiel en France (alors qu’il s’épanouit au Japon depuis bien longtemps), a pleinement sa place dans les salles.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Beau et fort.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé Loisirs
par Emilie Meunier
Un cri contre l'obscurantisme et l'oppression, avec l'espoir pour écho, à travers des aquarelles lumineuses.
Télérama
par Guillemette Odicino
Dans la capitale afghane aux mains des talibans, les destins de deux couples s’entrechoquent. La douceur du dessin sublime cet hymne à la résistance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Une poignante histoire d'amour et d'espoir sous le régime de la terreur.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le trait de la dessinatrice Eléa Gobbé-Mévellec refuse le naturalisme et propose un dessin évocateur, fantomatique et mélancolique qui, sans dénaturer le contexte historique, touche à l’universel du récit.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
On est proche du mélo, mais le parti pris des autrices d'éviter le pamphlet politique nous entraîne vers le plaidoyer humaniste.
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Montant d'un cran en réalisme, sans perdre sur le plan de la fable morale, le film parvient alors à réconcilier deux élans - le principe de réalité et l'espoir - pour arriver à une oeuvre hybride, fiévreuse et originale.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Une chronique à la fois tendre et terrible, jamais moralisatrice [...].
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Si la mise en place s'étire un peu, ces hirondelles prennent leur envol émotionnel dans une seconde partie oppressante.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un film d’animation qui témoigne, avec pudeur et grâce, des ravages de l’intégrisme sur la société afghane à la fin des années 90.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Murielle Joudet
A part quelques trouvailles visuelles restreintes à une poignée de plans, Les Hirondelles de Kaboul ne brille ni par son inventivité graphique ni par son scénario, ode à la liberté un peu niaise qui prêche à un public de convaincus.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dépouillé, épuré, le style graphique déterminé par Eléa Gobbé-Mévellec – elle avait été dessinatrice d’animation sur Ernest et Célestine – démontre son potentiel de puissance et d’expression.
Ouest France
Un puissant brûlot contre l'obscurantisme.
20 Minutes
Ce film d'animation, récompensé au Festival d'Angoulême, a été coréalisé par deux femmes. Leur sensiblité affleure tout au long de cette œuvre puissante.
BIBA
Un beau film d'animation dessiné à l'aquarelle, adapté du roman de Yasmina Khadra, sur l'amour au temps de l'intégrisme.
Bande à part
Zabou Breitman et Eléa Gobbé-Mévellec créent un acte de résistance mémorable face à l’obscurantisme. Et un grand film de cinéma.
CNews
[Une] histoire retravaillée au crayon et d’une grande beauté [...].
Ecran Large
Si "Les Hirondelles de Kaboul" n'est pas parfait, il recèle suffisamment de grandes qualités pour emporter totalement l'adhésion du spectateur. Récit terriblement émouvant d'une révolte à priori impossible, il nous ramène face à nos engagements et à nos doutes. Face à notre désir de révolte aussi et nous invite à choisir la seule voie possible, celle du coeur. Avec toutes les conséquences que cela implique...
Elle
Un dessin aux traits sensibles et aux superbes couleurs rend tout possible.
Femme Actuelle
Magnifique sur le fond et la forme.
Franceinfo Culture
Scénario, montage, bande son, la réalisatrice a tout mis en œuvre pour mettre en exergue le contraste entre la beauté des dessins et la brutalité des sons.
L'Express
Comme il s'agit d'un film d'animation, on repense, sur le même thème, à "Parvana", chef-d'oeuvre de Nora Twomey sorti il y a un an. "Les Hirondelles de Kaboul", moins étonnantes mais joliment maîtrisées, s'adressent à un public plus adulte avec une idée brillante : dessiner les personnages d'après les comédiens qui leur prêtent leur voix.
L'Humanité
Très réalistes sans être naturalistes, les dessins réussissent à faire passer la dureté des propos avec beaucoup de douceur et mettent parfaitement en images le roman de Yasmina Khadra.
La Croix
Surprenant le spectateur, les deux réalisatrices livrent une œuvre forte sur le comportement des hommes plus que sur celui des femmes.
Le Dauphiné Libéré
Malgré quelques faiblesses scénaristiques, le film est fort.
Le Figaro
L’imprécision des traits, la simplicité du graphisme, les lumières prégnantes et la transparence des couleurs n’atténuent en rien la violence des situations qui voient mourir la moindre tentative de liberté.
Le Journal du Dimanche
Un récit poignant qui interroge le spectateur sur son libre-arbitre et son humanité.
Le Parisien
Film d'animation étonnant, qui bénéficie d'une méthode de fabrication inédite -les comédiens ont été filmés puis redessinés et animés-, « les Hirondelles de Kaboul » doit sa réussite à son scénario adapté du roman de Yasmina Khadra, à sa mise en scène et au jeu de ses comédiens.
Les Fiches du Cinéma
Adapté du roman de Yasmina Khadra, le film parvient à montrer l’insoutenable avec justesse et délicatesse, dans un hommage au courage des femmes opprimées qui se tient à distance de tout manichéisme et de tout jugement. Une réussite.
Marianne
Ce plaidoyer à la fois puissant et délicat contre l’oppression et l’intégrisme prouve que le cinéma d’animation peut servir toutes les causes. Pourvu que les réalisateurs soient exigeants et talentueux.
Marie Claire
[...] cette oeuvre sensible et originale reproduit avec puissance un climat de cauchemar sans jamais l'édulcorer.
Première
Audacieux, ingénieux, bouleversant, Les Hirondelles de Kaboul prouve que le cinéma d’animation pour adultes, trop confidentiel en France (alors qu’il s’épanouit au Japon depuis bien longtemps), a pleinement sa place dans les salles.
Sud Ouest
Beau et fort.
Télé Loisirs
Un cri contre l'obscurantisme et l'oppression, avec l'espoir pour écho, à travers des aquarelles lumineuses.
Télérama
Dans la capitale afghane aux mains des talibans, les destins de deux couples s’entrechoquent. La douceur du dessin sublime cet hymne à la résistance.
Voici
Une poignante histoire d'amour et d'espoir sous le régime de la terreur.
L'Obs
Le trait de la dessinatrice Eléa Gobbé-Mévellec refuse le naturalisme et propose un dessin évocateur, fantomatique et mélancolique qui, sans dénaturer le contexte historique, touche à l’universel du récit.
Le Point
On est proche du mélo, mais le parti pris des autrices d'éviter le pamphlet politique nous entraîne vers le plaidoyer humaniste.
Les Inrockuptibles
Montant d'un cran en réalisme, sans perdre sur le plan de la fable morale, le film parvient alors à réconcilier deux élans - le principe de réalité et l'espoir - pour arriver à une oeuvre hybride, fiévreuse et originale.
Paris Match
Une chronique à la fois tendre et terrible, jamais moralisatrice [...].
Télé 7 Jours
Si la mise en place s'étire un peu, ces hirondelles prennent leur envol émotionnel dans une seconde partie oppressante.
aVoir-aLire.com
Un film d’animation qui témoigne, avec pudeur et grâce, des ravages de l’intégrisme sur la société afghane à la fin des années 90.
Le Monde
A part quelques trouvailles visuelles restreintes à une poignée de plans, Les Hirondelles de Kaboul ne brille ni par son inventivité graphique ni par son scénario, ode à la liberté un peu niaise qui prêche à un public de convaincus.