Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Jhonny Hendrix Hinestroza finit par faire de son film un humble manifeste où la nécessité financière ne doit jamais constituer un écran entre celui qui filme et celui qui regarde.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La mise en scène est sans esbroufe et le scénario repose essentiellement sur la chronique des jours heureux de ces deux héros. Et pourtant, l'air de rien, le charme opère.
Une finesse d'écriture qui se retrouve dans la peinture de caractères des deux héros et dans celle d'un receleur machiavélique régnant sur le marché noir local. Cela ajoute à la fable coquine un appréciable sous-texte politique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
(...) [une] romance nostalgique et gentiment scandaleuse, observant avec tendresse un amour ancien et plus fort que n’importe quel affront du destin (...).
(...) le film, de chronique sociale misérabiliste, prend les chemins buissonniers de la fantaisie. Et c’est justement la force du nouveau long de Jhonny Hendrix Hinestroza.
Quand Candelaria, avec un rire pudique, fait glisser la bretelle de son soutien-gorge, le temps se suspend. Et quelle image que ces poussins se promenant au bas du lit, au milieu des chaussures et des sous-vêtements…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
En insistant sur ces détails matériels, sur l’érosion de tous les désirs qu’entraîne la lutte quotidienne contre la pénurie, le cinéaste colombien trouve un rythme à la fois modeste et implacable, adouci par l’attention qu’il porte à ses personnages.
Hinestroza filme la décrépitude des corps sans honte, sans voyeurisme ni fascination non plus. C'est grâce à ce regard qu'il sauve son film de son vouloir-dire un peu plombé.
(...) malgré quelques fausses notes (parmi lesquelles de trop bons sentiments, un humour souvent sans finesse et un « méchant » caricatural), la fin est plutôt réussie.
Il en résulte à l’écran un singulier portrait de Cuba à travers une histoire d’amour tout à la fois espiègle et bouleversante. Ces fameux volcans qu’on croyait trop vieux mais d’où soudain rejaillit le feu, si chers à Jacques Brel.
La critique complète est disponible sur le site Première
Jhonny Hendrix Hinestroza, jeune cinéaste colombien, saisit non sans audace les amants usés, montrant surtout, en filigrane et comme métaphorisé par ses personnages, l’état d’un pays que rien ne détruit et que tout a abîmé.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
(...) ces personnages méritaient mieux que l’écrin sans inspiration qui les scrute, ce film pas du tout désagréable et qui prétend s’adresser à tout le monde, se croyant universellement accessible et esthétiquement inventif.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
Jhonny Hendrix Hinestroza finit par faire de son film un humble manifeste où la nécessité financière ne doit jamais constituer un écran entre celui qui filme et celui qui regarde.
L'Express
La mise en scène est sans esbroufe et le scénario repose essentiellement sur la chronique des jours heureux de ces deux héros. Et pourtant, l'air de rien, le charme opère.
L'Obs
Une finesse d'écriture qui se retrouve dans la peinture de caractères des deux héros et dans celle d'un receleur machiavélique régnant sur le marché noir local. Cela ajoute à la fable coquine un appréciable sous-texte politique.
La Croix
Un film délicat qui célèbre la joie de vivre.
Le Figaro
Drôle et émouvant grâce à ses acteurs: Veronica Lynn et Alden Knight.
Le Journal du Dimanche
(...) [une] romance nostalgique et gentiment scandaleuse, observant avec tendresse un amour ancien et plus fort que n’importe quel affront du destin (...).
Les Fiches du Cinéma
Peignant une histoire d’amour du troisième âge, qui peut être une entreprise délicate, un film aussi poignant que lumineux.
Transfuge
(...) le film, de chronique sociale misérabiliste, prend les chemins buissonniers de la fantaisie. Et c’est justement la force du nouveau long de Jhonny Hendrix Hinestroza.
Télérama
Quand Candelaria, avec un rire pudique, fait glisser la bretelle de son soutien-gorge, le temps se suspend. Et quelle image que ces poussins se promenant au bas du lit, au milieu des chaussures et des sous-vêtements…
aVoir-aLire.com
Un bijou d’humour et de tendresse pour faire rempart à l’adversité.
Le Monde
En insistant sur ces détails matériels, sur l’érosion de tous les désirs qu’entraîne la lutte quotidienne contre la pénurie, le cinéaste colombien trouve un rythme à la fois modeste et implacable, adouci par l’attention qu’il porte à ses personnages.
Les Inrockuptibles
Hinestroza filme la décrépitude des corps sans honte, sans voyeurisme ni fascination non plus. C'est grâce à ce regard qu'il sauve son film de son vouloir-dire un peu plombé.
Positif
(...) malgré quelques fausses notes (parmi lesquelles de trop bons sentiments, un humour souvent sans finesse et un « méchant » caricatural), la fin est plutôt réussie.
Première
Il en résulte à l’écran un singulier portrait de Cuba à travers une histoire d’amour tout à la fois espiègle et bouleversante. Ces fameux volcans qu’on croyait trop vieux mais d’où soudain rejaillit le feu, si chers à Jacques Brel.
Sud Ouest
Jhonny Hendrix Hinestroza, jeune cinéaste colombien, saisit non sans audace les amants usés, montrant surtout, en filigrane et comme métaphorisé par ses personnages, l’état d’un pays que rien ne détruit et que tout a abîmé.
Libération
(...) ces personnages méritaient mieux que l’écrin sans inspiration qui les scrute, ce film pas du tout désagréable et qui prétend s’adresser à tout le monde, se croyant universellement accessible et esthétiquement inventif.