Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Bande à part
par Olivier Bombarda
Entièrement lové autour de son actrice, Andrea Pallaoro offre à Charlotte Rampling l’un de ses rôles les plus forts avec "Hannah", beau film triste et fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par François Forestier
Portrait de femme, donc, magistralement brossé par Andrea Pallaoro ("Medeas"), en une palette de couleurs sombres (images signées par le Canadien Chayse Irvin). Le film est austère, elliptique, dur. Mais Rampling s’approprie tout, avec passion. Art et essai ? Oui. Mais art consommé et essai réussi.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Romain Tourbillon
Un film traversé d’une douce étrangeté, qui dresse le portrait saisissant d’une femme s’enfermant dans le déni et le silence. Avec une Charlotte Rampling méconnaissable.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Transfuge
par Nathalie Dassa
(...) un film énigmatique sur le vide d'une existence paralysée par la dépendance au souvenir de son mari. Récipiendaire de la Coupe Volpi de la meilleure actrice à la Mostra de Venise, Charlotte Rampling s'approprie ce rôle difficile, livrant une performance remarquable et d'une intensité rare.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Incarnée par la superbe Charlotte Rampling, l’héroïne au masque las est impressionnante de stoïcisme et de minéralité – à un tel point qu’on finit parfois par l’oublier. La mélancolie n’est certes pas absente du tableau, mais elle est si intériorisée que seule la mécanique du vivant reste visible. Au point de laisser perplexe.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ce portrait énigmatique repose presque entièrement sur Charlotte Rampling qui s’est vu décerner un prix de la meilleure comédienne à la Mostra de Venise.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Jean-Sébastien Massart
"Hannah" est peut-être son rôle le plus important de Charlotte Rampling depuis "Sous le sable" de François Ozon.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Énigmatique et dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Pas plus aimable qu’hypnotique, le film est conduit par une mise en scène maîtrisée assumant son nuancier blafard et ses silences (...). Un tour de force ? À prendre ou à laisser.
Positif
par Vincent Thabourey
Les quelques informations portant sur le basculement dramatique du destin de cette femme se font désirer et ne sont délivrées qu'à regret, de manière elliptique. Cette rétention maniérée finit par assécher la mise en scène, dont émerge malgré tout, telle une rescapé, Charlotte Rampling.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Charlotte Rampling est magnifique (...). Mais son fardeau devient peu à peu aussi monotone et pesant que le film.
Voici
par La Rédaction
Un beau et très austère portrait de femme.
L'Express
par Christophe Carrière
Le film en lui-même, s'il est soigneusement mis en scène, est d'une complaisance confondante, soulignant le pathos avec des séquences interminables (...) qui suscitent plus l'ennui que la compassion.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film à la visée intimiste qui se veut pénétrante, mais qui tourne un peu à l’exercice de style autour d’une Charlotte Rampling errante et meurtrie : on est plus intéressé qu’ému.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Il y a quelque chose d’immuable et d’irréductible qui fait la singularité de Charlotte Rampling depuis ses débuts. Même ici, où son masque de vieillesse un peu las nimbe le film d’une aura mélancolique. Peut-être que le réalisateur Andrea Pallaoro s’est justement trop reposé sur elle, pensant qu’il suffisait de la filmer pour qu’il advienne quelque chose sur l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Un film âpre et mutique qui joue un peu trop sur l’ellipse et l’opacité pour ne pas risquer de provoquer chez le spectateur un certain ennui.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Cheze
Fasciné – et on le comprend ! – par le visage de Charlotte Rampling (récompensée à juste titre du prix d’interprétation au dernier festival de Venise), le cinéaste en oublie tout ce qui l’entoure et s’enferme dans une monotonie terne étouffante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Plan après plan, Hannah va ainsi sur son chemin de croix, né d’un passé mystérieux. Mais la mise en scène manque de puissance pour élaborer une matière émouvante qui à défaut d’éclairer l’intrigue, permettrait au moins d’entrer dans un univers.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Pierre Murat
Reste qu’Andrea Pallaoro, dont on devine les influences (Michelangelo Antonioni, Michael Haneke et Chantal Akerman) filme le vide avec un rien trop de suffisance, ce qui nous empêche de plonger totalement dans son imaginaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Isabelle Regnier
Spectateur masochiste, ce film est pour toi ! Une heure trente d’une Charlotte Rampling mutique, grise, confite de mal-être et de haine d’elle-même que le cinéaste se plaît à filmer sous toutes les coutures, révélant sans ménagement les marques du temps sur son corps avec délectation.
Bande à part
Entièrement lové autour de son actrice, Andrea Pallaoro offre à Charlotte Rampling l’un de ses rôles les plus forts avec "Hannah", beau film triste et fascinant.
L'Obs
Portrait de femme, donc, magistralement brossé par Andrea Pallaoro ("Medeas"), en une palette de couleurs sombres (images signées par le Canadien Chayse Irvin). Le film est austère, elliptique, dur. Mais Rampling s’approprie tout, avec passion. Art et essai ? Oui. Mais art consommé et essai réussi.
Les Fiches du Cinéma
Un film traversé d’une douce étrangeté, qui dresse le portrait saisissant d’une femme s’enfermant dans le déni et le silence. Avec une Charlotte Rampling méconnaissable.
Transfuge
(...) un film énigmatique sur le vide d'une existence paralysée par la dépendance au souvenir de son mari. Récipiendaire de la Coupe Volpi de la meilleure actrice à la Mostra de Venise, Charlotte Rampling s'approprie ce rôle difficile, livrant une performance remarquable et d'une intensité rare.
L'Humanité
Incarnée par la superbe Charlotte Rampling, l’héroïne au masque las est impressionnante de stoïcisme et de minéralité – à un tel point qu’on finit parfois par l’oublier. La mélancolie n’est certes pas absente du tableau, mais elle est si intériorisée que seule la mécanique du vivant reste visible. Au point de laisser perplexe.
La Croix
Ce portrait énigmatique repose presque entièrement sur Charlotte Rampling qui s’est vu décerner un prix de la meilleure comédienne à la Mostra de Venise.
La Septième Obsession
"Hannah" est peut-être son rôle le plus important de Charlotte Rampling depuis "Sous le sable" de François Ozon.
La Voix du Nord
Énigmatique et dérangeant.
Le Journal du Dimanche
Pas plus aimable qu’hypnotique, le film est conduit par une mise en scène maîtrisée assumant son nuancier blafard et ses silences (...). Un tour de force ? À prendre ou à laisser.
Positif
Les quelques informations portant sur le basculement dramatique du destin de cette femme se font désirer et ne sont délivrées qu'à regret, de manière elliptique. Cette rétention maniérée finit par assécher la mise en scène, dont émerge malgré tout, telle une rescapé, Charlotte Rampling.
Studio Ciné Live
Charlotte Rampling est magnifique (...). Mais son fardeau devient peu à peu aussi monotone et pesant que le film.
Voici
Un beau et très austère portrait de femme.
L'Express
Le film en lui-même, s'il est soigneusement mis en scène, est d'une complaisance confondante, soulignant le pathos avec des séquences interminables (...) qui suscitent plus l'ennui que la compassion.
Le Dauphiné Libéré
Un film à la visée intimiste qui se veut pénétrante, mais qui tourne un peu à l’exercice de style autour d’une Charlotte Rampling errante et meurtrie : on est plus intéressé qu’ému.
Les Inrockuptibles
Il y a quelque chose d’immuable et d’irréductible qui fait la singularité de Charlotte Rampling depuis ses débuts. Même ici, où son masque de vieillesse un peu las nimbe le film d’une aura mélancolique. Peut-être que le réalisateur Andrea Pallaoro s’est justement trop reposé sur elle, pensant qu’il suffisait de la filmer pour qu’il advienne quelque chose sur l’écran.
Paris Match
Un film âpre et mutique qui joue un peu trop sur l’ellipse et l’opacité pour ne pas risquer de provoquer chez le spectateur un certain ennui.
Première
Fasciné – et on le comprend ! – par le visage de Charlotte Rampling (récompensée à juste titre du prix d’interprétation au dernier festival de Venise), le cinéaste en oublie tout ce qui l’entoure et s’enferme dans une monotonie terne étouffante.
Sud Ouest
Plan après plan, Hannah va ainsi sur son chemin de croix, né d’un passé mystérieux. Mais la mise en scène manque de puissance pour élaborer une matière émouvante qui à défaut d’éclairer l’intrigue, permettrait au moins d’entrer dans un univers.
Télérama
Reste qu’Andrea Pallaoro, dont on devine les influences (Michelangelo Antonioni, Michael Haneke et Chantal Akerman) filme le vide avec un rien trop de suffisance, ce qui nous empêche de plonger totalement dans son imaginaire.
Le Monde
Spectateur masochiste, ce film est pour toi ! Une heure trente d’une Charlotte Rampling mutique, grise, confite de mal-être et de haine d’elle-même que le cinéaste se plaît à filmer sous toutes les coutures, révélant sans ménagement les marques du temps sur son corps avec délectation.