Mon compte
    Licorice Pizza
    Note moyenne
    3,7
    6211 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Licorice Pizza ?

    378 critiques spectateurs

    5
    47 critiques
    4
    98 critiques
    3
    94 critiques
    2
    74 critiques
    1
    46 critiques
    0
    19 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Lizzie Bennet
    Lizzie Bennet

    10 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 juillet 2023
    Une douce ode au cinéma et à l'absurde menée par deux interprètes remplis de fraîcheur. Licorice Pizza amuse et surprend dans sa représentation d'une romance adolescente complètement déjantée, tout en en laissant pleins les yeux aux spectateurs avec une virtuosité et une construction séduisante. Voici une comédie qui nous laisse un sentiment de joie au cœur !
    Michaël
    Michaël

    5 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 juillet 2023
    Ça fait mal quand on attend de regarder un film depuis un long moment, qu'on se le met de côté bien au chaud pour le moment idéal, que ce moment arrive et que le film n'est pas à la hauteur de nos espérances. Enfin, il y a de très bonnes choses dedans, à commencer par la prestation de Alana Haim qui est parfaite. Mais le gros point noir pour moi c'est Cooper Hoffman. Son personnage est tellement arrogant, obsédé et prétentieux que pour moi ça a tout gâché. Je n'ai pas pu croire une seule seconde qu'Alana puisse tomber amoureuse de lui. Et là encore je ne parle pas du physique de la personne qui est à mille lieues de ce qu'elle pense qu'il est !! Soit dit en passant, il n'a absolument pas le charisme et le talent de son regretté père. Superbe prestation de Bradley Cooper qui a un rôle improbable. Et chapeau bas à Tom Waits et Sean Penn.
    Nadia T
    Nadia T

    3 abonnés 404 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 juin 2023
    Bien film original et très drôle par moment même si je trouve qu'il part un peu dans tous les sens... Je recommande
    Shiki
    Shiki

    69 abonnés 187 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 juin 2023
    Pas mal.. plutôt pour la forme que le fond. L'histoire ne me fait pas lever un sourcil, le rythme est planplan mais la réalisation est soignée et le film , porté par une interprète très convaincante pour son premier long métrage. C'est joli et sympa à regarder, mais ça n'a rien d'innovant
    Ewen Blake
    Ewen Blake

    138 abonnés 1 171 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 mai 2023
    C'est l'histoire d'une histoire d'amour qui ne filme pas l'amour, seulement ses symptômes les plus laids : l'utilisation de l'autre et la jalousie.

    - Cette critique contient des spoilers -

    Je n'ai pas compris Licorice Pizza, trop riche et trop peu didactique pour moi.

    Je n'ai pas cru dans son étrange duo et encore moins dans leur histoire d'amour. Je ne suis pas rentré tout court dans une histoire aux scènes invraisemblables auxquelles je n'ai trop souvent rien compris (mention spéciale au resto japonais). Même le titre je viens juste de le comprendre, comme il désigne un magasin de musique, j'imagine que la pizza au reglisse représente simplement... un vinyl.

    LE STYLE PTA
    Quand on regarde Paul Thomas Anderson, on sait que les liens scénaristiques ne se dénouent jamais et que les situations vont rester en suspens, ne pas se résoudre. Cela n'empêche pas d'être déstabilisé devant un scenario qui balance des idées dans tous les sens sans les utiliser.


    LOS ANGELES, L'AMERICAN DREAM, LES SEVENTIES
    Au-delà des incohérences sur lesquelles je reviendrais, il y a beaucoup de choses qui m'ont gêné dans le récit. Déjà le cadre : le San Fancisco des années 70. Je n'ai aucune affection particulière ni dans cette période, ni dans cette ville régulièrement sacralisées par de vieux bourgeois, producteurs et réalisateurs hollywoodiens qui nous déversent leur vision nostalgique et fantasmée d'un âge d'or qui n'intéresse qu'eux... ou presque. Par chance, les critiques cinéma ont le même âge et la même sensibilité pour leurs années de jeunesse.

    Il y a aussi l'héroïsation du pognon étalé à profusion sur une table, et avec lui celui, tellement contemporain, de l'entrepreneur. Même l'échec de l'entreprise de matelas gonflable n'est jamais filmé négativement. Au contraire, son dernier coup est d'un "panache" dingue puisque Gary tient tête à Bradley Cooper, vandalise sa baraque et fracasse sa voiture.

    Cet apologie du business et du rêve américain se traduit aussi par la personnalité du héros : le gamin sous éduqué mais avec un aplomb dingue qui flaire les bons coups vient "sauver" de sa vie miteuse une photographe ratée vivant encore chez son père.

    PTA filme l'hypocrisie des castings de recrutement et n'en réalise presque plus lui-même. Les bourgeois n'étant jamais aussi bien servi que par eux-mêmes, il a donné son premier rôle (au mérite) au fils d'un ami : Philip Seymour Hoffman. Il révèle d'ailleurs dans une interview que ce dernier s'est ridiculisé lors de ses débuts. Cela ne l'empêche pas de trouver sa prestation "amazing".


    DES PERSONNAGES ET UNE HISTOIRE (D'AMOUR) INVRAISEMBLABLES
    Commençons par le politicien car il est vraiment caricatural. Je ne sais pas si c'est un problème de performance d'acteur ou de construction de personnage (probablement les deux) mais il m'a suffit de le voir marcher pour savoir qu'il n'avait aucune chance, de le voir expliquer laborieusement pourquoi il n'avait pas de copine pour comprendre qu'il n'avait pas la stature d'un homme politique et de le voir oublier ses clefs et son portefeuille pour confirmer que Joel Wachs était une création scénaristique invraisemblable qui ne pouvait exister que dans un film. Mais l'étrangeté de cet homme n'est rien comparé à notre couple : la seule authenticité de Licorice Pizza vient du physique de ses vedettes : Gary a de l'acné et Alana n'est pas un avion de chasse. Ca fait du bien.

    Seulement le gamin de 15ans se comporte comme un business man de 30 et Alana qui en a 25 comme une gamine de 12. Les dialogues alternent entre une justesse bluffante et un surréalisme absolu : tu ne peux pas à la fois ne pas aborder le sujet de la religion avant d'amener ton petit copain chez toi (surtout si tu es juif, surtout si à 25 ans ton père te traite comme une ado, surtout dans la famille d'Alana) et si tu le fait tu ne peux pas avoir sa réaction outragée "you're circumcised, so you're A FUXXXING JEW". C'est juste pas crédible, on y croit pas.

    On a aussi ce premier date surréaliste dans un resto huppé. Gary, 15 ans ouvre la conversation avec un "What's your plan ?" QUI demande "quels sont tes projets ?" à son crush ? Personne et certainement pas un gamin de 15 ans. Le nombre de conversation et scènes invraisemblables m'ont vraiment empêché de croire dans ces personnages. Idem avec Bradley Cooper qui craignant de voir sa maison saccagée met la pression à Gary mais ne demande pas au majordome de les surveiller (notez que je ne relève pas les 5min sur Barbara Streisand tout aussi hallucinés).

    Et puis certes le réalisateur fait le choix d'une héroïne qui ne soit pas une top model et tant mieux mais il lui applique les mêmes attributs hollywoodiens : pendant 2H30, Alana séduit tout ce qui bouge à l'écran depuis l'enfant star de 15ans jusqu'à Bradley Cooper en passant par une Sean Penn.

    Cela nous permet d'arriver au problème principal de Licorice Pizza, au-delà des personnages inconsistants, cette histoire d'amour n'en est pas une. Les "infidélités" (systématiquement avortées) du couple semblent l'unique ressort de leur relation dans laquelle je n'ai jamais cru. Le montage ne nous montre pas leur amour naissant, seulement leur jalousie. A quel moment communient-ils, partagent-ils quelque chose ? Jamais ou presque. Par contre on les voit ne pas y croire (Alana au resto, Alana qui trouve bizarre de trainer avec des gamins de 15ans ou regarde Gary et ses potes masturber un jerricane). Leurs interactions sont terriblement toxiques : Alana est traité par Gary comme un asset commercial tout au long du film que ce soit au téléphone ou en maillot de bain en boutique. Leur histoire d'amour se résume à multiplier les tentatives d'aller voir ailleurs et se reprocher de le faire. Du coup lorsqu'Alana poursuit la voiture de police et que Gary se précipite après la chute en moto : on se demande pourquoi ils courrent.


    DES FULGURANCES
    - De dialogues : Elena a Sean Penn "are we in a movie ?"
    - Scène (parodique) de retrouvaille devant un cinéma
    - La sublimation de plans éculés : les mains qui se touchent sur le matelas à eau.
    - La BO rock, c'est pas les titres les moins confidentiels mais comment ne pas jouir d'échapper au désormais incontournable trio de l'apocalypse auditif RAP, RnB, Pop ?
    - La forme : les travellings horizontaux, les gros plans omniprésents et l'extraordinaire scène où Alana tient la chandelle au restaurant
    - Les plans qui fourmillent de détails porteurs de sens : Gary, énorme, attendant son audition mais déjà visiblement trop vieux pour le métier d'enfant acteur
    - F.B : "Le choix de filmer des événements et scènes qui ne soient pas capitalisés narrativement dans l'histoire d'amour"
    - F.B : "PTA se pose contre l'ordre narratif et l'idée que la vie et le réel ne pourrait se saisir que sous le régime de l'histoire et de la narration. Il privilégie la situation, la séquence au récit. Ses scènes ne constituent pas de jalon, ne font pas avancer l'histoire."
    Martialkendall
    Martialkendall

    4 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 mai 2023
    C’est extraordinaire de raconter autant en racontant si peu. Parce quand même, l’histoire tient sur un papier à cigarette mais le résultat est dément, charmant, addictif, l’époque magnifiquement retranscrite.. et Bradley Cooper m’a éclaté !
    Naranjad Dixxde
    Naranjad Dixxde

    4 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 avril 2023
    Bof , beaucoup d'engouement pour un film sans grand interet au final, une durée de 10 minutes aurait suffit pour dire ce qu'il y avait a dire.
    Z20050527155857987239172
    Z20050527155857987239172

    1 abonné 47 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 avril 2023
    J'ai attendu un moment pour voir si le film allait décoller. Mais non. C'est déconcertant. Les comportements ne semblent pas du tout naturel, ce n'est pas fluide. Quant à l'histoire, elle a assez peu d'intérêt...
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    145 abonnés 905 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 avril 2023
    Paul Thomas Anderson est un réalisateur que je connais que trop peu. Dans ce film, il donne à voir une version plus originale de la romance et du film plus ou moins autobiographique. La mise en scène est vraiment excellente, les dialogues intelligents et réalistes, la BO cool et des acteurs inconnus et qui s'éloignent des carcans habituels de beauté en faisant des prestations admirables. Et les cameos de Sean Penn et Bradley Cooper sont excellents ! Même si l'histoire reste assez simple, j'ai bien apprécié et je loue la réalisation.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 février 2023
    Paul Thomas Anderson nous plonge tout droit dans les années 70 au travers de Licorice Pizza, une romance délirante dotée d'une mise en scène absolument superbe. Porté par un duo fantastique, qui brise en quelque sorte le paradigme de la beauté pour le remplacer par celui du charisme, le récit est une sorte de va-et-vient amoureux entre ces deux personnages quelque peu déjantés. Le réalisateur se lâche complètement pour notre plus grand bonheur, en leur faisant croiser la route des influenceurs de l'époque, star de cinéma, homme politique, dans des multiples passages haut-en-couleur, souvent humoristiques, à l'image des acrobaties d'un Sean Penn habité... Du grand art !
    Caro aime le bon ciné
    Caro aime le bon ciné

    6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 février 2023
    Un beau coup de coeur pour ce film quelque peu long mais suffisamment lumineux et inspirant pour ressentir du bonheur. Une belle création qui apporte un grain de folie, de l'espièglerie, du romantisme et sans limite dans sa déclaration d'amour aux années 70.
    charly thebest
    charly thebest

    3 abonnés 108 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 février 2023
    Film sans intérêt. Trop long, scénario très pauvre. Qu est ce que font Sean Penn et Bradley Cooper dans ce navet. Mise à part l excellent There Will Be Blood, ça fait plusieurs fois que Anderson me déçoit.
    Bdfoucher
    Bdfoucher

    46 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 janvier 2023
    Un bon mélo vintage, bien ficelé et plein de gaité avec une bande son avec les tubes des années 70 en vogue en Californie, à LA plus précisément, où se déroule l'essentiel du film.

    Gary Valentine (Cooper Hoffman) 15 ans, culotté et sympathique, tombe amoureux au premier regard de Alana Kane (Alana Haïm) , photographe de 25 ans qui s'étiole à prendre des clichés dans les lycées. Gary se déclare très vite mais la sauce ne prend pas.

    Gary qui est entreprenant emmène Alana (comme chaperon légal ) à NYC où il passe des auditions puis il l'associe (comme garante majeure) à ses idées multiples de business dans une société où il est possible d'entreprendre comme on respire.

    L'attirance/dépendance se bâtit petit à petit quand Gary monte une entreprise de matelas dernier cri, remplis d'eau. Ensemble ils participent à des virées épiques, sur fond de pénurie d'essence liée aux tensions au Moyen Orient. Alana plus mûre et qui a grandi dans une famille juive (les trois sœurs du groupe Haïm sont à l'écran dans le rôle des trois sœurs Kane), a vécu en Israël est sensible au climat politique.
    Mais Gary en Californie n'en a cure et lance un palais du flippeur...

    Alana essaie bien de lui échapper en rejoignant un jeune politicien en vogue, Joël Watch, qui la déçoit pour n'être pas capable d'assumer son homosexualité et donc ses idées. Elle tranche finalement pour Gary, intrépide et constant, et l'histoire finit par un baiser partagé.

    Comme toujours, le réalisateur Paul Thomas Anderson , cinéaste ultra oscarisé et qui traîne une réputation d'expérimentateur créatif, est précis. Le scénario est bien conduit pour n'être pas qu'une histoire d'amour de plus de deux heures. La phographie est claire et la musique de fond à l'unisson. On se sent bien dans ce film surtout si on connaît cette époque beaucoup moins moralisatrice que l'Amérique d'aujourd'hui.

    C'est d'ailleurs sans doute à dessein que le paradis perdu est ainsi montré .

    A voir donc.
    Adrien Bletton
    Adrien Bletton

    4 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 janvier 2023
    Douce fresque régressive dans l’adolescence colorée de jeunes américains mid 60’s.
    Si certaines scènes semblent relever davantage d’un élan égoïste du réalisateur que d’une véritable étape justifiée au service de l’intrigue, Paul Thomas Anderson parvient, comme souvent, à nous embarquer dans son dessein personnel.
    Partant du point A pour arriver au point A, le scénario privilégie la contemplation et le bon mot à l’intrigue trépidante et mystérieuse. S'accommodant de certaines facilités entrepreneuriales, il n’est pas tant question de progression sociale ou professionnelle que d’une stagnation relationnelle. Le film ne s’attarde pas sur l’ascension des personnages mais bien sur leur relation qui survit à toutes formes de péripéties.
    En s’attaquant au du teen movie, PTA n’en révolutionne pas le genre, mais en expose une vision plus intéressante et touchante.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    955 abonnés 4 885 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 janvier 2023
    Un long entre deux jeunes dans les années 70.
    A la base, ce n'est pas très vendeur, et quand on le regarde, ça nous laisse de marbre. Long, lassant et banal.
    On cherche à s'accrocher à une petite émotion mais elle ne viendra pas.....
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top