Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
BIBA
par Mélanie Klein
Ce qu'il y a de fort dans ce film-là, c'est le mystère qui plane au-dessus d'une femme incomprise d'elle-même, et rejetée par les autres précisément pour ces raisons. Le mécanisme du masque (de la froideur) est ici brillamment disséqué [...].
Le Parisien
par Renaud Baronian
Une ouverture à la vie, aux autres et à elle-même finement jouée, en suivant une partition qui va crescendo.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Transfuge
par Frédéric Mercier
[...] un magnifique film sur la liberté.
Cahiers du Cinéma
par Paola Raiman
On sait bien depuis Haneke que les pianistes souffrent de psychorigidité. Mais ce qui sauve Lara de la caricature, et du même coup le film de Jan-Ole Gerster de son penchant pour la sévérité, c’est l’humour.
Critikat.com
par Sophie-Catherine Gallet
En s'emparant de cette relation pernicieuse entre un fils et sa mère, Jan-Ole Gerster tisse une fable touchante et monstrueuse autour d'une vie vécue par procuration.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Françoise Delbecq
Lara Jenkins nous émeut par sa pudeur maternelle.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Une très belle balade émotionnelle.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"Lara Jenkins" confirme le tact avec lequel son réalisateur Jan-Olen Gerseter brosse ses portraits psychologiques.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Antoine Le Fur
On pourrait craindre une oeuvre "psychologisante", mais le long-métrage s'autorise quelques moments d'une légèreté assez atypique. Et surtout, il y a Corinna Harfouch exceptionnelle.
L'Humanité
par Vincent Ostria
D’où un drame languissant et lancinant, si l’on veut, mais qui ne manque pas de dynamique ou, pour reprendre une terminologie musicale, qui a la vivacité fantasque d’un scherzo. Un scherzo molto furioso, bien entendu.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Lucie Vidal
Froide, égoïste, mais aussi fragile et touchante, Corinna Harfouch nous bouleverse dans ce rôle de mère toxique. Une journée de rencontres et surtout, le bilan d’une vie : cinquante années de certitudes qui s’effondrent en une seconde, en une phrase.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Une ode à la liberté du corps et des sentiments qui achève de faire de "Lara Jenkins" une œuvre surprenante et réjouissante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par La rédaction
Disciple du cinéma de Haneke (mais en plus humain, plus subtil et plus mouvant), le jeune et inconnu Jan-Ole Gerster sonde la psyché de cette femme mûre, exigeante artistiquement mais aussi destructrice, et déroule en creux une réflexion aiguë sur l'art et la création.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Positif
par Fabien Baumann
Le film épate par sa maîtrise de la temporalité, à la fois brève et longue, distendue et circulaire, comme par son refus des conventions.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Si la mise en scène de Jan-Ole Gerster offre à ses personnages une chambre de résonance subtile, le script, écrit par le Slovène Blaz Kutin, saisit avec finesse tout ce qui se joue dans une relation aussi étroite entre un fils et sa mère, où s’affrontent le talent et le doute.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
Avec un sens pointilliste du détail et une mise en scène d’une précision chirurgicale, Jan-Ole Gerster parvient à l’identification d’une femme : l’effroi des rapports sadomasochistes entre une mère et son enfant s’impose cruellement devant cette partition en sourdine, portée par Corinna Harfouch, la Isabelle Huppert allemande, impressionnante de dureté blessée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Le réalisateur d’Oh Boy fait un sans-faute avec ce portrait terrible d’une femme, à l’orée de ses soixante ans, interprétée par une Corinna Harfouch avec une rare intensité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Lucas Schrub
La richesse du film réside dans l’écriture de son personnage et dans la justesse de l’interprétation délivrée par Corinna Harfouch.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par François Forestier
C’est du cinéma allemand : dans un style austère et un cadre fixe, les personnages entrent, disent ce qu’ils ont à dire, et sortent. La fin du film, très réussie, laisse le spectateur sur une impression de grâce momentanée. Et bien venue.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Intéressant, mais un peu lourd dans le traitement et l’interprétation.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Avec une rigueur subtile à la Haneke, Jan Ole Gerser filme sans jamais la lâcher cette femme élégante, froide et anguleuse comme les quartiers de Berlin qu’elle arpente en quête de réponses et d’identité.
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Portrait intelligent mais glacé d’une femme face à l’effondrement de ses certitudes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Monde
par Murielle Joudet
Loin de s’engouffrer dans la complexité de son héroïne, le film la condamne à n’être qu’un cliché figé : celui d’une femme d’autant plus acariâtre qu’elle gagne en âge, sacrifiée par le film.
Libération
par Sandra Onana
Jan-Ole Gerster a de la compassion, semble-t-il, pour son personnage de matriarche aux abois [...]. Mais la compassion qu’on pensait nous-mêmes avoir en stock finit par manquer face à son calvaire si pesamment pétri de clichés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Jan-Ole Gerster fait ici preuve de la même maîtrise dans la conduite de son récit que dans Oh Boy, qui l’a révélé en 2012, mais sans pour autant confirmer les espoirs placés en lui. Car le fait de donner à vivre cette histoire dans la tête d’une héroïne à ce point glaciale crée une distance émotionnelle qu’il se montre incapable de briser.
La critique complète est disponible sur le site Première
BIBA
Ce qu'il y a de fort dans ce film-là, c'est le mystère qui plane au-dessus d'une femme incomprise d'elle-même, et rejetée par les autres précisément pour ces raisons. Le mécanisme du masque (de la froideur) est ici brillamment disséqué [...].
Le Parisien
Une ouverture à la vie, aux autres et à elle-même finement jouée, en suivant une partition qui va crescendo.
Transfuge
[...] un magnifique film sur la liberté.
Cahiers du Cinéma
On sait bien depuis Haneke que les pianistes souffrent de psychorigidité. Mais ce qui sauve Lara de la caricature, et du même coup le film de Jan-Ole Gerster de son penchant pour la sévérité, c’est l’humour.
Critikat.com
En s'emparant de cette relation pernicieuse entre un fils et sa mère, Jan-Ole Gerster tisse une fable touchante et monstrueuse autour d'une vie vécue par procuration.
Elle
Lara Jenkins nous émeut par sa pudeur maternelle.
Femme Actuelle
Une très belle balade émotionnelle.
Franceinfo Culture
"Lara Jenkins" confirme le tact avec lequel son réalisateur Jan-Olen Gerseter brosse ses portraits psychologiques.
L'Express
On pourrait craindre une oeuvre "psychologisante", mais le long-métrage s'autorise quelques moments d'une légèreté assez atypique. Et surtout, il y a Corinna Harfouch exceptionnelle.
L'Humanité
D’où un drame languissant et lancinant, si l’on veut, mais qui ne manque pas de dynamique ou, pour reprendre une terminologie musicale, qui a la vivacité fantasque d’un scherzo. Un scherzo molto furioso, bien entendu.
La Voix du Nord
Froide, égoïste, mais aussi fragile et touchante, Corinna Harfouch nous bouleverse dans ce rôle de mère toxique. Une journée de rencontres et surtout, le bilan d’une vie : cinquante années de certitudes qui s’effondrent en une seconde, en une phrase.
Les Inrockuptibles
Une ode à la liberté du corps et des sentiments qui achève de faire de "Lara Jenkins" une œuvre surprenante et réjouissante.
Marie Claire
Disciple du cinéma de Haneke (mais en plus humain, plus subtil et plus mouvant), le jeune et inconnu Jan-Ole Gerster sonde la psyché de cette femme mûre, exigeante artistiquement mais aussi destructrice, et déroule en creux une réflexion aiguë sur l'art et la création.
Positif
Le film épate par sa maîtrise de la temporalité, à la fois brève et longue, distendue et circulaire, comme par son refus des conventions.
Sud Ouest
Si la mise en scène de Jan-Ole Gerster offre à ses personnages une chambre de résonance subtile, le script, écrit par le Slovène Blaz Kutin, saisit avec finesse tout ce qui se joue dans une relation aussi étroite entre un fils et sa mère, où s’affrontent le talent et le doute.
Télérama
Avec un sens pointilliste du détail et une mise en scène d’une précision chirurgicale, Jan-Ole Gerster parvient à l’identification d’une femme : l’effroi des rapports sadomasochistes entre une mère et son enfant s’impose cruellement devant cette partition en sourdine, portée par Corinna Harfouch, la Isabelle Huppert allemande, impressionnante de dureté blessée.
aVoir-aLire.com
Le réalisateur d’Oh Boy fait un sans-faute avec ce portrait terrible d’une femme, à l’orée de ses soixante ans, interprétée par une Corinna Harfouch avec une rare intensité.
Bande à part
La richesse du film réside dans l’écriture de son personnage et dans la justesse de l’interprétation délivrée par Corinna Harfouch.
L'Obs
C’est du cinéma allemand : dans un style austère et un cadre fixe, les personnages entrent, disent ce qu’ils ont à dire, et sortent. La fin du film, très réussie, laisse le spectateur sur une impression de grâce momentanée. Et bien venue.
Le Figaro
Intéressant, mais un peu lourd dans le traitement et l’interprétation.
Le Journal du Dimanche
Avec une rigueur subtile à la Haneke, Jan Ole Gerser filme sans jamais la lâcher cette femme élégante, froide et anguleuse comme les quartiers de Berlin qu’elle arpente en quête de réponses et d’identité.
Les Fiches du Cinéma
Portrait intelligent mais glacé d’une femme face à l’effondrement de ses certitudes.
Le Monde
Loin de s’engouffrer dans la complexité de son héroïne, le film la condamne à n’être qu’un cliché figé : celui d’une femme d’autant plus acariâtre qu’elle gagne en âge, sacrifiée par le film.
Libération
Jan-Ole Gerster a de la compassion, semble-t-il, pour son personnage de matriarche aux abois [...]. Mais la compassion qu’on pensait nous-mêmes avoir en stock finit par manquer face à son calvaire si pesamment pétri de clichés.
Première
Jan-Ole Gerster fait ici preuve de la même maîtrise dans la conduite de son récit que dans Oh Boy, qui l’a révélé en 2012, mais sans pour autant confirmer les espoirs placés en lui. Car le fait de donner à vivre cette histoire dans la tête d’une héroïne à ce point glaciale crée une distance émotionnelle qu’il se montre incapable de briser.