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Votre avis sur Licorice Pizza ?
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Film long et ennuyeux. Il n'y a rien dans les scènes et dialogues qui suscitent le moindre intérêt. Pendant 2 heures on se dit qu'il va ENFIN se passer quelques choses ! mais non....
Le niveau de notation par la presse et les spectateurs est très sur-évalués.
Le niveau de notation par la presse et les spectateurs est très sur-évalués.
Beaucoup trop long. Certaines séquences sont vraiment superflues (notamment les vieux acteurs sur le retour, Sean Penn et Bradley Cooper cabotins à pleurer) et il y a trop de disgressions qui coupent le fil (très ténu) de l'intrigue. Deux bons acteurs, mais ils passent trop de temps à galoper dans tous les sens ... Bonne bande son, belles couleurs vieille époque, mais cela ne suffit pas à faire un grand film.
70 fois décevant
A l’instar de *Boogie Nights,* où PTA questionnait les 70s et 80s au travers de l’industrie pornographique, *Licorice Pizza*, lui, se perd dans la juxtaposition de scènes parfois drôles souvent quelconques.
Les ouvertures des deux films sont d’ailleurs similaires dans leur forme mais divergente sur le fond. Celle de *Boogie Nights* offrait un vision d’ensemble de nos personnages et initiait les doutes et aspirations de chacun avec brio et inventivité alors que le presque plan séquence de *Licorice Pizza* ne peint que la rencontre de nos personnages dans leur petit monde. On pourrait d’ailleurs résumer le film à celui-ci : techniquement très bien réalisé et maniériste (jeu de miroir pour présenter nos protagonistes dans le même plan), une direction d’acteur toujours à la hauteur (Alana Haim au début envoutante mais pas jusqu’à la fin) et une intrigue de teen-movie sans l’inconvénient d’être attardé mais sans non plus l’avantage de projeter des idées ou des sentiments intéressants.
2h14 durant lesquelles nous suivons nos deux juvéniles dans le Los Angeles des années 70s surexposé. Les scénettes se suivent, les liens entre elles sont disparates, certes on rigole élégamment, et à la fin on ne passe pas un mauvais moment, mais on ne sait pas pourquoi ce moment passe ni quoi en retirer. Il convient alors de perdre plus de temps à comprendre l’attrait du film en égrainant les sites sur lesquels on cherche des nombreuses anecdotes sur le tournage :
- Cooper Hoffman fils de l’acteur fétiche
- Alana Haim chanteuse d’un groupe dont PTA réalise les clips
- Brad Cooper en Jon Peters
- Sean Penn en William Holden
- Licorice pizza, référence à un magasin de vinyles
- Filmé en 35mm et production de bobine gonflé en 70mm
- etc...
Avec ce film, Paul Thomas Anderson donne l’impression d’un réalisateur, certes incontournable, mais qui par moment passe plus de temps à dialoguer et regarder son égo que son public. En un mot : un film caprice.
En voyant *Licorice Pizza*, on se dit finalement que l’industrie du cinéma doit se porter à merveille pour que celle-ci finance un film de 40 millions de dollars dont en fin de compte, la seule finalité est de filmer les 70s sous couvert de pérégrinations adolescentes.
A l’instar de *Boogie Nights,* où PTA questionnait les 70s et 80s au travers de l’industrie pornographique, *Licorice Pizza*, lui, se perd dans la juxtaposition de scènes parfois drôles souvent quelconques.
Les ouvertures des deux films sont d’ailleurs similaires dans leur forme mais divergente sur le fond. Celle de *Boogie Nights* offrait un vision d’ensemble de nos personnages et initiait les doutes et aspirations de chacun avec brio et inventivité alors que le presque plan séquence de *Licorice Pizza* ne peint que la rencontre de nos personnages dans leur petit monde. On pourrait d’ailleurs résumer le film à celui-ci : techniquement très bien réalisé et maniériste (jeu de miroir pour présenter nos protagonistes dans le même plan), une direction d’acteur toujours à la hauteur (Alana Haim au début envoutante mais pas jusqu’à la fin) et une intrigue de teen-movie sans l’inconvénient d’être attardé mais sans non plus l’avantage de projeter des idées ou des sentiments intéressants.
2h14 durant lesquelles nous suivons nos deux juvéniles dans le Los Angeles des années 70s surexposé. Les scénettes se suivent, les liens entre elles sont disparates, certes on rigole élégamment, et à la fin on ne passe pas un mauvais moment, mais on ne sait pas pourquoi ce moment passe ni quoi en retirer. Il convient alors de perdre plus de temps à comprendre l’attrait du film en égrainant les sites sur lesquels on cherche des nombreuses anecdotes sur le tournage :
- Cooper Hoffman fils de l’acteur fétiche
- Alana Haim chanteuse d’un groupe dont PTA réalise les clips
- Brad Cooper en Jon Peters
- Sean Penn en William Holden
- Licorice pizza, référence à un magasin de vinyles
- Filmé en 35mm et production de bobine gonflé en 70mm
- etc...
Avec ce film, Paul Thomas Anderson donne l’impression d’un réalisateur, certes incontournable, mais qui par moment passe plus de temps à dialoguer et regarder son égo que son public. En un mot : un film caprice.
En voyant *Licorice Pizza*, on se dit finalement que l’industrie du cinéma doit se porter à merveille pour que celle-ci finance un film de 40 millions de dollars dont en fin de compte, la seule finalité est de filmer les 70s sous couvert de pérégrinations adolescentes.
Paul Thomas Anderson nous immerge encore une fois dans une époque, un lieu et on reste ébahi devant la beauté de ces images, l'absurdité drôle des situations et la sincérité de ces deux jeunes amants qui courent, se cherchent, à la poursuite d'eux mêmes
Une merveille ! Ça peut sembler vain pour certains mais ce récit d'une jeunesse qui se court (littéralement) après au début des années 70, avec les boires et les déboires de la vie et de l'amour est sublime. Entre légèreté, tendresse, doute et mélancolie, un film solaire aussi drôle que touchant, porté par deux jeunes acteurs merveilleux.
Trop de longueur ! Bon film ce si dit.
Le réal a voulu trop en faire à mon sens, le film semble parfois décousus, mais détient dés scène pépite.
N'oublions pas une esthétique certaine, qui ne nous mentons pas est très très stylé !
à vous de voir ;)
Le réal a voulu trop en faire à mon sens, le film semble parfois décousus, mais détient dés scène pépite.
N'oublions pas une esthétique certaine, qui ne nous mentons pas est très très stylé !
à vous de voir ;)
Un film avec des longueurs et des incohérences tout au long de l'histoire. Les décors et les physiques inhabituels de certains acteurs sont les seuls points positifs à mon sens. L'enchaînement de certaines situations est inintelligible et certaines rencontres n'ont aucun sens. On ne sait pas trop ce que le réalisateur cherche à dire dans cette comédie romantique entre une adulte et un adolescent : une histoire de rêve ou une justification de l'amour interdit ?
J'ai trouvé ce film tellement bon, ça m'a fais du bien , les acteurs sont géniaux spécialement l'actrice , le thème es léger et très bien traité c'est drôle et émouvant j'ai adoré.
Un petit bijou, courrez-y ! L'ambiance des années 70, les émois des personnages, l'humour, du susoence aussi, des rôles, hauts en couleurs... On ne s'y pas ces, 2h13 passer.
Esthétiquement indiscutable et empreint d'une nostalgie forte, ce film crée le cadre parfait pour une histoire d'amour profondément personnelle et attendrissante... mais pas que. Merci pour les années 70, les matelas à eau, les Doors et Paul Thomas Anderson :).
Jeu boursouflé, mise en scène autosatisfaite et coeur émotionnel inexistant. Un film que chantilly. La branlette ultime.
C'est bien, mais que c'est long.
On ne sait jamais vraiment sur quel pied danser, beaucoup de debut d'intrigue, contemplatif sans l'etre, des relations de partout et jamais tres claires, doit on subir la vie des personnages ? Tout ca pourrait tres bien etre un propos, et je pense que c'est le cas, mais la aussi rien n'est vraiment clair.
Au final beaucoup de baillement et d'envie de regarder la montre, mais au final un sourire en sortie de salle et en y repensant.
On ne sait jamais vraiment sur quel pied danser, beaucoup de debut d'intrigue, contemplatif sans l'etre, des relations de partout et jamais tres claires, doit on subir la vie des personnages ? Tout ca pourrait tres bien etre un propos, et je pense que c'est le cas, mais la aussi rien n'est vraiment clair.
Au final beaucoup de baillement et d'envie de regarder la montre, mais au final un sourire en sortie de salle et en y repensant.
Attention : vendu d'ores et déjà comme le meilleur film de 2022, Licorice Pzza en est plutôt le plus survendu. Mise en scène brillante mais scénario sans intérêt. Et c'est, hormis Inhérent vice, un fan de PTA qui parle!
C’est ennuyeux à mourir, j’en ai mal derrière les paupières. Le scénariste a réussit à écrire une histoire plate et à la fois décousue. Les dialogues sont sans intérêt et il n’y a aucun rebondissement. On ne comprend vraiment pas où le réalisateur veut en venir: En conclusion, la seule saveur venait du hot dog que j’ai eu la présence d’esprit d’acheter avant que cette daube ne débute.
Retour du grand Paul Thomas Anderson avec un teen movie sublimer à sa façon. Une histoire d’amour basique qui en devient un scénario original très sympathique avec une apparition de Sean Penn puis de Bradley Cooper pour bien marquer les esprits par leur folie. Premier film pour l’acteur et l’actrice principaux et waouh, ils crèvent l’écran par leur talent et leur beauté mise en valeur par le réalisateur. Après Phantom Thread, la masterpiece selon moi de Paul Thomas Anderson, il revient avec un film très esthétique et apaisant mais malheureusement trop long dans la deuxième partie. En effet, la première partie du film était très dynamique et bien faite grâce à l'histoire et les chansons parfaitement choisies mais la 2nde est beaucoup plus lente et ennuyeuse. La fin est bien mais trop précipitée et bâclée salon moi, le film aurait donc pu être beaucoup mieux à mon goût. Comme d'habitude, les films de ce réalisateur manquent de profondeur et de dialogues plus touchants et poussés. Ici, le scénario manque d'intrigue et d'un objectif pour que le film avance mieux et soit davantage intéressant.
Je pense que pour apprécier ce film, il faut connaitre en amont la filmographie de Paul Thomas Anderson et son travail sur l’esthétisme plutôt que la profondeur du scénario.
Je pense que pour apprécier ce film, il faut connaitre en amont la filmographie de Paul Thomas Anderson et son travail sur l’esthétisme plutôt que la profondeur du scénario.
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