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    Les Estivants
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    titicaca120
    titicaca120

    391 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 février 2019
    j'adore Valéria, son jeu sa voix ses créations mais là j'ai été assez déçu.
    hormis la maison magnifique du sud de la France et la performance scénique de
    tout les "domestiques" du film, le reste est à mon goût surfait, c'est trop forcé.
    je la préfère de loin dans folles de joie où elle est extraordinaire.
    Ernesto D.
    Ernesto D.

    13 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 février 2019
    4ème long métrage de VBT et sans doute le moins abouti , pour ne pas dire le moins bon, pour ne pas dire le plus mauvais . On est loin , très loin , de ses premiers films , y compris le très maladroit " Il est plus facile pour un chameau...." dont la fraîcheur teintée d'une forme de mélancolie existentielle avait surpris agréablement .
    Mais que dire de ce nouvel opus où l’actrice/réalisatrice continue , dans sa quête analytique et répétitive , à s'exposer sur le grand écran à défaut d'un divan .
    On se perd très vite entre réalité et fiction qu'elle n'hésite pas à mélanger , déstabilisant le spectateur obligé sans cesse à des efforts pour retrouver une trame cohérente à son récit . Pourquoi ce mélange absurde ?
    VBT fait quasiment partie de toutes les scènes comme autant de séances de psychanalyses . Le film tourne entièrement au tour d'elle et que pour elle . Un film nombriliste à souhait . Les seconds rôles jouent les faire-valoir ( grotesques malgré leur grand talent : Arditi , Moreau , Lvovsky ...) et dont on se demande ce qu'ils peuvent apporter au récit hormis l'amitié et la fidélité que la réalisatrice a pour eux . A ce stade cela dépasse l'entre-soi , on est carrément en famille , au sens propre comme au sens figuré .
    Vu dans une salle art et essai avec donc un public habitué , à priori , aux films exigeants , et pourtant bon nombre sont partis avant la fin .
    Peu ou pas d'humour ni second degrés et , "cerise sur le gâteau" , plus de 2h à tenir pour ne pas dire à endurer .
    Mais finalement ce film a au moins une vertu : tester notre degrés de résistance à ne pas changer de salle ou , mieux encore , aller faire une promenade dans le centre historique mais malheureusement il pleuvait abondement ce jour là ...
    zorro50
    zorro50

    118 abonnés 249 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 janvier 2019
    Un film grandement autobiographique de Valeria Bruni-Tedeschi dans lequel on n’a aucun mal à la reconnaitre, ainsi que sa mère, sa fille adoptive, son frère décédé prématurément du SIDA, son mode de vie, sa rupture et sa dépression, mais aussi sa célèbre sœur, Carla Bruni, qui par contre, est ici dépeinte différente de ce qu’on sait d’elle, notamment sans son mari Nicolas Sarkozy mais avec une espèce d’ex-grand industriel particulièrement odieux et cruel. Du fait de cet écart avec la réalité, le film est en porte-à-faux et on a du mal à s’investir dans son récit. L’histoire n’a pas vraiment de début ni de fin et compte beaucoup trop de personnages annexes inutiles qui plombent le rythme. Ici, les riches et les domestiques en prennent pour leur grade comme s’il s’agissait de règlements de comptes, et toutes les femmes riches ou pauvres, vieilles ou très vieilles, sont nymphomanes comme si faire l’amour pouvait les maintenir en vie. En conclusion, j’aime beaucoup Valeria Bruni-Tedeschi, l’actrice pétillante, mais beaucoup moins la réalisatrice freudienne dépressive
    Nisrine A
    Nisrine A

    31 abonnés 136 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 janvier 2019
    Aie, aie, aie ! Pour le coup, je suis très déçue de Valeria Bruni Tedeschi dont j'avais ADORE "Un château en Italie" (2013). On est toujours dans le même esprit "vaudeville familial" mais cette fois-ci c'est creux, c'est fade.
    On assiste à des scènes bien écrites et bien jouées mais sans fil conducteur, sans histoire arrière-plan qui puisse les porter réellement. Les personnages sont intéressants mais manquent de fond et d'épaisseur (le rôle de la soeur porté par Valéria GOLINO par exemple malgré le fait qu'elle joue très bien).
    Je suis sortie frustrée car je crois beaucoup en Valeria Bruni Tedeschi et en son talent indéniable d'actrice et auteure. Je vais regarder une nouvelle fois "Un château en Italie" pour me réconforter :)
    traversay1
    traversay1

    3 677 abonnés 4 890 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 janvier 2019
    Valeria Bruni-Tedeschi est une actrice souvent agaçante mais elle est bien pire quand elle se dirige elle-même. Dans Les estivants, au titre emprunté à Gorki, flotte comme un parfum tchékhovien qui pourrait être capiteux s'il était accompagné d'un scénario un peu mieux construit et moins éparpillé aux quatre vents dans un effet choral qui ne met personne en valeur et reste en surface, hormis pour Valeria qui a bien entendu le premier rôle et qui passe son temps à minauder ou à friser l'hystérie. Outre le fait de raconter sa vie dans cette autofiction affectée, elle brasse tout un tas de thèmes sans les approfondir : la fin de l'amour, le deuil, l'arrogance des nantis, l'insoutenable légèreté de la bourgeoisie, la lutte des classes, etc. Le plus souvent, c'est insupportable car le film passe allègrement d'une scène à l'autre, avec des changements de ton incessants qui montrent une absence d'enjeux et surtout un sentiment de vide abyssal dans toutes les bribes de vie montrées. Beaucoup de bons acteurs figurent dans Les estivants mais ils ont soit hérité d'un rôle grotesque (Arditi, Moreau, Stocker, Lvovsky), soit ils ne font que passer (Beauvois, Scarmacio, Perez). Seule Valeria Golino, de par son talent naturel, parvient à tirer son épingle du jeu. Et puis, le film dure 2 heures sans justification narrative. Il est vrai que cela vaut le coup d'attendre car la mise en abyme finale dans un brouillard antonionien est (presque) le seul moment digne d'éloges.
    fanfanrapetou
    fanfanrapetou

    1 abonné 22 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 janvier 2019
    Film malsain, sans âme.... mal être d’une bourgeoise larguée par son mec... bref nul et sans intérêt ... si ce n’est les images du lieu...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 janvier 2019
    J'ai passé un super moment devant Les Estivants ! J'étais un peu dubitative en y allant, mais le nouveau film de Valeria Bruni Tedeschi est son meilleur film... et de loin !! Les 22 acteurs sont top, et les situation drôlissime ! Je conseille !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 janvier 2019
    Je suis allé voir ce film sans en attendre beaucoup et quelle surprise!!! J'ai été très touchée par l'histoire et les personnages complexes. Bravo Valeria Bruni Tedeschi d'avoir illuminé ma journée avec ce superbe film !
    poet75
    poet75

    278 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 janvier 2019
    Les films réalisés jusqu’ici par Valeria Bruni Tedeschi ne m’avaient que modérément séduit, mais, cette fois-ci, plus de réserve, mon enthousiasme n’a cessé de grandir au fur et à mesure de la projection des « Estivants ». En le voyant, il me semblait presque assister à une variation sur le sujet si superbement mis en scène par Jean Renoir dans « La Règle du Jeu » en 1939. Peut-on adresser plus beau compliment à un film ?
    Comme son illustre prédécesseur, en effet, Valeria Bruni Tedeschi assume avec brio et sans se priver d’aucune liberté d’expression l’aspect théâtral de son film. Celui-ci est d’ailleurs inspiré d’une pièce de Gorki mais les personnages qui y apparaissent font irrésistiblement songer à Tchekhov. Ils parlent haut et fort, ils tonitruent, voire même chantent, comme s’ils pouvaient ainsi dissimuler leur mal de vivre. L’origine théâtrale du film est donc revendiquée : non seulement parce que celui-ci se subdivise en trois actes et un épilogue, mais aussi parce qu’apparaissent, au cours de plans fugitifs, des rangées de chaises comme pour un spectacle.
    Sur ces chaises, l’on voit, une fois, tout un ensemble de spectateurs, et, les autres fois, une petite fille noire, toute seule. Cette petite fille n’est pas une simple figurante. Elle est présente tout au long du film et elle est probablement la seule, de tous les personnages, qui, avec son regard d’enfant, soit capable de s’intéresser vraiment aux autres. Valeria Bruni Tedeschi se montre, elle, semblable à ce qu’elle est réellement dans la vie, c’est-à-dire en plein processus de création d’un film, le film que nous voyons se dérouler sous nos yeux.
    Pour ce faire, elle quitte Paris pour se rendre dans une villa cossue de la Côte d’Azur, après avoir laissé son compagnon Luca qui, manifestement, s’est entiché d’une autre femme. Quoi qu’il en soit, c’est dans cette grande propriété de bord de mer qu’elle retrouve tout un petit monde de proches (famille, amis) et d’employés (gouvernante, cuisinier, jardinier). On y retrouve toute une pléiade d’acteurs et actrices très doués comme Pierre Arditi en chef d’entreprise insupportable de suffisance, Noémie Lvovsky en coscénariste aux convictions de gauche ou Yolande Moreau en gouvernante révoltée.
    C’est un plaisir que de voir évoluer ces personnages rongés d’égoïsme dont on a le sentiment qu’ils sont comme retranchés dans une propriété qu’il faut protéger de sangliers dévastateurs (des animaux qui n’ont peut-être pour fonction que de symboliser d’autres fantasmes menaçants, beaucoup plus humains). Tous sont à la fois dérisoires et touchants. Valeria Bruni Tedeschi les met en scène et les filme avec une énergie débordante ayant pour points d’orgue les quelques scènes chantées, lorsque se font entendre, entre autres, un lied de Schubert ou des airs de « La Flûte enchantée ». Les personnages du petit théâtre de la réalisatrice ont beau avoir tous quelque chose d’exaspérant, on ne peut s’empêcher des les aimer malgré tout.
    Barbara C.
    Barbara C.

    20 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 janvier 2019
    Une petite bombe de belles images !! Valeria Bruni Tedeschi est une cinéaste de génie. Et quels acteurs !!! C'est magnifique de voir réunis à l'écran Pierre Arditi, Noémie Lvovsky, Valeria Bruni et Pierre Arditi. Un chef d'oeuvre !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 janvier 2019
    J'ai vu ce film aujourd'hui et ai été très touchée par le traitement que Valeria Bruni Tedeschi fait de la famille, le tout dans un cadre grandiose. J'ai adoré et je conseille vivement ce film à tous mes proches !!
    Jérome D.
    Jérome D.

    6 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 janvier 2019
    Beau film. Acteurs géniaux. En bref, le meilleur film réalisé par Valeria Bruni-Tedeschi, que j'ai adoré voir et que j'aimerais revoir.
    Alizée R.
    Alizée R.

    9 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 janvier 2019
    Quel beau film... Drôle et très émouvant ! Un vrai rayon de soleil, antidote à ces tristes journées d'hiver.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 janvier 2019
    J'aime beaucoup VBT, depuis longtemps, malgré tout... Mais là, c'est pas possible. Vu en avant première, je serais sortie avant la fin si j'étais pas coincée au milieu de la salle. C'est une caricature grotesque et facile de ses films précédents, les mêmes sujets, les mêmes personnages et ça dévient trop répétitif, on dirait presque qu'elle a voulu se faire plaisir avec sa bande de potes théâtreux et du cinoche... On espère au moins qu'ils se soient bien amusés... pas nous !
    velocio
    velocio

    1 326 abonnés 3 169 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 janvier 2019
    Forcément, Valeria Bruni Tedeschi doit avoir ses adeptes, que ce soit en tant qu’actrice que de réalisatrice, sinon, sa carrière se serait arrêtée depuis longtemps. Certes, un petit tour vers les sites qui donnent des notes montre qu’elle est beaucoup plus appréciée par la presse, chez qui, manifestement, « elle a la carte », que chez les cochons de payants que sont les spectateurs, mais n’empêche, "Les estivants" est bel et bien son 4ème long métrage de fiction destiné aux salles de cinéma. Un film présenté hors compétition à la dernière Mostra de Venise.
    Et voilà Valeria Bruni Tedeschi qui repart sur une fiction qui consiste à nous raconter sa propre histoire et celle de sa famille. Après tout, pourquoi pas, certaines, certains le font avec talent ! Mais quand, comme c’est le cas dans "Les estivants", tout est d’une lourdeur infinie, sans aucun recul, le nez dans le guidon, quand les personnages sont tous caricaturaux et la plupart des scènes complètement improbables, sans qu’on arrive à savoir si c’est, ou non, volontaire, quand l’ensemble du film se révèle totalement affligeant, on a envie de crier : stop, Valeria, arrêtez de faire du cinéma, ou proposez nous autre chose. Après tout, les idées de départ du film qu’en cherchant bien on arrive malgré tout à deviner, étaient loin d’être inintéressantes : comment arriver à créer lorsqu’on est en plein drame personnel ? Où en sommes nous des rapports de classe lorsque des bourgeois parisiens folâtrent au milieu d’employés locaux ? Franchement, il y avait de quoi faire un beau film ! A condition, toutefois, de se montrer moins narcissique, moins prétentieuse.
    On peut affirmer, sans grande crainte d’être contredit, que "Il est plus facile pour un chameau …", "Actrices" et "Un château en Italie", les trois précédents longs métrages de Valeria Bruni Tedeschi, n’entraient pas dans le cercle des chefs d’œuvre du cinéma, mais, tout étant relatif, ils étaient quand même largement supérieurs à "Les estivants". Dans ce film, tous les défauts de la réalisatrice sont présents à 200 % : lourdeur, prétention, narcissisme. Et, en plus, son jeu d’actrice, de plus en plus stéréotypé, de plus en plus insupportable. Pour terminer, Valeria Bruni Tedeschi aura droit à un message d’espoir : lorsqu’on touche le fond, on ne peut que rebondir !
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