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philcat
3 abonnés
6 critiques
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0,5
Publiée le 4 octobre 2018
je n'ai qu'un mot pour résumer cette pseudo comédie:affligeant!! rien n'est drôle,les gags sont plats et vulgaires,le pompon étant la scène des crachats...! heureusement que j'ai une carte ciné illimitée car ça m'aurait fait mal de payer plein pot! bref, un vrai navet..fuyez!!
Je ne sais pas pourquoi les très mauvaises critiques sur ce film viennent de rédacteurs qui n'en ont rédigé qu'une seule. Ce n'est pas mon cas. Ceci est une vraie critique mais elle leur fait écho quand même. Je trouve ce film pitoyable, stupide et je ne comprends vraiment pas où les réalisateurs voulaient en venir. Je suis sortie avant la fin après avoir lutté un moment en espérant que quelque chose allait se passer. Yolande Moreau et Jean Dujardin sont des acteurs que j'apprécie mais vraiment le scénario est débile et comme quelqu'un l'a dit je ne comprends pas si le propos est de défendre la France d'en bas ou de s'en moquer. Ce n'est même pas drôle et les quelques vannes sont lourdes à pleurer. Le toutest pénible et difficile à supporter. Passez votre chemin.
I feel good, voilà l'état dans lequel on se trouve à la sortie de ce grand film. Qu'attend-t-on d'un grand film sinon qu'il nous procure des émotions vives, qu'il nous apporte une réflexion, une vision différente et intelligente du monde, du bonheur tout simplement. Alors oui, définitivement, Kervern et Delépine font du Grand Cinéma, humaniste, réaliste, sans pathos. On en sort grandi, plein d'espoir en se disant que le cinéma peut encore agir pour faire bouger les choses. Yolande Moreau est tout simplement sublime et d'une grande sincérité. Jean Dujardin est excellent dans l'un de ses meilleurs rôles. Cerise sur le gâteau, Mous et Akim apporte toute leur générosité musicale à cette cause qui leur tient particulièrement à cœur. Bref, si on cherchait la définition du Cinéma avec un grand "C", en voilà un bel exemple.
sans intérêt , voir grotesque ...simplement satisfaite d'avoir mis en avant emmâus le jeu d'acteur est très bon , mais pas suffisant pour faire un bon film ...long , répétitif , ennuyeux ...
Une comédie qui met étrangement de bonne bonne. C'est doux, c'est beau, c'est drôle, ça fait réfléchir. Attention cette comédie utilise un genre "d'humour d'images" qui se laisse aller sur de long plan fixe créant un rythme assez particulier. Dans un monde de l'hyper vitesse ça peut déranger, c'est un rythme plutôt lent mais juste ! Laissez vous allez, vous serez surpris du bien être ressenti à la fin.
J'ai tenu quelques temps, attendant quelque chose d'autre que cette enfilade de clichés et je suis finalement sortie au bout d'une petite heure. C'est rare de voir un film aussi raté. J'y suis allée car j'adore Yolande Moreau, mais qu'est-elle allée faire dans cette galère ? Et Jean Dujardin aussi. On a l'impression que l'un et l'autre se demandent ce qu'ils font là ! On voit qu'ils n'y croient pas. Peu d'humour, aucun rythme, ça ne va nulle part, le propos est vraiment sinueux.On aimerait alors quelque chose de vraiment déjanté : ça essaie d'être déjanté mais ça fait flop, flop. On perçoit vaguement une critique sociale ....Bref à déconseiller !
Ce film m'a mise mal à l'aise , c'est peut - être ce que souhaite les réalisateurs mais en ce qui me concerne je n'ai pas ressenti d'émotions , d'empathie plutôt beaucoup de tristesse sauf durant la dernière scène . Le jeu d'acteur de Dujardin et de Yolande Moreau ne m' a pas convaincu . Je me suis ennuyée.....
Il y a dans I feel good une part de tranquille comédie française, avec ses personnages sympathiques, assez exubérants ou singuliers pour retenir l’attention, et pour la tendresse la douce Yolande Moreau, la directrice du centre, qui s’efforce de prodiguer bonne humeur et attentions à son petit monde. Comme dans toute bonne comédie, les travers de notre temps sont aussi (trop ?) délicatement épinglés, comme l’étrange habitude, ou tentation, de vivre avec les cendres des êtres qu’on a aimés… Bien sûr, une fois que l’intrigue s’est mise en place, à la mitan du film, on se dit que ça ronronne un peu, et le frère de la dirlo, qui joue les empêcheurs de tourner en rond, a la partie un peu facile. Mais les deux réalisateurs tiennent leur surprise : une intrigue à double tiroir, ou à culbute, presque dignes des Ch’ti, et l’on finit par passer un très bon moment.
On ne se trompe pas, c’est du Delepine et Kernern, de l’humour, du sens, de l’absurde, du non politiquement correct et beaucoup de tendresse dans leurs personnages. Yolande Moreau est égale à elle-même et c’est ce qui fait son charme. Jean Dujardin toujours excellent dans un rôle de mythomane surréaliste mais touchant. Suffit-il d’être beau pour réussir ? La réussite sociale suffit -elle à être heureux ? Et la beauté intérieure, alors, qu’en fait-on ?
Des acteurs exceptionnels qui mettent en valeur toute l’absurdité de notre existence actuelle. C’est un film qui dérange et je comprends que tous ceux qui sont dans le déni de la réalité ne l’apprécient pas. Les autres Allez le voir.
Quelle triste fable que cette histoire., une vitrine du déterminisme social et de l assignation des pauvres. Ces frère et soeur de parents communistes qui ont trahi les convictions parentals... La soeur repproche à son frère de trahir la mémoire paternelle parcequ il a des ambitions de création d'entreprise. Mais n a t elle pas aussi trahi le pater en intégrant une association créer par un abbé, catholique. Par ailleurs le message est clair, vous les pauvres vous êtes moches mais ce n'est pas grave. Ce n’est pas important et surtout ne changez pas. Il ne faudrait pas que vous ayez l envie d être beaux, de vouloir bien vous vêtir, vous risqueriez de vous révolter contre votre conditions. Alors finalement ce film sert le capital et l idée qu il faut des pauvres. Derrière les problématiques de ces personnes desaffiliées se cachent des problématiques graves, de santé, de rupture, de accidents de la vie. On ne peut pas dire à ces gens, restez comme vous êtes ce qui compte c'est votre coeur. Ça n a aucun sens. Par ailleurs Jacques n est pas fou et son business aurait pu fonctionner il s est juste trompé de cible. Il n a rien d original, il est comme des millions de personnes qui créent des entreprises, le déterminisme social est ici un frein majeur. Ce film est profondément capitaliste et investit les travailleurs de l association dans une assignation à être ce qu ils sont. Tellement décalés qu ils sont de la réalité, ils prennent Jacques pour un fou. Ce film est une insulte à la misère.
Cette parabole filmée, célébrant les vertus de la camaraderie, de l'entraide, du retour vers la dignité par le labeur et la solidarité, pourrait presque passer pour un travail de commande ! La verve et l'acidité coutumières des trublions Delépine/Kervern sont en effet en mode mineur dans ce "I feel good", docu-fiction, que l'on pourrait sous-titrer "En plongée chez les Fracassés d'Emmaüs" (défilé de "gueules"). La charge sociale habituelle disparaît la plupart du temps sous un enrobage édifiant, quasi-emphatique, d'hommage à "l'abbé". Le propos (l'amitié et la famille, c'est tellement mieux que le lucre) est par ailleurs mal défendu par un tandem fraternel qui ne convainc pas (Yolande Moreau qui surcharge, Jean Dujardin à côté de la plaque - c'était un Dupontel qu'il aurait fallu...). Grosse déception !
Très bon film. Jean Dujardin et Yolande Moreau réalisent des performances d'acteurs exceptionnelles. Ce film est dans la lignée de "Louise Michel", "Mammuth" et du "Grand soir". A mon avis, Gustave de Kervern et Benoît Delepine réalisent leur meilleur film.
Un film tellement inabouti qu'il ressemble à un brouillon de film avec Jean Dujardin, antipathique au possible, et Yolande Moreau et sa bande de chiffonniers d’Emmaüs, bêtes comme oies, très franchement, si vous n’y allez pas, vous ne ratez rien. Pour ma part, j’ai tenu jusqu’à la fin mais entretemps la salle s’était vidée de moitié ! Alors à vous de voir !