Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Que se cache-t-il sous ce titre euphonique, dont la signification – en français : « pizza à la réglisse » – torpille d’emblée tout esprit de sérieux ? Avec sa comédie seventies Licorice Pizza, Paul Thomas Anderson et ses formidables interprètes, Alana Haim et Cooper Hoffman en tête, nous embarquent dans un chassé-croisé amoureux traversé par une énergie juvénile, un vent de liberté et un charme certain, dont on ressort l’âme enjouée.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Jérôme Momcilovic
Licorice Pizza vous laisse dans un état de sidération douce et paradoxale. Douce en raison de la douceur du film lui-même (...) se déployant ici, sous les atours d’une romance légère et vintage, avec une limpidité nouvelle et bienfaisante (...) Paradoxale, tant on ne sait trop ce qui sidère ici, de la maîtrise d’un cinéaste sûr de son geste comme jamais, ou de la simplicité désarmante qui en est devenue l’horizon.
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet & Olivier Rossignot
Ample et intimiste, "Licorice Pizza", s’inscrit instantanément comme une romance singulière et inoubliable doublée d’un extraordinaire teen movie.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
GQ
par Ulf Pape
Licorice Pizza n’a pas commencé depuis dix minutes qu’on a déjà compris une chose : une nouvelle star hollywoodienne est née. Du moins, c’est ce que prétend Gary, 15 ans. [...] Et c’est précisément de ce scepticisme adulte face à la liberté de l’insouciance juvénile que traite le merveilleux nouveau film de Paul Thomas Anderson, Licorice Pizza.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Obs
par Nicolas Schaller
C’est toute la beauté de « Licorice Pizza » que de chroniquer ainsi la ville en épousant les sautes d’humeur et poussées d’hormones de Gary et Alana.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Lucas Charrier
Paul Thomas Anderson poursuit la veine sentimentale d’un cinéma qui a su se réinventer de la plus douce des manières. Avec le récit d’une rencontre entre un adolescent doux rêveur et une femme de dix ans son aînée, il signe aujourd’hui son film le plus solaire et attendrissant.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Dans un long métrage virevoltant, Paul Thomas Anderson conte l'histoire d'amour de deux adolescents, portés par des acteurs éblouissants.
Le Parisien
par La Rédaction
Comédie romantique aussi folle que tendre, réalisée en roue libre par un cinéaste qui manie la mélancolie comme personne, « Licorice Pizza » est de ces films qui laissent une curieuse impression douce-amère à la sortie de la salle…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Plongée dans le Los Angeles des années 1970, le nouveau Paul Thomas Anderson est une splendeur sans queue ni tête. Un grand film romantique d'amour et de jeunesse, absurde et fou.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Amour d’une ville, amour du cinéma, amour d’un jeune couple : Licorice Pizza transfigure la banlieue angeleno des années 1970 en une carte du Tendre moderne et permet à P.T.A. de descendre de sa hauteur, et de faire d’autant briller sa virtuosité prodigieuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Thierry Jousse
Moins intense que Phantom Thread, moins déstructuré qu’Inherent Vice, moins fou que The Master, Licorice Pizza est sans doute à fois le plus aérien, le plus charmeur et le plus trivial de tous les films de PTA.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Paul Thomas Anderson signe un film fantasque et attachant sur les péripéties de deux jeunes Californiens des années 1970. Un concentré de drôlerie et de mélancolie qui inaugure en majesté l’année cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Thierry Chèze
Une magnifique histoire d'amour.
Positif
par Jean-Philippe Domecq
Étrange, foutraque, insaisissable... Licorice Pizza est à l’image de cette ville extraordinaire, guirlande de lumières bigarrées, posée au bord du Pacifique. Cette Licorice Pizza ressemble surtout à son titre, énigmatique, monstrueux et canaille.
Première
par Frédéric Foubert
Licorice Pizza sera donc un film de pur plaisir, loin des casse-tête métaphysiques parfois intimidants dont son auteur avait fini par se faire une spécialité, une balade seventies donnant l’impression d’avoir été tourné les mains dans les poches, un sourire rêveur aux lèvres.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par La Rédaction
Au bout du compte, on détient déjà la comédie romantique de l'année.
Transfuge
par Séverine Danflous
Avec cette ode à la jeunesse, PTA nous offre un pur joyau.
Voici
par Daniel Blois
Dans le Los Angeles des années 1970, la romance contrariée mais solaire entre Gary et Alana fait des étincelles, leurs interprètes affichant une assurance et un charme de superstars.
20 Minutes
par Caroline Vié
Pour cette ballade romantique et farfelue, le cinéaste fait débuter à l’écran à deux interprètes exceptionnels.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un numéro d’équilibriste qui trouve pourtant sa stabilité dans cette fragilité car, comme ses jeunes héros, PTA brille décidément toujours plus dans le lâcher-prise grandiose que dans la maîtrise maladive.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Damien Bonelli
En mêlant jusqu’à les confondre la petite et la grande histoire, Licorice Pizza propose un collage de scènes sublimées par la force du souvenir.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Paul Thomas Anderson lâche totalement prise dans son déroutant Licorice Pizza, épopée amoureuse sinueuse et imprévisible au cœur du Los Angeles rêveur, mais pas si nostalgique, des 70s. C'est délicat, drôle, libre, hors-norme, plein d'amour et mené par le sublime duo Alana Haim-Cooper Hoffman.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Une comédie virtuose où l'ambiance des seventies est fort bien recréée.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Plus que l'histoire, c'est le ton qui séduit, l'esprit des dialogues et le charme rétro du contexte. Un bonbon.
Filmsactu
par La Rédaction
Inventif, touchant et lumineux, Licorice Pizza ou les zigzags amoureux de Gary Valentine et Alana Kane est le film idéal pour ce début d'année compliquée. Il réconciliera sans faute tous les spectateurs que PTA avait perdu depuis de nombreuses années.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Humanité
par Michaël Melinard
Anderson assume totalement la fiction, tout en y installant une importante dose d’effets du réel. Émerge également une subtile métaphore autour des valeurs revendiquées du capitalisme états-unien et de l’enrichissement individuel qui considère le travail infantile comme potentiellement émancipateur.
La Croix
par Céline Rouden
Hymne à l’enfance et à une Amérique de tous les possibles, ce film virtuose déjoue toutes les conventions du genre pour nous entraîner dans une balade poétique et fantaisiste au charme nostalgique tenace.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Licorice Pizza a la fougue et l’innocence d’un premier film. Paul Thomas Anderson ne nous avait pas habitués à cette candeur, à cet optimisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Une bulle de bonne humeur et d'optimisme forcené née de l'imagination d'un cinéaste qui nous a habitués à plus de gravité et de noirceur. Tout ça dans une atmosphère empreinte d'une belle nostalgie.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Luc Chessel
Licorice Pizza ruisselle de nostalgie luisante, semblant reconstituer l’expérience d’une totalité perdue, en même temps qu’il s’en libère à chaque plan, laissant l’âge d’or chelou qu’il arpente retourner au néant qu’il remue.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Sophie Avon
Avec une vraie capacité à encercler de flou ce rapport primal, instinctif, qu’est le sentiment amoureux, Paul Thomas Anderson scrute ses personnages en gros plans, avide de leurs beaux visages singuliers.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
En rupture avec les clichés du genre, l’éducation sentimentale de ses antihéros remplace l’eau de rose par un précieux sérum de vérité. Quel beau film !
Télé Loisirs
par Marc Arlin
Paul Thomas Anderson retrouve la fougue de ses premières œuvres avec ce charmant récit d'initiation, somptueusement mis en scène et formidablement incarné par deux acteurs débutants, dont le fils du regretté Philip Seymour Hoffman.
Télérama
par Louis Guichard
Ainsi Paul Thomas Anderson, longtemps considéré comme un héritier de Robert Altman, par son cynisme et sa causticité, réussit-il sa conversion à la douceur, et signe la plus insolite, la plus inattendue des comédies romantiques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Déroutant et attachant, le nouveau Anderson décline l’amour dans une Amérique du milieu des années 70 prête à succomber à tous les excès.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
Que se cache-t-il sous ce titre euphonique, dont la signification – en français : « pizza à la réglisse » – torpille d’emblée tout esprit de sérieux ? Avec sa comédie seventies Licorice Pizza, Paul Thomas Anderson et ses formidables interprètes, Alana Haim et Cooper Hoffman en tête, nous embarquent dans un chassé-croisé amoureux traversé par une énergie juvénile, un vent de liberté et un charme certain, dont on ressort l’âme enjouée.
Cahiers du Cinéma
Licorice Pizza vous laisse dans un état de sidération douce et paradoxale. Douce en raison de la douceur du film lui-même (...) se déployant ici, sous les atours d’une romance légère et vintage, avec une limpidité nouvelle et bienfaisante (...) Paradoxale, tant on ne sait trop ce qui sidère ici, de la maîtrise d’un cinéaste sûr de son geste comme jamais, ou de la simplicité désarmante qui en est devenue l’horizon.
Culturopoing.com
Ample et intimiste, "Licorice Pizza", s’inscrit instantanément comme une romance singulière et inoubliable doublée d’un extraordinaire teen movie.
GQ
Licorice Pizza n’a pas commencé depuis dix minutes qu’on a déjà compris une chose : une nouvelle star hollywoodienne est née. Du moins, c’est ce que prétend Gary, 15 ans. [...] Et c’est précisément de ce scepticisme adulte face à la liberté de l’insouciance juvénile que traite le merveilleux nouveau film de Paul Thomas Anderson, Licorice Pizza.
L'Obs
C’est toute la beauté de « Licorice Pizza » que de chroniquer ainsi la ville en épousant les sautes d’humeur et poussées d’hormones de Gary et Alana.
La Septième Obsession
Paul Thomas Anderson poursuit la veine sentimentale d’un cinéma qui a su se réinventer de la plus douce des manières. Avec le récit d’une rencontre entre un adolescent doux rêveur et une femme de dix ans son aînée, il signe aujourd’hui son film le plus solaire et attendrissant.
Le Monde
Dans un long métrage virevoltant, Paul Thomas Anderson conte l'histoire d'amour de deux adolescents, portés par des acteurs éblouissants.
Le Parisien
Comédie romantique aussi folle que tendre, réalisée en roue libre par un cinéaste qui manie la mélancolie comme personne, « Licorice Pizza » est de ces films qui laissent une curieuse impression douce-amère à la sortie de la salle…
Les Echos
Plongée dans le Los Angeles des années 1970, le nouveau Paul Thomas Anderson est une splendeur sans queue ni tête. Un grand film romantique d'amour et de jeunesse, absurde et fou.
Les Fiches du Cinéma
Amour d’une ville, amour du cinéma, amour d’un jeune couple : Licorice Pizza transfigure la banlieue angeleno des années 1970 en une carte du Tendre moderne et permet à P.T.A. de descendre de sa hauteur, et de faire d’autant briller sa virtuosité prodigieuse.
Les Inrockuptibles
Moins intense que Phantom Thread, moins déstructuré qu’Inherent Vice, moins fou que The Master, Licorice Pizza est sans doute à fois le plus aérien, le plus charmeur et le plus trivial de tous les films de PTA.
Marianne
Paul Thomas Anderson signe un film fantasque et attachant sur les péripéties de deux jeunes Californiens des années 1970. Un concentré de drôlerie et de mélancolie qui inaugure en majesté l’année cinéma.
Ouest France
Une magnifique histoire d'amour.
Positif
Étrange, foutraque, insaisissable... Licorice Pizza est à l’image de cette ville extraordinaire, guirlande de lumières bigarrées, posée au bord du Pacifique. Cette Licorice Pizza ressemble surtout à son titre, énigmatique, monstrueux et canaille.
Première
Licorice Pizza sera donc un film de pur plaisir, loin des casse-tête métaphysiques parfois intimidants dont son auteur avait fini par se faire une spécialité, une balade seventies donnant l’impression d’avoir été tourné les mains dans les poches, un sourire rêveur aux lèvres.
Rolling Stone
Au bout du compte, on détient déjà la comédie romantique de l'année.
Transfuge
Avec cette ode à la jeunesse, PTA nous offre un pur joyau.
Voici
Dans le Los Angeles des années 1970, la romance contrariée mais solaire entre Gary et Alana fait des étincelles, leurs interprètes affichant une assurance et un charme de superstars.
20 Minutes
Pour cette ballade romantique et farfelue, le cinéaste fait débuter à l’écran à deux interprètes exceptionnels.
CinemaTeaser
Un numéro d’équilibriste qui trouve pourtant sa stabilité dans cette fragilité car, comme ses jeunes héros, PTA brille décidément toujours plus dans le lâcher-prise grandiose que dans la maîtrise maladive.
Critikat.com
En mêlant jusqu’à les confondre la petite et la grande histoire, Licorice Pizza propose un collage de scènes sublimées par la force du souvenir.
Ecran Large
Paul Thomas Anderson lâche totalement prise dans son déroutant Licorice Pizza, épopée amoureuse sinueuse et imprévisible au cœur du Los Angeles rêveur, mais pas si nostalgique, des 70s. C'est délicat, drôle, libre, hors-norme, plein d'amour et mené par le sublime duo Alana Haim-Cooper Hoffman.
Elle
Une comédie virtuose où l'ambiance des seventies est fort bien recréée.
Femme Actuelle
Plus que l'histoire, c'est le ton qui séduit, l'esprit des dialogues et le charme rétro du contexte. Un bonbon.
Filmsactu
Inventif, touchant et lumineux, Licorice Pizza ou les zigzags amoureux de Gary Valentine et Alana Kane est le film idéal pour ce début d'année compliquée. Il réconciliera sans faute tous les spectateurs que PTA avait perdu depuis de nombreuses années.
L'Humanité
Anderson assume totalement la fiction, tout en y installant une importante dose d’effets du réel. Émerge également une subtile métaphore autour des valeurs revendiquées du capitalisme états-unien et de l’enrichissement individuel qui considère le travail infantile comme potentiellement émancipateur.
La Croix
Hymne à l’enfance et à une Amérique de tous les possibles, ce film virtuose déjoue toutes les conventions du genre pour nous entraîner dans une balade poétique et fantaisiste au charme nostalgique tenace.
Le Figaro
Licorice Pizza a la fougue et l’innocence d’un premier film. Paul Thomas Anderson ne nous avait pas habitués à cette candeur, à cet optimisme.
Le Journal du Dimanche
Une bulle de bonne humeur et d'optimisme forcené née de l'imagination d'un cinéaste qui nous a habitués à plus de gravité et de noirceur. Tout ça dans une atmosphère empreinte d'une belle nostalgie.
Libération
Licorice Pizza ruisselle de nostalgie luisante, semblant reconstituer l’expérience d’une totalité perdue, en même temps qu’il s’en libère à chaque plan, laissant l’âge d’or chelou qu’il arpente retourner au néant qu’il remue.
Sud Ouest
Avec une vraie capacité à encercler de flou ce rapport primal, instinctif, qu’est le sentiment amoureux, Paul Thomas Anderson scrute ses personnages en gros plans, avide de leurs beaux visages singuliers.
Télé 7 Jours
En rupture avec les clichés du genre, l’éducation sentimentale de ses antihéros remplace l’eau de rose par un précieux sérum de vérité. Quel beau film !
Télé Loisirs
Paul Thomas Anderson retrouve la fougue de ses premières œuvres avec ce charmant récit d'initiation, somptueusement mis en scène et formidablement incarné par deux acteurs débutants, dont le fils du regretté Philip Seymour Hoffman.
Télérama
Ainsi Paul Thomas Anderson, longtemps considéré comme un héritier de Robert Altman, par son cynisme et sa causticité, réussit-il sa conversion à la douceur, et signe la plus insolite, la plus inattendue des comédies romantiques.
aVoir-aLire.com
Déroutant et attachant, le nouveau Anderson décline l’amour dans une Amérique du milieu des années 70 prête à succomber à tous les excès.