Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Camille Bui
Ce désir de jouer ensemble, que fait mûrir le souffle estival, n’appartient pas seulement à ces personnages qui espèrent, parfois maladroitement, qu’advienne une rencontre, un contact, un moment avec l’autre : il se trouve au cœur même du cinéma à la fois léger et sérieux de Guillaume Brac.
Critikat.com
par La rédaction
Ces portraits d’hommes fragiles et ambigus resteront sans doute comme un des traits qui relient les premières œuvres du cinéaste, comme autant d’avatars d’un même désir amoureux tout à la fois retranché et prêt à exploser.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Maryline Alligier
La mise en scène du cinéaste s’attache à saisir avant tout des émotions traduites dans le réel, à "appréhender, capter la vie dans ce qu’elle dérobait jusque-là" comme disait Rohmer, à donner à voir la dimension "miraculeuse" de l’ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
Deux contes réalistes et pleins de fantaisie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le réalisateur d’Un monde sans femmes et de Tonnerre, très remarqués, présente deux fictions pleines de fraîcheur et de justesse quelques semaines après le délicieux documentaire L’île au trésor.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Claire Micallef
Avec la finesse, la sensibilité et la douce cocasserie qui lui sont coutumières, Brac met en place ses brimborions d’intrigue avec la force tranquille de celui qui sait faire son miel des situations de malentendu hommes/femmes.
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Présenté au festival de Locarno, ce programme de deux courts métrages sort peu de temps après "L’Île au trésor", également réalisé par Guillaume Brac. Le cinéaste filme le quotidien sans le sublimer, tout en plaçant l’humain au centre de ses préoccupations.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Derrière la légèreté et l’insouciance de ces badinages, Brac tisse en souterrain un film politique plus âpre, marqué par la lutte des classes et la violence des hommes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
La modestie est bien la première valeur de ce cinéma : modestie dans la pratique de son art et vis-à-vis de l’histoire dans laquelle il s’inscrit consciemment ; et modestie face au monde, pour mieux en accueillir la beauté diffuse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Un marivaudage délicieux qui évoque le meilleur d'Eric Rohmer.
Positif
par Philippe Rouyer
Brac met en avant la fraîcheur de ses interprètes et fait naître l'émotion là où on ne l'attendait pas.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Guillaume Brac signe deux courts-métrages captivants sur la difficulté de lutter contre la solitude. Les relations humaines incarnées par de jeunes acteurs prometteurs y sont captées avec maîtrise et fraîcheur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
L'ensemble est léger, amusant, inconséquent.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Guillaume Brac, qui a retenu les leçons du bon Rohmer, filme ce qui lui chante, comme ça lui chante. Vite et bien, telle pourrait être la devise du réalisateur pour qui le cinéma semble être un art simple comme bonjour.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Guillaume Brac signe deux petits films savoureux revendiquant l’influence des "Contes" d’Éric Rohmer.
Le Monde
par Mathieu Macheret
La réussite de ces contes, aussi directs et laconiques qu’une carte postale, tient d’abord à la fraîcheur des acteurs, ces élèves du conservatoire qui font leurs débuts devant la caméra de Guillaume Brac.
Première
par Thomas Baurez
Guillaume Brac manie avec une troublante finesse le basculement de rapports de force entre des êtres engagés dans les voies du désir physique et cérébral.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jérémie Couston
Deux histoires moins légères qu’elles ne paraissent, où la séduction ne va pas sans rivalité, ni souffrance. Et où, l’air de rien, les femmes affirment, comme souvent chez Guillaume Brac, leur ascendant sur la gent masculine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Ce désir de jouer ensemble, que fait mûrir le souffle estival, n’appartient pas seulement à ces personnages qui espèrent, parfois maladroitement, qu’advienne une rencontre, un contact, un moment avec l’autre : il se trouve au cœur même du cinéma à la fois léger et sérieux de Guillaume Brac.
Critikat.com
Ces portraits d’hommes fragiles et ambigus resteront sans doute comme un des traits qui relient les premières œuvres du cinéaste, comme autant d’avatars d’un même désir amoureux tout à la fois retranché et prêt à exploser.
Culturopoing.com
La mise en scène du cinéaste s’attache à saisir avant tout des émotions traduites dans le réel, à "appréhender, capter la vie dans ce qu’elle dérobait jusque-là" comme disait Rohmer, à donner à voir la dimension "miraculeuse" de l’ordinaire.
L'Humanité
Deux contes réalistes et pleins de fantaisie.
La Croix
Le réalisateur d’Un monde sans femmes et de Tonnerre, très remarqués, présente deux fictions pleines de fraîcheur et de justesse quelques semaines après le délicieux documentaire L’île au trésor.
La Septième Obsession
Avec la finesse, la sensibilité et la douce cocasserie qui lui sont coutumières, Brac met en place ses brimborions d’intrigue avec la force tranquille de celui qui sait faire son miel des situations de malentendu hommes/femmes.
Les Fiches du Cinéma
Présenté au festival de Locarno, ce programme de deux courts métrages sort peu de temps après "L’Île au trésor", également réalisé par Guillaume Brac. Le cinéaste filme le quotidien sans le sublimer, tout en plaçant l’humain au centre de ses préoccupations.
Les Inrockuptibles
Derrière la légèreté et l’insouciance de ces badinages, Brac tisse en souterrain un film politique plus âpre, marqué par la lutte des classes et la violence des hommes.
Libération
La modestie est bien la première valeur de ce cinéma : modestie dans la pratique de son art et vis-à-vis de l’histoire dans laquelle il s’inscrit consciemment ; et modestie face au monde, pour mieux en accueillir la beauté diffuse.
Ouest France
Un marivaudage délicieux qui évoque le meilleur d'Eric Rohmer.
Positif
Brac met en avant la fraîcheur de ses interprètes et fait naître l'émotion là où on ne l'attendait pas.
aVoir-aLire.com
Guillaume Brac signe deux courts-métrages captivants sur la difficulté de lutter contre la solitude. Les relations humaines incarnées par de jeunes acteurs prometteurs y sont captées avec maîtrise et fraîcheur.
L'Obs
L'ensemble est léger, amusant, inconséquent.
Le Figaro
Guillaume Brac, qui a retenu les leçons du bon Rohmer, filme ce qui lui chante, comme ça lui chante. Vite et bien, telle pourrait être la devise du réalisateur pour qui le cinéma semble être un art simple comme bonjour.
Le Journal du Dimanche
Guillaume Brac signe deux petits films savoureux revendiquant l’influence des "Contes" d’Éric Rohmer.
Le Monde
La réussite de ces contes, aussi directs et laconiques qu’une carte postale, tient d’abord à la fraîcheur des acteurs, ces élèves du conservatoire qui font leurs débuts devant la caméra de Guillaume Brac.
Première
Guillaume Brac manie avec une troublante finesse le basculement de rapports de force entre des êtres engagés dans les voies du désir physique et cérébral.
Télérama
Deux histoires moins légères qu’elles ne paraissent, où la séduction ne va pas sans rivalité, ni souffrance. Et où, l’air de rien, les femmes affirment, comme souvent chez Guillaume Brac, leur ascendant sur la gent masculine.