Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Filmsactu
par Olivier Portnoi
Entre chronique sociale et récit d'émancipation, Je m'appelle Bagdad est un joyeux plaidoyer pour la solidarité féminine.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Humanité
par Vincent Ostria
Je m’appelle Bagdad a des qualités d’immédiateté. Son naturel indéniable, qui ne pallie certes pas l’absence de narration élaborée ni d’émotion, s’allie à la liberté clipesque de son filmage, de sa mise en scène (ralentis, jump cuts, flashs, etc.), et de ses jeux outrés avec la couleur, en phase avec le caractère futuriste du nouveau cinéma brésilien, associant souvent audace esthétique et transgression sociétale.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film tonique et finement subversif.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Récit d'apprentissage parfois peu subtil, le film de Caru Alves de Souza reste un revigorant ride féministe.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Sur un scénario un peu trop en pointillé pour captiver pleinement, la cinéaste parle de sororité pour dresser le constat inquiet d’un pays gangrené par le patriarcat et la violence policière. L’énergie de son héroïne et de sa comédienne s’accorde bien à une mise en scène rageuse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un focus intéressant sur la culture urbaine du Brésil de Bolsonaro, par le prisme d’une fille sans cesse renvoyée à son identité indécise. Personnages truculents mais film hybride et trop indécis, lui aussi.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Ouest France
par La Rédaction
Un récit initiatique dont l'énergie contagieuse célèbre le girl power.
Première
par Thierry Chèze
Un cri d’espoir joyeux dans le Brésil de Bolsonaro.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Hélène Marzolf
Un long message de prévention très louable, mais un peu artificiel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Thomas Bonicel
Pour son deuxième film, Caru Alves de Souza signe une jolie réussite, portée par un casting inspiré et un ton singulier qui fait mouche.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Redondant, comme prisonnier de son propos et de son approche documentaire, Je m’appelle Bagdad patine malgré le charme et le tempérament de son héroïne brillamment incarnée.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
On songe à une version naïve de l'électrisant Ema, du Chilien Pablo Larrain.
Filmsactu
Entre chronique sociale et récit d'émancipation, Je m'appelle Bagdad est un joyeux plaidoyer pour la solidarité féminine.
L'Humanité
Je m’appelle Bagdad a des qualités d’immédiateté. Son naturel indéniable, qui ne pallie certes pas l’absence de narration élaborée ni d’émotion, s’allie à la liberté clipesque de son filmage, de sa mise en scène (ralentis, jump cuts, flashs, etc.), et de ses jeux outrés avec la couleur, en phase avec le caractère futuriste du nouveau cinéma brésilien, associant souvent audace esthétique et transgression sociétale.
Les Fiches du Cinéma
Un film tonique et finement subversif.
CinemaTeaser
Récit d'apprentissage parfois peu subtil, le film de Caru Alves de Souza reste un revigorant ride féministe.
L'Obs
Sur un scénario un peu trop en pointillé pour captiver pleinement, la cinéaste parle de sororité pour dresser le constat inquiet d’un pays gangrené par le patriarcat et la violence policière. L’énergie de son héroïne et de sa comédienne s’accorde bien à une mise en scène rageuse.
La Voix du Nord
Un focus intéressant sur la culture urbaine du Brésil de Bolsonaro, par le prisme d’une fille sans cesse renvoyée à son identité indécise. Personnages truculents mais film hybride et trop indécis, lui aussi.
Ouest France
Un récit initiatique dont l'énergie contagieuse célèbre le girl power.
Première
Un cri d’espoir joyeux dans le Brésil de Bolsonaro.
Télérama
Un long message de prévention très louable, mais un peu artificiel.
aVoir-aLire.com
Pour son deuxième film, Caru Alves de Souza signe une jolie réussite, portée par un casting inspiré et un ton singulier qui fait mouche.
Le Journal du Dimanche
Redondant, comme prisonnier de son propos et de son approche documentaire, Je m’appelle Bagdad patine malgré le charme et le tempérament de son héroïne brillamment incarnée.
Le Monde
On songe à une version naïve de l'électrisant Ema, du Chilien Pablo Larrain.