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Un visiteur
3,5
Publiée le 18 octobre 2018
Bonne histoire policière de fond, les dialogues s'essoufflent parfois mais le film reste divertissant et provoque pas mal de sourires et quelques rires.
un flic de paris part en mission outre atlantique pour démasquer un trafic de drogue. il fait équipe avec un un flic soucieux des procédures rien d'anomal, mais rien d'original. on se promene de villas grandioses en appartement somptueux , on traque un couple chargé de mission humanitaire corrompu jusqu'à l'os , rien d'anormal, rien d'original. bien qu'on se réfère au vieux ciné c'est sans drôlerie . on ne s'ennuie pas ça se regarde comme un simple téléfilm.
Omar Omar pourquoi as tu signé pour ce genre de film... tu es pourtant un acteur charismatique qui peut faire beaucoup mieux que ce que j'ais pus voir ici.. Luis Guzman alors lui il dénature complètement ce film qui ne vole déja pas très haut dans le ciel.. il est rare de voir un film assez lent dans l'action et démarrer tardivement.. j'avais envie de secouer la caméra pour leur dire de se bouger un peu car la salle vas dormir si sa continu... Omar joue sur deux tableau.. et c'est ce qui m'a dérangé... un ton dans l'humour et un ton sérieux.. du coups le film ne se prends pas au sérieux .et on a pas envie de rire... et personnellement je décroche très vite l'intrigue de l'histoire et je me perds a regarder les tableau de fond pour m'occuper.. et les blagues du duo " flic a Miami " n'y changeront rien..
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1,5
Publiée le 7 septembre 2019
"Le flic de Beverly Hills n°4" avec en tête d'affiche l'acteur prèfèrè des français ? Eh non! Ça y ressemble pourtant vachement! Un peu chinois dans sa tête, Omar Sy se la joue Eddie Murphy dans un festival de dèjà vu : le meilleur ami qui meurt sous ses yeux, les deux flics que tout oppose, etc, etc, etc...Expèdiè de Belleville à Miami, Omar, qui effectue lui-même ses cascades, sera accompagnè dans son pèriple par sa maman! Une Biyouna aussi inutile que ridicule qui se prend pour Agatha Christie! Le coèquipier, c'est èvidemment un type pas commode, Luis Guzman, plus bedonnant que convaincant! Avec "Le flic de Belleville", Rachid Bouchareb change donc complètement de registre! Son envie ètait d'y aller franchement sans cacher les rèfèrences et les clins d'oeil à "Beverly Hills Cop" et "Lethal Weapon" en passant par "Miami Vice" et "Magnum". Malheureusement son film n'est ni plus ni moins qu'une comèdie policière anecdotique, poussive et prèvisible! Au moins Omar s'est fait plaisir à jouer les Axel Foley sous le soleil de la Floride...
Une comédie action Français qui tente d'imiter Le Flic de Beverly Hills. Mais sa ne passe pas vraiment. Le scénario est basique donc reste à voir le duo qui lui non plus malgré Omar s'y ne vas pas très loin et la majorité des comique de situation où gags font mouche. On esquisssera si on veut être bon public quelques sourire mais rien de plus. L ensemble est très legé et ne démarre jamais complètement côté rythme et je ne parle même pas des rebondissements. Bref sa passe le temps, mais pas à payer une place de ciné ou un DVD. Le film n a d ailleurs pas eu de succès lors de sa sortie. On attends que cela bouge concrètement mais à part attendre on s ennuit même si le duo est en pleine course poursuite et j en passe. Pour beaucoup, vite vu vite publié. Espérons qu une suite ne voit pas le jour. Next
Supposé être un hommage ou un remake du Flic de Beverly Hills, ce film n'en est qu'une pâle copie. Certes il y a la bonne humeur d'Omar Sy, mais le film est vraiment mou, manque de cohérence et de crédibilité dans les scènes d'action… Il n'est même pas vraiment drôle.
Le Flic de Belleville se veut un hommage à ces buddy-movie américains des années 80 : 48 heures et L'Arme fatale en tête. Mais aussi au flic de Beverly Hills dont Omar Sy reprend le look cool et branché. Las. Alors que Indigènes et Hors-la-loi étaient des réussites, Rachid Bouchareb se vautre dans les grandes largeurs avec Le Flic de Belleville. Même pas distrayant, Sy passe son temps à se balader le sourire aux lèvres en chemise à fleurs ou à barboter dans la piscine. Guzman, lui, à cause de sa grosse bedaine, n'arrive même pas à courir. Alors niveau action, j'ai vu mieux. D'ailleurs, il n'y en a quasiment pas. Si, Sy, fait vaguement du kung-fu à un moment. Y a pas d'humour non plus. Y a rien. Que du vide. La maman de Keita est insupportable du début à la fin. Je me demande comment j'ai eu la patience de la supporter. Bouchareb filme platement Miami. Oui, il y fait tout le temps beau et chaud. Oui, il y a de jolies filles en bikini. Mais c'est tout. Aussi médiocre que Loin du périph.
Pénible du début à la fin. D'abord du fait que les 3/4 des personnages, non seulement sont des caricatures, mais en plus, ne sont pas crédibles. Caricature, à l'image du héros, qui est un conteneur de paradoxes. Noir, élevé par une maghrébine, sortant avec une chinoise, meilleur ami d'un petit bourgeois dont le père est préfet. Ce cumul peu crédible de paradoxes est à l'image de l'intrigue, et des dialogues qui sont des clichés enfilés comme des perles. Les détails qui sont sensés produire le comique, le font tomber à plat, tellement ils sont nombreux et exagérés. Le policier, participant au défilé du nouvel an chinois, a, dans ce même défilé, une querelle d'amoureux avec sa fiancée, et parvient à arrêter un pickpocket, et ce, grâce à des remarques de sa mère, dans le public. Sans compter le fait que Omar Sy, charmant garçon au demeurant, ne convainc pas toujours de son talent. Epatant dans "Nos Jours Heureux", ou Intouchable", ne casse pas trois pattes à un canard dans ce rôle de flic. Sans doute que la responsabilité en incombe surtout à Rachid Bouchareb, qui aborde toujours des sujets intéressants, sans jamais nous impressionner par sa manière de les traiter.
Erreur de parcours pour Omar Sy qui donne ici du crédit à ce qui aurait pu être titré : Le Flop De Belleville. S'il n'avait pas été au casting, j'aurais arrêté au bout de dix minutes. Comme il y était, je me suis dit qu'à un moment le film allait démarrer, mais non. Rien. Pourquoi Baaba et sa mère vont à Miami au frais du contribuable ? On ne sait pas. Une réplique résume à elle seule l'état d'esprit du film : "Tu es là pour jouer les touristes". On ne peut pas dire mieux tant on a l'impression que ce film est un prétexte pour aller à Miami. À éviter.
vu sans réelle envie, sur OCS, et très agréablement surpris! il semble qu'il existe une version où les personnages étrangers parlent français notamment le flic américain, effectivement là le film doit souvent tomber à plat... Pour ma part, j'ai trouvé le film rafraichissant, souvent réellement drôle, le genre de film qui rappelle la légèreté de l'enfance. Les acteurs sont excellents, Omar Sy royal, mais aussi l'acteur qui joue le flic américain, excellent choix de casting et pas que physique pour l'opposition d'avec Sy, ainsi que la mère qui m'a vraiment fait rire plusieurs fois. Seul bémol les scènes de fusillade et de bagarre finales assez inutiles et pas dans le ton du film, mais je met quand même 4 pour compensé cette moyenne exagérément basse (quand on voit les commentaires d'avant sortie du film, visiblement certains voulaient se le payer sans même le voir, je ne sais pourquoi). Ce film m'a nettement plus amusé que 48 heures ou Rush hour, je le trouve beaucoup plus léger et j'aime cette légèreté (par contre la bande-annonce avec le flic américain doublé en français perd toute cette légèreté). Dommage que vu l'échec commercial (et le rejet du public) on ne reverra pas ces personnages dans d'autres aventures.
Un véritable navet , et surtout très mal joué , ce qui est surprenant ,car il y a une brochette d'acteurs qui sont bons ailleurs. Probablement une direction d'acteur inexistante, chacun fait le minimum , mais laisse dérouler. Pour un scénario nul , des dialogues brouillon, aucun humour . Reste seulement les jolies prises de vue de Miami, mais tout juste du niveau des films promo qui passe dans les avions à l'arrivée à Miami. Un navet spectaculaire.;
Bon, bon, bon, dire que ce "Flic de Belleville" est une horreur absolue serait mentir. Mais il est quand même bien difficile de lui accorder ne serait-ce qu'un crédit minimal. On nous dit que ce truc est basé sur "Le flic de Beverly Hills". Bon, d'accord, admettons. On nous dit que ce film est un hommage à la française aux buddy movies des années 80. Tout ça n'est que prétexte pour cacher un vide abyssal. On s'en rend compte vite fait d'ailleurs. Je sais bien que l'on est au cinéma et que l'on peut prendre des libertés, mais, comment peut-on donner de la crédibilité à un film où Biyouna est la mère d'Omar Sy ? Ce n'est pas possible. C'est d'autant plus gênant car ici, la maman ne fait pas office d'objet décoratif, bien qu'elle soit minime, elle a une influence sur l'enquête. Cette grossière erreur persiste tout le long du film. Donc déjà, rien qu'avec ça, le film se tire une grosse balle dans le pied. Après arrive Gastambide, finalement le déclencheur de tout ça. Et c'est d'une tristesse, mais d'une tristesse. La scène où il donne la réplique à Omar Sy au resto est un sommet de non-jeu. Et ça, ce n'est que le début. Passons à la suite. A Miami, ce n'est pas mieux. Il ne se passe rien. Mais quand je dis rien, c'est absolument rien. L'arnaque est totale. Le duo Sy/Guzman ne fonctionne pas. L'un s'amuse, rigole beaucoup, mais est constamment en surjeu et l'autre semble se demander ce qu'il est venu faire là-dedans. Toute tentative d'humour, que ce soit par le comique de situation ou par les répliques, tombe à plat. A chaque fois. Les rares scènes d'actions ? Je ne m'attarderai pas longtemps dessus. En plus d'être ridicules (le dénouement, dans le genre, se pose là), elles sont mal fichues. Bouchareb n'a visiblement aucune idée de comment filmer quand ça remue. Tout cela est bien pauvre.
Qu’est venu faire Rachid Bouchareb dans cette galère ? Si avec Indigènes et Hors-la-loi, le cinéaste avait prouvé qu’il était capable de traiter intelligemment des sujets très sensibles (le rôle des soldats issus des colonies françaises pendant la Seconde guerre mondiale pour le premier et la Guerre d’Algérie pour le second) et qu’il était pouvait bien gérer le suspense et l’action. Le voir s’attaquer à un hommage au Flic de Beverly Hills aurait pu donc être intéressant. Hélas, ce décalque du film de Martin Brest présente des scènes d’action mollassonnes, enchaîne les blagues ratées souvent associées à des références d’une grande lourdeur et accumule les clichés. Le scénario ne cherche jamais la crédibilitéspoiler: (qui peut croire que la mère de Baaba puisse l’accompagner comme cela dans son voyage aux Etats-Unis et que tous les deux puissent être logés dans une maison aussi luxueuse) et les acteurs semblent peu investis. Si on ajoute à cela une version française complètement ratée (dès que le film met en scène des protagonistes américains, la post-synchronisation est extrêmement voyante notamment en ce qui concerne le personnage extrêmement important du lieutenant Garcia, qui au passage est l’objet d’une blague référentielle récurrente peu subtile), on ne peut qu’être énormément déçu par le loupé total du cinéaste franco-algérien. Le Flic de Belleville est donc une vraie tache dans les filmographies de Rachid Bouchareb et d’Omar Sy.