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    Alien Crystal Palace
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    labadens
    labadens

    14 abonnés 243 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 janvier 2019
    Cela en est presque gênant de ridicule. Je préfère conserver mes deux barils d ' une lessive anonyme que de troquer cette Arielle là. Que la Dombasle reste donc sur RTL à gloser ; c'est là qu'est sa place. Au lieu de quoi elle nous inflige un navet. Un de plus dans sa filmographie me diriez-vous.
    Yves G.
    Yves G.

    1 481 abonnés 3 497 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 janvier 2019
    Un savant fou (Michel Fau) terré dans un sous-marin veut créer "l'androgyne", l'homme et la femme réunis dans un couple idéal. Il a identifié deux cobayes : Dolorès Rivers (Arielle Dombasle), une réalisatrice de films, et Nicolas Atlante (Nicolas Ker), un chanteur de rock. Avec l'aide de trois producteurs, il convainc la première de recruter le second pour son prochain film qui sera tourné à Venise et en Égypte.

    On oscille entre le fou rire et l'effarement devant le dernier film d'Arielle Dombasle. Ses précédentes collaborations aux films de son mari ("Le Jour et la Nuit" qualifié par les Cahiers du cinéma de "plus mauvais film français depuis 1945"), d'Alain Robbe-Grillet ("Gradiva") ou de Michel Houellebecq ("La Possibilité d'une île") suscitaient des réactions identiques. Une telle persévérance dans le navet force l'admiration.

    Rien ne fonctionne dans "Alien Crystal Palace". On a rarement vu film plus mal joué, plus mal éclairé, plus mal scénarisé (qu'est allé faire Jacques Fiseschi dans cette galère ?). On pouffe devant Jean-Pierre Léaud déguisé en dieu Horus ou Arielle Dombasle, soixante-cinq au compteur, dans une scène dénudée de porno lesbien digne de (Grand)MomPorn. Au point de se demander à certains moments particulièrement calamiteux du film s'il ne s'agit pas d'une farce subtilement auto-dérisoire. Mais hélas, Arielle Dombasle semble dénu(d)ée de second degré.

    La postérité - sinon le postérieur - d'Arielle Dombasle interroge. Comment des films peuvent-ils se monter - si l'on ose dire - autour de son nom ? Qui accepte d'y participer ? Comment sont-ils financés ? Qui les distribue ? Qui les regarde ?
    J.Dredd59
    J.Dredd59

    108 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 mars 2019
    Où l'on se rend compte que psychédélique c'est pas forcément bien. Certes avec Dombasle on pouvait s'attendre à une œuvre ethnocentrée et zarb et on l'a, mais là encore est-ce que c'est bien ? Ben non, c'est juste chiant, long, nul, vide de sens (parce que je veux bien que je ne vois pas tout mais là le sens n'échappera pas qu'à moi). Le pire c'est que l'histoire pouvait encore donner quelque chose mais pas avec une réalisatrice qui se garde le beau rôle alors qu'elle n'en a pas l'étoffe (ni d'une réalisatrice d'ailleurs).
    Bref si Ariel veut se faire un film pour le plaisir fort bien, elle prend une 9mm et elle se passe ça en Home cinéma avec BHL, il partira avant la fin, comme j'aurai du faire.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 266 abonnés 7 532 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 février 2019
    Il y a des films que l'on ne s'explique pas (d'exister), voir même, que l'on ne veut pas expliquer. Et Alien Crystal Palace en fait clairement partie.

    Une sorte de gloubi-boulga indigeste à la frontière entre le nanar & la sérieZ assumée. Une intrigue à nul autre pareil (fort heureusement) et que l'on peine tant bien que mal a comprendre. Ça se veut astrale et kitsch, c'est au final un joyeux bordel lynchéen indescrip-tible et réellement fatiguant à suivre de bout en bout (on en ressort lessivé).

    Le film n'est pas aidé par sa distribution WTF avec un Jean Pierre Léaud méconnaissable en dieu égyptien et un Michel Fau particulièrement chelou en savant psychotique.
    Quant au duo Arielle Dombasle (égale à elle-même) et Nicolas Ker (que l'on peut qualifier de Tommy Wiseau franco-cambodgien) ce dernier s'avère irritable dans son rôle de rocker dégingandé.

    Le genre de film à conseiller à votre pire ennemi.
    Objectivons
    Objectivons

    317 abonnés 2 940 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 janvier 2020
    J'aurais dû me fier aux critiques écrites d'Allociné qui lui mettaient 0,5 étoiles... Je les ai lues alors que j'avais lancé "Alien crystal palace" depuis quelques minutes et que je sentais que je regardais quelque chose de bizarre, sauf que, pas de bol, j'ai pour principe de finir ce que je commence...
    C'est presque pire qu'un film de la "fameuse" boîte de production américaine The Asylum, spécialisée dans les productions à faible budget (mais qui utilisent envers et contre tout des effets spéciaux), et c'est malheureux, car il s'agit ici d'une production française. Cela fait mal de savoir que quelqu'un de chez nous a pondu ça. Il est évident que nous pouvons le faire, mais on espère toujours que celles et ceux qui ont cette absence de talent ne réalisent pas de film.
    C'est très mal joué (les acteurs font sans doute partie de l'étrange milieu de la mode ou des originaux gravitant autour d'Arielle Dombasle), les costumes sont parfois littéralement en carton (cela sent le petit budget), les intonations sont mauvaises (contrairement aux production Asylum, on ne peut pas mettre ça sur le compte des doubleurs), la musique surgit aléatoirement, les personnages et les décors oscillent entre le grotesque et carrément le ridicule (qui est haut-dessus du grotesque), et la fin n'a aucune logique..
    Que madame Dombasle prenne sa retraite (même si elle est extrêmement bien conservée pour une soixantenaire - bien que la chirurgie esthétique soit passée par là, son cou étant le seul endroit ne pouvant être rajeuni par notre médecine actuelle) ou fasse ce qu'elle veut, mais ne réalise plus de pseudo-films d'artiste, censés ne jamais être diffusés au grand public !
    Leon D.
    Leon D.

    14 abonnés 83 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 septembre 2019
    Arielle Dombasle est parvenue à nous offrir (à grand coup de musique plagiaire et de soft porn), un film souvent ridicule qui malgré tout a sa place au panthéon des nanars kitchs.
    AMANO JAKU
    AMANO JAKU

    325 abonnés 797 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 mars 2020
    Pfff….avec toute la sympathie que j’éprouve pour Arielle Dombasle (ses albums "Liberta" et "Amor Amor" étaient vraiment incroyables ; et sa fréquente présence aux "Grosses Têtes" de RTL est rafraîchissante), je ne pourrais absolument pas défendre son dernier film….Bon, que dire d’ "Alien Crystal Palace" ? Bon déjà niveau scénar, c’est on ne peut plus space : une secte férue d’Egypte ancienne veut créer un androgyne, être mythique fusion parfaite d’un homme et d’une femme. Pour cela, ils proposent à une célèbre réalisatrice de vidéos d’art de réaliser un film sur la dernière descendante des Pharaons et à un rockeur déglinguo de s’occuper de la musique de ce film : ces deux personnes sont censés être connectés astralement et tomber follement amoureux l’un de l’autre…..voilà, comme vous le voyez, nul question d’alien, ni de crystal, ni de palace ! Bref on y pige pas grand-chose et le pire dans tout ça, c’est que le film nous inonde du début à la fin de choses plus délirantes les une que les autres : spoiler: des dieux égyptiens, une savant fou qui collectionne les fœtus d’animaux et d’embryons morts, des policiers en uniforme moulant et portant une casquette équipée d’un gyrophare, un sous-marin qui avance en surface, un rêve avec plein de rayons lasers, un chanteur punk-rock qui joue très mal l’ivrogne lubrique, des scènes de sexe lesbien
    ….bref, C’est du grand n’importe nawak, une sorte de giallo ésotérique expérimental dont le récit est tout le temps nébuleux (on nous présente des éléments qui semblent très importants mais qui au final sur lesquels on ne revient jamais !!). Pour un quatrième film en tant que réalisatrice, on est étonné de voir tant d’’amateurisme qui se dégage d’un ensemble pitoyable à tous les niveaux : les costumes ne relèvent pas le niveau tant ils sont en carton-pâte, la musique est toujours à côté de la plaque, la photographie est immonde, mal étalonnée (d’ailleurs Dombasle le dit elle-même par l’intermédiaire de son personnage en affirmant qu’ « avec une bonne lumière, ça se verra pas »…wahoo quelle mise en abîme absolument dingue !!), les acteurs sont soit toujours en surjeu soit des amateurs qui se contentent de lire leur texte (là aussi, Arielle Dombasle est allé chercher tout et n’importe quoi : Asia Argento en vendeuse de beaujolais, le chaussier de luxe Christian Louboutin, le styliste Vincent Darré, le marchand d'art et galeriste Thaddaeus Ropac, le photographe Ali Mahdavi, la créatrice Marie Beltrami, l’ex-producteur du groupe Noir Désir Theo Hakola…et même Jean-Pierre Léaud en dieu Horus….mais comment en est-il arrivé là sans déc ?!!). Parfois on a envie de rire à foison, parfois on est gêné…. Au début j’étais plutôt en mode consterné, ressassant toujours la même phrase : « Je pige que dalle !! Qu’est-ce qui se passe ? » ; puis au fur et à mesure du film, je suis passé en mode désespéré ne cessant de m’apostropher : « Mais pourquoi je continue à matter ça ? ». Non, vraiment, ne perdez pas 1h30 de votre vie inutilement par pitié : tout dans ce « métrage » sent le souffre que ça en est ahurissant : "Alien Crystal Palace" se classe haut la main dans la prestigieuse catégorie des nanars de compétition !
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 373 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 février 2019
    Il fallait s’y attendre. Avec un titre pareil, avec Arielle Dombasle à la réalisation, avec Nicolas Ker et Michel Fau au casting, « Alien Crystal Palace » était à coup sûr un ovni kitsch et loufoque. On en était encore bien loin. Le film part dans tous les sens et tous les genres pour finir sur la création d’un androgyne parfait. « Alien Crystal Palace » est une comédie de science-fiction volontairement ridicule à prendre au second degré. Les corps se mélangent dans un esthétisme baroque et une mise en scène énigmatique et extravagante. Attention, vous êtes prévenu, ce fourre-tout abyssale a au moins le mérite de ne ressembler à aucun autre.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Mathias Le Quiliec
    Mathias Le Quiliec

    62 abonnés 378 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 janvier 2019
    Plus une série Z qu'autre chose même si ça ne semblait pas voulu. De l'humour oui, du fantastique oui, du beau sur du beau oui et beaucoup d'ennui aussi. Pas facile d'accès, ce film conviendra au amoureux de mythologie égyptienne, d'Arielle Dombasle ou de la prise de tête du début à la fin d'un film. Si vous ne rentrez dans aucune des 3 cases alors faites demi tour. Au delà de l'expérience visuelle et sensorielle intéressante par moment, il y a une vrai réflexion sur la nature humaine, l'hermaphrodisme et l'ésotérisme, Encore faut-il être prêt à l'entendre ou à la subir quand on vient se détendre au cinoche ... Reste encore que ce soir là, Dombasle en personne accompagné du co-réalisateur était là pour l'introduction et surtout répondre aux questions et nous éclairer à la fin du film. Le plaisir de la voir aussi jolie, sympathique et passionné qu'à la télé a quelque peu nuancé mon ressenti et mon propos. Mais à froid le lendemain, je dois tout de même reconnaitre que je ne l'ai pas aimé même si j'ai passé un bon moment. Aussi barré et baroque que ses auteurs !
    Did
    Did

    14 abonnés 70 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 janvier 2020
    Ça se veut barré mais c'est totalement naze.
    Un savant fou veut créer l'androgyne parfait en mélangeant une réalisatrice de films d'art et d'essais avec un musicien alcoolique qui fait des rêves érotiques d'elle toutes les nuits ( si j'ai bien compris).
    Au milieu de ça il y a une galerie de personnages tous plus fous les uns que les autres.
    Ça doit être filmé avec un téléphone portable 1er prix, le montage est catastrophique ( le plan le plus long doit faire 5 secondes).
    On fini par ne plus rien comprendre et surtout, on a plus rien envie de comprendre !
    Nicolas Ker n'articule pas et ne marche pas droit, Arielle Dombasle s'autofilme en sachant qu'elle est une belle femme et s'offrant au passage une scène lesbienne loin de BHL, Asia Argento vend du Beaujolais Nouveau, Venise est moche, il y a un sous marin mais aucun Alien ni palace dans le film et Jean Pierre Léaud porte la perruque la plus moche de sa carrière.
    Heureusement, la musique est bien et les filles jolies.
    Vador Mir
    Vador Mir

    260 abonnés 793 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 janvier 2022
    Sous des airs kitch, ça ressemble bien plus à un rituel occulte qu'à un film. La mort de Nicolas Ker en 2021 rend Alien Crystal Palace troublant étant donné l'aspect sacrificiel de son personnage .A éviter.
    tristan stelitano
    tristan stelitano

    61 abonnés 1 126 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 octobre 2020
    Étrange, bizarre, cette œuvre au ton oppressant et à l'ambiance surréaliste est un supplice de réalisation. Tourné comme un très mauvais clip des années 70, ce projet absurde semi-intellectuel et philosophique nous fait beaucoup rire que sourire. Mal joué, cette aberration qui par son impertinente provocation ne parvient jamais à fasciner ni surprendre. Très mauvais, " Alien Crystal Palace " remporte la Palme d'Or du meilleur nanars du genre fantastique de l'histoire du cinéma français.
    Waka J.
    Waka J.

    31 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 janvier 2020
    On la savait chanteuse égotique et effroyablement mauvaise, actrice moins que médiocre, d'une intelligence toute relative quand il s'agit de commenter les faits de société, nous la découvrons réalisatrice épouvantable.
    Je m'en voudrai que cette critique ressemble à une attaque personnelle contre Mme BHL mais elle est tellement calamiteuse un trait qu'elle partage avec son "penseur" (sic) de mari- que l'on ne saurait trop leur conseiller à l'un comme à l'autre de laisser tomber toute affaire un tant soit peu artistique ou pseudo-philosophique pour vivre de leurs rentes. C e serait un grand bien pour l'humanité... et la culture !
    Loren G
    Loren G

    31 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 février 2020
    J en ai vu des navets mais celui là! Arielle Dombasle nous fait entrer dans son univers mais on a juste une envie c est d en sortir vite . Un univers où sexe drogue argent ésotérisme malsain tout est bafoué, à l époque où les langues des actrices se délient sur les affaires de sexe dans le milieu du cinéma , elle ne fait que l exposer en réalisant un soft porn avec de jeunes actrices en mal de tournage . L histoire était séduisante mais le reste est archi nul
    Frederic F.
    Frederic F.

    4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 juillet 2020
    Outre que tout est absolument mauvais, en particulier la mise en scène, le plus impressionnant est qu'ils se soient mis à quatre pour écrire le scénario !!!
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