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    I Feel Good
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    Céline B
    Céline B

    3 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 octobre 2018
    Très franchement j'ai été déçu par ce film qui n'apporte rien du tout et qui ne porte pas bien son titre car moi perso en sortant de la salle et je n'étais pas du tout good..
    Quand j'ai regardé la bande-annonce je me suis dit que j'allais passer un bon moment et qu'on allait bien rigolé et bien en fait pas du tout rien de drôle certaines scènes sont lourdes et l'histoire est incohérente on comprend pas trop le sens du scénario bref..moi j'aime les films avec des messages de vie de l'humour de l'amour de l'émotion mais dans celui-là rien de tout ça ! Ça faisait longtemps que je ne m'étais pas autant ennuyé dans une salle de ciné 😞
    Michele B.
    Michele B.

    3 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 octobre 2018
    Ce film m'a mise mal à l'aise , c'est peut - être ce que souhaite les réalisateurs mais en ce qui me concerne je n'ai pas ressenti d'émotions , d'empathie plutôt beaucoup de tristesse sauf durant la dernière scène . Le jeu d'acteur de Dujardin et de Yolande Moreau ne m' a pas convaincu . Je me suis ennuyée.....
    blacktide
    blacktide

    60 abonnés 795 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 octobre 2018
    I Deal Mood...

    Quelques instants avant le commencement d’une séance, Dujardin m'interpelle. Son Image me fixe, son œuvre se dessine. Peignoir saillant, marche en avant, convictions dans les poches, il trace sa route vers l'opulence : un roi sans son peuple, ou un gars du peuple se rêvant roi. C’est alors qu’une mélodie familière accouche dans mes pensées : « I've travelled each and every highway/ But more, much more than this/ I did it my way. » L’évocation ou digression, quel grand mystère ! Pourquoi Sinatra viendrait-il y apposer sa voix, son ombre ? Peut-être pour cette détermination commune à ces deux chants du cygne ? Qu’importe la route quand on a un chemin, dira-t-on. Et ce n’est pas le visage vainqueur, à la Gassman, de Dujardin qui nous contredira.

    Il troque son portrait de René Coty pour celui de Bernard Arnault et compagnie. Merci Patron, alias Capitalisme, quand tu nous tiens. Jean est Jacques, un imbécile heureux qui voit dans le modèle libéral, un paradis sur Terre, un Eden où se développent constamment des start-ups, à condition que l’idée germe dans l’esprit de son Créateur. Il aime le Capital, mais pas celui de Marx. C’est donc ton ami, ce sera ton porte-bonheur. Du même sang que les Bill Gates et Bernard Tapie d’autrefois, le personnage de Dujardin est de la graine des self-made men, à l’ère Macronienne : il marche, il pense, il entreprend et carbure à la vitesse de son aveuglement. L’individualisme moderne dans toute sa splendeur. Le loup Dujardin est lâché, et la ténacité de son personnage n’égale que sa liberté de jeu : les formules et autres pensées énergiques s’enchaînent comme autant de fluctuations au CAC 40.

    L’ouverture donne le ton : décalé, et à contre-courant. I Feel Good fonctionne donc dans l’opposition, et la réunion en devenir. De la confrontation des idéologies aux réussites divergentes, de la bonté de Solange (Yolande Moreau, touchante et sincère) à l’égoïsme de Jacques, le tandem Kervern-Delépine se frotte une nouvelle fois au système, et à sa liberté d’entreprendre. Ni délocalisations, ni chaos citoyen, ni anarchie sociale ici, juste la force de la communauté face à l’instabilité du capitalisme. Dans les secondes mains, et l’entraide meublée d’Emmaüs, se réparent ainsi les vivants, et se réconcilient frère et sœur. Comme une preuve que le capitalisme est voué à l’échec : sans amour, ni respect, impossible de concevoir une société durable et attentionnée. Heureusement, la marge demeure, et avec elle, tous les élans d’humanité, et les convictions d’un Abbé. Un Communisme à réinventer, peut-être.

    I Feel Good invite ainsi à un changement, à un voyage, à une chirurgie des visages : des accidents de parcours aux idéaux périmés, de la France intérieure aux contrées de l’Est, l’absurde côtoie le sublime, et chaque visage imparfait recèle une âme de générosité. Puisque Kervern et Delépine cherchent la beauté là où les apparences la dissimulent : dans les cœurs ouverts et la simplicité d'un partage. Changer au fond, c’est devenir quelqu’un d’autre, devenir l’Image de son propre changement. Kervern et Delépine construisent par conséquent leur réalisation autour du « Rien n’est perdu, tout se transforme ». Car Emmaüs rassemble, et redonne vie à ces objets délaissés, à ces existences des bas-côtés : tout se remonte, tout se répare, tout se recycle, et tout s’actionne dans l’authenticité et la solidarité. I Feel Good l’aura finalement fructifiée sa petite entreprise, là où la richesse réside dans un contact, un partage, une humanité. Et puis, ce n’est pas notre pote Calogero qui dira le contraire : « On n'est riche que de ses amis ». Oui, c’est dit.

    Critique à lire également sur mon Blog : FADE OFF
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    Un film sans scénario qui traîne une fin qui n'a pas de sens . en gros un reportage sur Emmaüs a voir sur la tv mais pas au cinéma
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    Même si ce n'est pas à se tordre de rire, I feel good est une fable relativement déjantée mais qui reste politiquement correct (sauf une fois quand ça vise une vieille femme, trop facile hélas), et un bel hommage à l'abbé Pierre et ses compagnons. Au final c'est cela qui m'a le plus plu : l'immersion au sein d'une communauté Emmaüs et toute son humanité. J'ai vu Jean Dujardin meilleur dans des rôles de blaireau. Yolande Moreau je l'adore mais le côté super mal fagoté c'est un peu trop, on peut être pauvre et coiffé.
    mat niro
    mat niro

    360 abonnés 1 840 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    Le duo Kerven-Delépine signe ici une comédie satirique avec un Jean Dujardin en grande forme. On retrouve dans ce film l'esprit Grolandais qui caractérise les deux réalisateurs en mettent en scène des inconnus pour la plupart (une communauté d'Emmaüs). Le personnage incarné par Jean Dujardin est hilarant: il est allergique au travail mais veut gagner de l'argent avec une idée géniale (en l'occurrence une start-up de chirurgie esthétique). C'est souvent grinçant, militant également avec des répliques géniales (l'univers du football dépeint par Dujardin est culte). Mais c'est surtout un joli pied-de-nez fait à la société actuelle et à son président. A noter la superbe composition de l'inénarrable Yolande Moreau. Du très bon cinéma français engagé comme rarement.
    Jorik V
    Jorik V

    1 279 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    On adore Gustave Kervern et Benoît Délépine. Ils ont réussi à ancrer dans un paysage cinématographique français parfois jugé trop figé une œuvre différente, décalée et contestataire. Leurs films sont certes souvent un peu bordéliques et à la réalisation parfois approximative, mais c’est ce qui fait aussi leur charme. Ils ont quelque chose à dire et le font avec un humour bien particulier, basé sur des dialogues barrés et des situations ubuesques. Le beau « Louise Michel » avec déjà Yolande Moreau nous les faisait découvrir quand « Le grand soir » et « Mammuth » les confirmait avec des castings haut de gamme (Poelvoorde, Depardieu, Dupontel, …) mais toujours la même verve comique et cette conviction en leurs idéaux. Alors quand leur nouveau film « I feel good » est annoncé avec une promesse de scénario qui synthétise leur œuvre et un casting alléchant (Yolande Moreau et Jean Dujardin), on en salive d’avance. Bien qu’il faille avouer que leurs films sont en général davantage attachants et originaux que totalement irréprochables.

    Et bien on en sera pour nos frais ! Car leur dernier né est clairement une amère déception. Certains critiques crient au chef-d’œuvre ou scande leur meilleur film, ce serait plutôt le pire. Ou le moins bon pour être plus précis, car tout n’est pas à jeter dans « I feel good », loin s’en faut. En effet, pas mal de répliques font toujours mouche et beaucoup de vérités sont énoncées avec sarcasme ou humour noir contre le capitalisme forcené qui gangrène nos sociétés occidentales. On peut aussi noter que sur la forme, le duo de réalisateurs fait des efforts tant elle semble plus soignée de film en film. On est désormais loin de la caméra à l’épaule, de l’image trop granuleuse et du montage approximatif essayant de mettre bout à bout des scènes sans fil conducteur digne de ce nom. Mais, Délépine et Kervern radotent et n’apportent jamais rien de nouveau ici. Pire, ils enfoncent des portes ouvertes et semblent se reposer sur leurs lauriers alors que la tournée alcoolisée de « Saint-Amour » semblait renouveler leur propos.

    Charge contre le patronat, hommage à Emmaüs (cependant tout le monde ne le verra pas tant dans certaines séquences les metteurs en scène semblent se moquer des gens qui y travaillent), diatribe envers l’argent-roi, critique du diktat de l’apparrence, … Tout cela a déjà été dit et fait. Souvent en mieux, et surtout par eux en France, en tout cas de cette manière. Alors même si c’est bien de le marteler, la façon de faire ou le fond se doivent de parfois évoluer au risque de se répéter, et donc de lasser. Dans la même veine sociale, Loach ou Leigh, se sont sans cesse renouveler outre-Manche par exemple. Mais un autre problème pointe le bout de son nez, qui n’avait pas cours dans leurs précédents films : on ne rit pas et on sourit très peu. « I feel good » est même plutôt triste à vrai dire. Pas un seul gag ne nous touche au point d’éclater de rire et il est rare qu’une réplique ou le côté décalé nous fasse afficher un quelconque rictus. Du coup, le temps paraît long et les scènes s’enchaînent de manière redondante, voire ne nous intéressent plus du tout dans le dernier tiers. Quant à l’alchimie attendue entre Dujardin et Moreau, elle est aux abonnées absentes. Il semblerait qu’il ne joue pas dans le même film, faisant leur numéro chacun de leur côté. Amère déception, mais on ne doute pas qu’elle sera rattrapée à leur prochain film.

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    Delph I
    Delph I

    131 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    On ne se trompe pas, c’est du Delepine et Kernern, de l’humour, du sens, de l’absurde, du non politiquement correct et beaucoup de tendresse dans leurs personnages. Yolande Moreau est égale à elle-même et c’est ce qui fait son charme. Jean Dujardin toujours excellent dans un rôle de mythomane surréaliste mais touchant. Suffit-il d’être beau pour réussir ? La réussite sociale suffit -elle à être heureux ? Et la beauté intérieure, alors, qu’en fait-on ?
    Dom Domi
    Dom Domi

    44 abonnés 306 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 octobre 2018
    Je me feel pas vraiment good avec ce film.
    Non pas qu'il soit mauvais, mais plutôt parce qu'il est assez banal.
    La méthode de tournage est minimaliste et simpliste.
    L'histoire est intéressante mais pas assez fouillée.
    Les acteurs bons mais pas transcendants.
    Bref, Je n'ai pas été emballé par ce film et en suis ressorti déçu.
    Pourtant, il y avait tout pour faire du bon et se sentir mieux...
    domi...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    J'ai adoré ce film, très drôle, décalé, avec une vraie morale et avec une Yolande Moreau et un Jean Dujardin excellents.
    PaulGe G
    PaulGe G

    112 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 octobre 2018
    un titre anglais pour un film français déjà c'est rédhibitoire, surtout qu'il n'est même pas expliqué dans le déroulement de ce tres mauvais film. un bel homme bien bronzé arrive dans le centre Emaus que dirige sa soeur. c'est un paresseux, escroc a la petite semaine qui va entrainé tout son monde dans son délire . un scénario beta comme tous les films de ces réalisateurs, c'est ni drôle ni triste, c'est tout simplement navrant et il faut une bonne dose de courage pour aller jusqu'au bout.
    colombe P.
    colombe P.

    134 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    Ce film est un véritable petit bijou de sensibilité et d'humanité.
    spoiler: Je tiens à dire que ceux qui n'ont pas aimé et bien ils n'ont pas du tout compris le message/le sens du film et/ou ils ne connaissent pas l'univers et le ton des réalisateurs.

    Je recommande chaudement cette perle amusante, touchante et pleine de justesse.
    A voir sans hésitation.
    Michel C.
    Michel C.

    278 abonnés 1 475 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    Film déjanté - très déjanté - avec dans le rôle principal "l'artiste" Jean Dujardin, en compagnie sa soeur Yolande Moreau. Tous les deux sont admirablement immergés la communauté Emmaüs !! Ce n'est pas triste, mais je reste déçu, je m'attendais à plus drôle honnêtement. Un film chiffonnier !! Scénario audacieux, non abouti, brouillon. Des longueurs et des lourdeurs - je pense aux moqueries - on dira probablement : "mais c'est du nième degré!" peut être mais non.... ça ne passe pas bien. Je ne le recommande pas du tout !! **
    OceansTiger
    OceansTiger

    26 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    Je ne connaissais pas la filmographie Delépine/Kervern, mais ce film ne m'a pas convaincu.
    Pour une comédie, je suis sorti de la salle en me disant que je n'ai pas suffisamment ri, quelques bonnes séquences leurs trop inégales. Dujardin est encore très bon, mais son personnage peu attachant.
    En me renseignant sur le film a posteriori, je trouve aussi dommage que l'esprit de la communauté Emmaüs du film (qui existe vraiment, bravo) n'est pas n plus assez mis en évidence, alors que c'est un point intéressant du film. Bref dommage
    traversay1
    traversay1

    3 645 abonnés 4 878 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 octobre 2018
    Renvoyer dos à dos capitalisme et communisme est assez commun mais le faire avec du style, parfois de la grâce et une bonne rasade de poésie n'est pas donné à tout le monde. A vrai dire, les derniers méfaits du duo Delépine & Kervern n'étaient guère enthousiasmants : un ton vindicatif et rebelle qui ne faisait pas dans la nuance et des films mal fichus dans l'ensemble. I feel good n'est pas non plus un modèle de construction narrative et patine parfois dans les redondances mais c'est ce qui fait ici son charme et est finalement raccord avec le monde du recyclage d'Emmaüs dans lequel le film prend racine. Avec un corps étranger en son sein, un abruti qui ne croit qu'au libéralisme, rêve de devenir riche avec sa start-up et méprise les sans grade, un drôle de Mickey Emmaüs, pour faire court. I feel good manque parfois de nerf mais conjugue assez bien l'absurdité à tous les modes dans ce qui prend au fil des minutes des allures de fable. Moins de rage que dans les films précédents de Delépine et Kervern mais une singulière folie qui s'incarne parfaitement en Jean Dujardin que l'on n'aurait pas juré compatible avec l'humour et la tendresse vache des réalisateurs. Ce en quoi on avait tort car le film n'est pas si éloigné en définitive de l'univers de Bertrand Blier (qui commence à nous manquer) dans lequel l'acteur a brillé en écoutant le bruit des glaçons. Il est prodigieux Dujardin, sans effort apparent, et constitue avec l'indispensable Yolande Moreau un attelage extraordinaire. La fin du film, avec ce qu'on appellerait un twist dans un quelconque blockbuster américain, est vraiment délectable et laisse sur une douce impression. Comme quoi, un manifeste est parfois tout aussi efficace quand il ne tire pas à boulets rouges sur sa cible désignée. Comme il est dit dans le film "ce qui ne tue pas te rend moins mort."
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