Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
L’ambition du premier long métrage de Sofia Djama est étonnante, d’autant plus qu’elle en réalise le programme dans une forme discrète, cachant l’ampleur de ses perspectives dans des détails et des répliques dispersées.
Critikat.com
par Juliette Goffart
La cinéaste choisit finalement la même rébellion que ses personnages : celle d'une puissante sensualité, dans les pas du très beau cinéma d'Abdellatif Kechiche.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un regard sensible, à travers deux générations, sur les fêlures d'un pays où la violence affleure en permanence et où la démocratie n'en finit pas de balbutier.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Premier long-métrage de Sofia Djama, "Les Bienheureux" fouille avec courage et détermination dans les blessures du passé, comme l’on fait les films des confrères argentins ou chiliens quand le cinéma de leurs pays a réapparu à la sortie des dictatures.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Danel
Un premier long métrage intense et courageux sur tous les deuils impossibles : de l’avenir et de la fidélité à soi-même, des idéaux et des hommes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Vincent Thabourey
Il y a une sorte d'indolence dans la réalisation, un lâcher prise salutaire dans la construction dramatique qui puise avant tout son énergie dans ses acteurs : Sami Bouajila et Nadia Kaci font vivre leur couple avec une extrême sensibilité, une finesse de jeu qui rend poignant ce couple au bord du naufrage mais qui refuse de le reconnaître.
Première
par Christophe Narbonne
Sophie Djama procède par des ruptures de ton qui donnent sa couleur mélancolique aux Bienheureux, traversé de longues plages d’errance dans un Alger très peu vivant, comme figé dans le temps. Puissant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Ce portrait dense et passionnant est un coup de gueule et une déclaration d'amour à Alger.
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
La jeune réalisatrice algérienne trouve dans la noirceur la matière à une énergie follement moderne : celle du désespoir. Tout en changements de rythmes et de tons, l’ensemble dégage une formidable vitalité.
Télérama
par Jacques Morice
Les Bienheureux tient, donc, de la chronique sobrement élégante. Où la tension, légère au début, s’amplifie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Entre espoir et désillusion, une déambulation réaliste dans l’Alger de l’après-guerre civile qui, à travers ses habitants, se cherche un avenir.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par La rédaction
Un portrait lucide de l’Algérie contemporaine.
La Croix
par Céline Rouden
Nadia Kaci et Sami Bouajila interprètent avec beaucoup de sensibilité ce couple d’intellectuels qui parlent français et rejettent la « bigoterie distillée par l’État » (...). Mais le film prend tout son sens lorsqu’il s’intéresse à la jeune génération.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Le sujet est plus intéressant que la mise en scène, trop démonstrative. Mais il y a des scènes bien enlevées entre les jeunes, et quelques vifs croquis intéressants.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Forte de son scénario riche et audacieux, Sofia Djama dépeint les méandres de ce contexte traumatique à travers les déchirures d’un couple de bourgeois perdant ses illusions, mais aussi les errances d’étudiants désorientés face à un avenir incertain.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Marcos Uzal
(...) s’il a le mérite d’éviter les lieux communs et les schématismes, le film est un peu trop engoncé dans son vouloir-dire, chaque situation apparaissant avant tout comme l’argument d’une démonstration.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
L’ambition du premier long métrage de Sofia Djama est étonnante, d’autant plus qu’elle en réalise le programme dans une forme discrète, cachant l’ampleur de ses perspectives dans des détails et des répliques dispersées.
Critikat.com
La cinéaste choisit finalement la même rébellion que ses personnages : celle d'une puissante sensualité, dans les pas du très beau cinéma d'Abdellatif Kechiche.
Le Dauphiné Libéré
Un regard sensible, à travers deux générations, sur les fêlures d'un pays où la violence affleure en permanence et où la démocratie n'en finit pas de balbutier.
Le Monde
Premier long-métrage de Sofia Djama, "Les Bienheureux" fouille avec courage et détermination dans les blessures du passé, comme l’on fait les films des confrères argentins ou chiliens quand le cinéma de leurs pays a réapparu à la sortie des dictatures.
Les Fiches du Cinéma
Un premier long métrage intense et courageux sur tous les deuils impossibles : de l’avenir et de la fidélité à soi-même, des idéaux et des hommes.
Positif
Il y a une sorte d'indolence dans la réalisation, un lâcher prise salutaire dans la construction dramatique qui puise avant tout son énergie dans ses acteurs : Sami Bouajila et Nadia Kaci font vivre leur couple avec une extrême sensibilité, une finesse de jeu qui rend poignant ce couple au bord du naufrage mais qui refuse de le reconnaître.
Première
Sophie Djama procède par des ruptures de ton qui donnent sa couleur mélancolique aux Bienheureux, traversé de longues plages d’errance dans un Alger très peu vivant, comme figé dans le temps. Puissant.
Studio Ciné Live
Ce portrait dense et passionnant est un coup de gueule et une déclaration d'amour à Alger.
Transfuge
La jeune réalisatrice algérienne trouve dans la noirceur la matière à une énergie follement moderne : celle du désespoir. Tout en changements de rythmes et de tons, l’ensemble dégage une formidable vitalité.
Télérama
Les Bienheureux tient, donc, de la chronique sobrement élégante. Où la tension, légère au début, s’amplifie.
aVoir-aLire.com
Entre espoir et désillusion, une déambulation réaliste dans l’Alger de l’après-guerre civile qui, à travers ses habitants, se cherche un avenir.
CNews
Un portrait lucide de l’Algérie contemporaine.
La Croix
Nadia Kaci et Sami Bouajila interprètent avec beaucoup de sensibilité ce couple d’intellectuels qui parlent français et rejettent la « bigoterie distillée par l’État » (...). Mais le film prend tout son sens lorsqu’il s’intéresse à la jeune génération.
Le Figaro
Le sujet est plus intéressant que la mise en scène, trop démonstrative. Mais il y a des scènes bien enlevées entre les jeunes, et quelques vifs croquis intéressants.
Le Journal du Dimanche
Forte de son scénario riche et audacieux, Sofia Djama dépeint les méandres de ce contexte traumatique à travers les déchirures d’un couple de bourgeois perdant ses illusions, mais aussi les errances d’étudiants désorientés face à un avenir incertain.
Libération
(...) s’il a le mérite d’éviter les lieux communs et les schématismes, le film est un peu trop engoncé dans son vouloir-dire, chaque situation apparaissant avant tout comme l’argument d’une démonstration.