Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Critikat.com
par Thomas Choury
Le film est massif en apparence mais détonne par un équilibrisme haletant, tendu entre une sécheresse de ton et la sensation presque liquide d’une narration qui se déploie par vagues déferlantes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Céline Rouden
Sur une trame s’inspirant des codes du thriller, dans laquelle tout le suspens repose sur la décision de Mia de témoigner ou pas, elle livre dans ce film très abouti une critique féroce de l’évolution de son pays, en même temps qu’une galerie de portraits de femmes cherchant à se libérer de l’oppression d’un système qui en fait les premières victimes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Croix
par Céline Rouden
Vivian Qu livre dans ce film très abouti une critique féroce de l’évolution de son pays, en même temps qu’une galerie de portraits de femmes cherchant à se libérer de l’oppression d’un système qui en fait les premières victimes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film courageux, qui, sous la forme d’un récit haletant et subtilement mené, dénonce le pouvoir patriarcal et la soumission des femmes dans une Chine rarement montrée sous cet angle-là.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Cela donne un paysage social accablant, mais la mise en scène de Vivian Qu s'en arrache avec élégance, par sa photographie claire, son tempo plein d'alacrité, une grâce qui sait recueillir les pépites d'humanité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Avec une grande maîtrise formelle, sans jamais céder au pathos, à la facilité ou au manichéisme, [la réalisatrice] dessine le portrait de la femme chinoise d’aujourd’hui tout en esquissant celui, peu reluisant, d’une société où règne la loi du plus fort ou du plus fortuné.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film puissant sur la condition des femmes en Chine.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Nicolas Bauche
"Les Anges portent du blanc" n'est pas un film de procès. C'est (...) Une fiction à portée plus large où le fait divers repositionne de façon mécanique la place des femmes dans la société chinoise encore patriarcale.
Première
par Damien Leblanc
Le sempiternel pouvoir de l’argent entrave ici la potentielle entraide entre femmes de différents âges et milieux sociaux et Les Anges portent du blanc constitue de fait un brûlot féministe universel.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Véronique Trouillet
(...) triste mais pertinent.
Télérama
par Jacques Morice
En suivant ces différentes trajectoires, la réalisatrice court parfois le risque de s’éparpiller — c’était déjà l’un des travers de Trap Street. Mais elle prend aussi le temps de filmer des déambulations rêveuses à travers un parc d’attractions désert ou le long de la plage, en passant sous une gigantesque statue de Marilyn avec sa légendaire robe qui se soulève.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le propos est mis en scène sans complaisance, avec une empathie nécessaire, mais jamais envahissante. Dommage que le scénario s'adonne parfois à un symbolisme démonstratif (l'image récurrente du déboulonnage d'une statue géante de Marilyn) pour surligner son engagement féministe.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Clarisse Fabre
Vivian Qu maîtrise le film de bout en bout, peut-être un peu trop, avec le risque de l’empêcher (un peu) de respirer. Mais c’est peut-être le but de la réalisatrice : nous montrer une Chine irrespirable, et pas seulement à cause de la pollution.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Certes le film n’est pas séducteur, mais il ne trouve pas de rempart non plus à une dimension assez platement démonstrative, et sa sécheresse ressemble presque plus à un petit coup de force qu’à une vraie rigueur.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Étrange film chinois, plutôt moderne et incisif, qui commence comme un polar, mais qui est peu à peu submergé par sa thématique sur la condition féminine sous toutes ses facettes. Intention louable, mais on eût préféré que l’énigme ne s’achève pas en queue de poisson.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Critikat.com
Le film est massif en apparence mais détonne par un équilibrisme haletant, tendu entre une sécheresse de ton et la sensation presque liquide d’une narration qui se déploie par vagues déferlantes.
La Croix
Sur une trame s’inspirant des codes du thriller, dans laquelle tout le suspens repose sur la décision de Mia de témoigner ou pas, elle livre dans ce film très abouti une critique féroce de l’évolution de son pays, en même temps qu’une galerie de portraits de femmes cherchant à se libérer de l’oppression d’un système qui en fait les premières victimes.
La Croix
Vivian Qu livre dans ce film très abouti une critique féroce de l’évolution de son pays, en même temps qu’une galerie de portraits de femmes cherchant à se libérer de l’oppression d’un système qui en fait les premières victimes.
Le Dauphiné Libéré
Un film courageux, qui, sous la forme d’un récit haletant et subtilement mené, dénonce le pouvoir patriarcal et la soumission des femmes dans une Chine rarement montrée sous cet angle-là.
Le Figaro
Cela donne un paysage social accablant, mais la mise en scène de Vivian Qu s'en arrache avec élégance, par sa photographie claire, son tempo plein d'alacrité, une grâce qui sait recueillir les pépites d'humanité.
Le Journal du Dimanche
Avec une grande maîtrise formelle, sans jamais céder au pathos, à la facilité ou au manichéisme, [la réalisatrice] dessine le portrait de la femme chinoise d’aujourd’hui tout en esquissant celui, peu reluisant, d’une société où règne la loi du plus fort ou du plus fortuné.
Les Fiches du Cinéma
Un film puissant sur la condition des femmes en Chine.
Positif
"Les Anges portent du blanc" n'est pas un film de procès. C'est (...) Une fiction à portée plus large où le fait divers repositionne de façon mécanique la place des femmes dans la société chinoise encore patriarcale.
Première
Le sempiternel pouvoir de l’argent entrave ici la potentielle entraide entre femmes de différents âges et milieux sociaux et Les Anges portent du blanc constitue de fait un brûlot féministe universel.
Studio Magazine
(...) triste mais pertinent.
Télérama
En suivant ces différentes trajectoires, la réalisatrice court parfois le risque de s’éparpiller — c’était déjà l’un des travers de Trap Street. Mais elle prend aussi le temps de filmer des déambulations rêveuses à travers un parc d’attractions désert ou le long de la plage, en passant sous une gigantesque statue de Marilyn avec sa légendaire robe qui se soulève.
L'Obs
Le propos est mis en scène sans complaisance, avec une empathie nécessaire, mais jamais envahissante. Dommage que le scénario s'adonne parfois à un symbolisme démonstratif (l'image récurrente du déboulonnage d'une statue géante de Marilyn) pour surligner son engagement féministe.
Le Monde
Vivian Qu maîtrise le film de bout en bout, peut-être un peu trop, avec le risque de l’empêcher (un peu) de respirer. Mais c’est peut-être le but de la réalisatrice : nous montrer une Chine irrespirable, et pas seulement à cause de la pollution.
Cahiers du Cinéma
Certes le film n’est pas séducteur, mais il ne trouve pas de rempart non plus à une dimension assez platement démonstrative, et sa sécheresse ressemble presque plus à un petit coup de force qu’à une vraie rigueur.
L'Humanité
Étrange film chinois, plutôt moderne et incisif, qui commence comme un polar, mais qui est peu à peu submergé par sa thématique sur la condition féminine sous toutes ses facettes. Intention louable, mais on eût préféré que l’énigme ne s’achève pas en queue de poisson.