Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un drame sobre sans esbroufe.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Gilles Renault
[...] tout se joue plutôt mezza voce, dans une forme d’introspection salutaire qui singularise le personnage central, curé vertueux confronté à la vilenie gangrenant un microcosme de brebis égarées qu’il souhaiterait remettre dans le droit chemin.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Denitza Bantcheva
Porté par le jeu intense de ses interprètes, ce film dépeint un univers de désolation et de cruauté, paradoxalement d'autant plus effarant que la mise en scène reste sobre.
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Cette histoire vaut mieux que son vernis ingrat.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Vincenzo Marra a eu raison de choisir la fiction. De traiter du bien et du mal sans manichéisme, ni mièvrerie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Malgré ses défauts, "L’Equilibrio" trouve sa force dans la dureté des faits réels dont il s’inspire, et offre des moments touchants.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Frédéric Strauss
Cet homme isolé, abandonné à sa foi impuissante, personnage vibrant, donne de l’intensité à un film-dossier au réalisme convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Céline Rouden
Dans un film sobre et radical - il n’est composé que de plans-séquences dans lesquels le prêtre franchit des portes et traverse des couloirs qui l’enferment symboliquement - le réalisateur Vincenzo s’interroge sans grande finesse sur la place de l’Église dans la société.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Mathieu Macheret
Fort de sa plongée glaçante dans une zone de nondroit, où seul le trafic de drogue tient lieu de structure sociale, le film s’en remet malheureusement, pour le reste, à la formule morale trop raide d’un réalisme éprouvé et un peu étroit.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si le film dénonce avec gravité la puissance de la mafia dans le sud de l’Italie, la pénurie des moyens et l’austérité de la mise en scène desservent le propos.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
Un drame sobre sans esbroufe.
Libération
[...] tout se joue plutôt mezza voce, dans une forme d’introspection salutaire qui singularise le personnage central, curé vertueux confronté à la vilenie gangrenant un microcosme de brebis égarées qu’il souhaiterait remettre dans le droit chemin.
Positif
Porté par le jeu intense de ses interprètes, ce film dépeint un univers de désolation et de cruauté, paradoxalement d'autant plus effarant que la mise en scène reste sobre.
Cahiers du Cinéma
Cette histoire vaut mieux que son vernis ingrat.
Le Figaro
Vincenzo Marra a eu raison de choisir la fiction. De traiter du bien et du mal sans manichéisme, ni mièvrerie.
Les Fiches du Cinéma
Malgré ses défauts, "L’Equilibrio" trouve sa force dans la dureté des faits réels dont il s’inspire, et offre des moments touchants.
Télérama
Cet homme isolé, abandonné à sa foi impuissante, personnage vibrant, donne de l’intensité à un film-dossier au réalisme convaincant.
La Croix
Dans un film sobre et radical - il n’est composé que de plans-séquences dans lesquels le prêtre franchit des portes et traverse des couloirs qui l’enferment symboliquement - le réalisateur Vincenzo s’interroge sans grande finesse sur la place de l’Église dans la société.
Le Monde
Fort de sa plongée glaçante dans une zone de nondroit, où seul le trafic de drogue tient lieu de structure sociale, le film s’en remet malheureusement, pour le reste, à la formule morale trop raide d’un réalisme éprouvé et un peu étroit.
aVoir-aLire.com
Si le film dénonce avec gravité la puissance de la mafia dans le sud de l’Italie, la pénurie des moyens et l’austérité de la mise en scène desservent le propos.