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33 critiques presse
Télé Loisirs
par Gwénola Trouillard
[...] épatante et militante comédie sociale.
20 Minutes
par Caroline Vié
[...] jubilatoire [...].
Bande à part
par Pierre Charpilloz
Parodie déjantée mais pleine de bons sentiments de la "génération Macron", "I Feel Good" tourne à l'absurde le langage et les codes du monde de l'entreprise 2.0.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
[...] une comédie sociale décapante [...].
Ecran Large
par Simon Riaux
Sorte de roquette poétique tirée sur le macronisme et ses mirages, "I Feel Good" est peut-être le meilleur film de Kervern et Delépine. Tour à tour glaçant et hilarant, acide et révolté, mais jamais amer.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par La rédaction
Décoiffant.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Comme à l’habitude, chez Kervern et Delépine, "I Feel Good" mélange humour et tendresse, au bénéfice d’un message social, où domine la solidarité dans une joyeuse entreprise des sentiments. Humaniste.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Céline Rouden
Dans cette fable désopilante tournée dans une communauté Emmaüs, Jean Dujardin apporte toute sa puissance comique à la charge antilibérale de ses deux auteurs.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
"I Feel Good" se destine à l’évidence à un public plus large que d’autres films-OVNI du tandem Kervern-Delépine et fonctionne sur l’ironie, tantôt bon enfant tantôt corrosive, davantage que sur la rage pure qui irriguait par exemple un film comme "Le Grand soir".
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par La rédaction
Tableau d'une France qui n'apparaît jamais à l'écran, celle de la marge, Benoît Delépine et Gustave Kervern y mettent un ton, drôle et simple, qui ne s'imite pas. Dénués de mépris, ces deux anarchistes du cinéma expliquent sans avoir l'air d'y toucher le capitalisme pour les nuls.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Clarisse Fabre
Le scénario réserve d'ailleurs, par la suite, de subtiles et hilarantes surprises. Kervern et Delépine soignent le détail, le clin d'œil poétique.
Le Parisien
par Catherine Balle
[...] une comédie humaniste qui a du fond : elle parle de matérialisme, de réussite, de solidarité, de l’apparence… Et on se régale du tandem Moreau-Dujardin, comme des croustillants dialogues imaginés par Delépine et Kervern.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
On rit, on s'émeut avec ces deux gaillards qui signent une comédie loufoque et sensible sur les illusions perdues du communisme et les bienfaits de l'utopie inventée par l'abbé Pierre.
Ouest France
par Agnès Le Morvan
Ancrée dans l'époque, cette comédie sociale de Benoît Delépine et Gustave Kervern est bourrée d'humour et de tendresse [...].
Positif
par Vincent Thabourey
Une fable grinçante qui ne manquera pas de choquer quelques esprits chagrins. Et c'est tant mieux.
Première
par Christophe Narbonne
Le meilleur Kervern et Delépine depuis "Le grand soir". Jean Dujardin dans son meilleur rôle depuis "The Artist". We feel good.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Capitalisme exacerbé et dictature de la beauté, Benoît Delépine et Gustave Kervern n’ont qu’à se pencher pour nourrir leur film.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
Comédie de bric et de broc, à l’image d’Emmaüs qui recycle et répare tout ce qui est obsolète ou jugé comme tel, film libre et cabossé dont la philosophie balance entre désenchantement et humble héroïsme du quotidien.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
[...] leur mise en scène a rarement été aussi élégante et poétique. Chaque plan est minutieusement composé. [...] Dans sa forme même, cette fable grinçante proclame que tout se recycle, reste utile et beau.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Une réjouissante comédie utopique grâce à laquelle on se sent bien.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Petite surprise, I Feel Good s’avère plus tenu et percutant que les précédents films du duo Delépine-Kervern (dont les derniers méfaits carrément bâclés masquaient mal l’artifice de leur posture de rebelle) et prend même les allures d’un film d’intervention dans la France macronienne.
Culturopoing.com
par Xanaé Bove
Même s’ils se sont assagis depuis "Saint Amour", les deux cinéastes font toujours preuve d’une insolence salutaire, continuant à déployer un cinéma unique, cocktail molotov de poétique et de politique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par Christophe Carrière
Zéro concession, un peu d'insolence, beaucoup d'humanisme, secouez et servez frais. "I Feel Good" est un de leurs cocktails maison, certes un peu trop délayé à cause des baisses de rythme et de quelques répétitions, mais la saveur demeure.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Nicolas Schaller
A l'idée géniale d'un personnage dont l'obsession pour la réussite matérielle et pour l'exploitation des plus démunis relève de la pathologie, il faut ajouter le sens du pathétique de Dujardin, l'humanité débordante de Yolande Moreau, des répliques mordantes et un twist final énorme. De quoi passer outre un ventre mou et l'esthétique rabougrie du cinéma des Grolandais Delépine et Kervern.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
[...] la structure un peu trop éclatée, proche d’une succession de sketches, qui donne à tout cela un côté bric-à-brac. Jusqu’à ce qu’un voyage vers l’Est et vers une Bulgarie postcommuniste recyclée dans la chirurgie esthétique low cost vienne redonner une ossature et un punch à un film dont la meilleure part est assurément pour la fin.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
[...] le tandem poético-militant Kervern-Delépine continue de souligner les aberrations de notre société obnubilée par le profit à travers les mésaventures loufoques d’un loser magnifique de bêtise et d’égoïsme, incarné par un Jean Dujardin décomplexé et jubilatoire.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Jean Dujardin et Yolande Moreau sont le tandem de choc de la nouvelle comédie du duo Kervern / Delépine. Mais les deux trublions du cinéma français s’appuient un peu trop sur leurs acteurs et les dialogues au risque de négliger le rythme du récit.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Toute la partie chez Emmaüs est relevée et rythmée, mais le film s’épuise un brin lors du séjour en Bulgarie, un peu lourd métaphoriquement. Heureusement, la chute du film est désopilante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Olivier de Bruyn
Même si le film abuse des répétitions et souffre de carences scénaristiques, son humour foutraque et sa tendresse pour les marginaux de tout poil ne laissent pas indifférent.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Fable grinçante sur l'individualisme forcené dans la veine des comédies italiennes d'antan, le nouvel ovni des ex-auteurs de Groland, vaut surtout pour le numéro de claquettes affolant auquel se livre Dujardin, en affreux sale et méchant magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Dans la peau d'un gentil barjot, Jean Dujardin prête une folie douce intrigante à ce manifeste anti-premiers de cordée, où l'absurde le dispute à la bienveillance.
Libération
par Marius Chapuis
Autour d’un «loser» qui rêve de monter sa start-up, le nouveau film du duo Delépine et Kervern tourne en rond et navre par la pauvreté de son propos.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Humanité
par Vincent Ostria
Personne ne peut être dupe de la naïveté outrée et hypocrite de cette clownerie prétendant à l'angélisme.
Télé Loisirs
[...] épatante et militante comédie sociale.
20 Minutes
[...] jubilatoire [...].
Bande à part
Parodie déjantée mais pleine de bons sentiments de la "génération Macron", "I Feel Good" tourne à l'absurde le langage et les codes du monde de l'entreprise 2.0.
CNews
[...] une comédie sociale décapante [...].
Ecran Large
Sorte de roquette poétique tirée sur le macronisme et ses mirages, "I Feel Good" est peut-être le meilleur film de Kervern et Delépine. Tour à tour glaçant et hilarant, acide et révolté, mais jamais amer.
Femme Actuelle
Décoiffant.
Franceinfo Culture
Comme à l’habitude, chez Kervern et Delépine, "I Feel Good" mélange humour et tendresse, au bénéfice d’un message social, où domine la solidarité dans une joyeuse entreprise des sentiments. Humaniste.
La Croix
Dans cette fable désopilante tournée dans une communauté Emmaüs, Jean Dujardin apporte toute sa puissance comique à la charge antilibérale de ses deux auteurs.
La Voix du Nord
"I Feel Good" se destine à l’évidence à un public plus large que d’autres films-OVNI du tandem Kervern-Delépine et fonctionne sur l’ironie, tantôt bon enfant tantôt corrosive, davantage que sur la rage pure qui irriguait par exemple un film comme "Le Grand soir".
Le Figaro
Tableau d'une France qui n'apparaît jamais à l'écran, celle de la marge, Benoît Delépine et Gustave Kervern y mettent un ton, drôle et simple, qui ne s'imite pas. Dénués de mépris, ces deux anarchistes du cinéma expliquent sans avoir l'air d'y toucher le capitalisme pour les nuls.
Le Monde
Le scénario réserve d'ailleurs, par la suite, de subtiles et hilarantes surprises. Kervern et Delépine soignent le détail, le clin d'œil poétique.
Le Parisien
[...] une comédie humaniste qui a du fond : elle parle de matérialisme, de réussite, de solidarité, de l’apparence… Et on se régale du tandem Moreau-Dujardin, comme des croustillants dialogues imaginés par Delépine et Kervern.
Le Point
On rit, on s'émeut avec ces deux gaillards qui signent une comédie loufoque et sensible sur les illusions perdues du communisme et les bienfaits de l'utopie inventée par l'abbé Pierre.
Ouest France
Ancrée dans l'époque, cette comédie sociale de Benoît Delépine et Gustave Kervern est bourrée d'humour et de tendresse [...].
Positif
Une fable grinçante qui ne manquera pas de choquer quelques esprits chagrins. Et c'est tant mieux.
Première
Le meilleur Kervern et Delépine depuis "Le grand soir". Jean Dujardin dans son meilleur rôle depuis "The Artist". We feel good.
Rolling Stone
Capitalisme exacerbé et dictature de la beauté, Benoît Delépine et Gustave Kervern n’ont qu’à se pencher pour nourrir leur film.
Sud Ouest
Comédie de bric et de broc, à l’image d’Emmaüs qui recycle et répare tout ce qui est obsolète ou jugé comme tel, film libre et cabossé dont la philosophie balance entre désenchantement et humble héroïsme du quotidien.
Télérama
[...] leur mise en scène a rarement été aussi élégante et poétique. Chaque plan est minutieusement composé. [...] Dans sa forme même, cette fable grinçante proclame que tout se recycle, reste utile et beau.
aVoir-aLire.com
Une réjouissante comédie utopique grâce à laquelle on se sent bien.
Cahiers du Cinéma
Petite surprise, I Feel Good s’avère plus tenu et percutant que les précédents films du duo Delépine-Kervern (dont les derniers méfaits carrément bâclés masquaient mal l’artifice de leur posture de rebelle) et prend même les allures d’un film d’intervention dans la France macronienne.
Culturopoing.com
Même s’ils se sont assagis depuis "Saint Amour", les deux cinéastes font toujours preuve d’une insolence salutaire, continuant à déployer un cinéma unique, cocktail molotov de poétique et de politique.
L'Express
Zéro concession, un peu d'insolence, beaucoup d'humanisme, secouez et servez frais. "I Feel Good" est un de leurs cocktails maison, certes un peu trop délayé à cause des baisses de rythme et de quelques répétitions, mais la saveur demeure.
L'Obs
A l'idée géniale d'un personnage dont l'obsession pour la réussite matérielle et pour l'exploitation des plus démunis relève de la pathologie, il faut ajouter le sens du pathétique de Dujardin, l'humanité débordante de Yolande Moreau, des répliques mordantes et un twist final énorme. De quoi passer outre un ventre mou et l'esthétique rabougrie du cinéma des Grolandais Delépine et Kervern.
Le Dauphiné Libéré
[...] la structure un peu trop éclatée, proche d’une succession de sketches, qui donne à tout cela un côté bric-à-brac. Jusqu’à ce qu’un voyage vers l’Est et vers une Bulgarie postcommuniste recyclée dans la chirurgie esthétique low cost vienne redonner une ossature et un punch à un film dont la meilleure part est assurément pour la fin.
Le Journal du Dimanche
[...] le tandem poético-militant Kervern-Delépine continue de souligner les aberrations de notre société obnubilée par le profit à travers les mésaventures loufoques d’un loser magnifique de bêtise et d’égoïsme, incarné par un Jean Dujardin décomplexé et jubilatoire.
Les Fiches du Cinéma
Jean Dujardin et Yolande Moreau sont le tandem de choc de la nouvelle comédie du duo Kervern / Delépine. Mais les deux trublions du cinéma français s’appuient un peu trop sur leurs acteurs et les dialogues au risque de négliger le rythme du récit.
Les Inrockuptibles
Toute la partie chez Emmaüs est relevée et rythmée, mais le film s’épuise un brin lors du séjour en Bulgarie, un peu lourd métaphoriquement. Heureusement, la chute du film est désopilante.
Marie Claire
Même si le film abuse des répétitions et souffre de carences scénaristiques, son humour foutraque et sa tendresse pour les marginaux de tout poil ne laissent pas indifférent.
Paris Match
Fable grinçante sur l'individualisme forcené dans la veine des comédies italiennes d'antan, le nouvel ovni des ex-auteurs de Groland, vaut surtout pour le numéro de claquettes affolant auquel se livre Dujardin, en affreux sale et méchant magnifique.
Télé 7 Jours
Dans la peau d'un gentil barjot, Jean Dujardin prête une folie douce intrigante à ce manifeste anti-premiers de cordée, où l'absurde le dispute à la bienveillance.
Libération
Autour d’un «loser» qui rêve de monter sa start-up, le nouveau film du duo Delépine et Kervern tourne en rond et navre par la pauvreté de son propos.
L'Humanité
Personne ne peut être dupe de la naïveté outrée et hypocrite de cette clownerie prétendant à l'angélisme.